John Doe, soumis en cage de chasteté.
Mercredi matin. Dans le lit, érection matinale. Je me frotte contre elle. Nous nous embrassons. Je suis super excité. Elle caresse doucement mon sexe, mais elle doit partir travailler. "Je n'ai pas le temps de m'occuper de toi", me dit-elle. "Mais si je te laisse comme ça, tu vas te branler?". J'acquiesce. J'ai très envie de faire l'amour. Je lui dit. Elle me répond qu'elle a très envie de me mettre en cage. Ce qui m'excite encore plus. Je lui titille le clitoris, elle est mouillée. Nous faisons l'amour. Je ne remettrais pas ma cage cette fois. Mais...
Samedi matin. Je sors de la douche, nu. Je bande, sans même savoir pourquoi. Je la croise, toute propre et habillée, prête à partir travailler. Je me poste devant elle, le sourire aux lèvres. Elle regarde ma queue, sourit à son tour, et l'attrape. Elle me branle doucement. Nous nous embrassons comme des fous. Elle me susurre doucement: "Cette fois tu ne vas pas y échapper. Je te fais jouir, et tu remets ta cage". L'idée de me retrouver frustré et incapable de bander de nouveau m'excite à mort. Je la regarde droit dans les yeux, et lui réponds: "Avec grand plaisir!". Elle rit et me traite de maso. Elle se met à genoux et me suce. Elle serre mes couilles et les étire. Je lui demande d'y aller plus fort. Elle s'en donne à coeur joie. Le mélange de plaisir et de douleur est formidable. Elle se relève, me branle très vite de la main droite, et écrase mes couilles avec la gauche. Je jouis. Très fort. Elle en a plein les mains, et sa jupe est tachée de longs jets de sperme. Elle présente ses mains devant ma bouche. Je les lèche, me régale du goût de mon sperme. Elle appuie sur mes épaules. Je sais ce que j'ai à faire. Je me mets à genoux, jambes écartées, les mains dans le dos. Elle me défonce les couilles à coups de pieds. Je perds le compte, elle frappe toujours. Je finis prostré de douleur. Elle pose le pied sur mon visage. "Tu as sali ma jupe. Je vais me changer. Quand je reviens, je veux que ta bite sois dans sa cage. Compris?". Moi: "Merci, c'était génial". Elle va se changer, pendant que je mets ma cage, que je n'avais pas porté depuis des mois. Game on!
Le soir. Elle rentre. Je l'attends sagement, nu. Elle me sourit, et m'attrape par la cage. Elle m'emmène dans la chambre. Elle se déshabille, s'allonge sur le ventre, et m'ordonne de la masser. Je commence par la nuque, délicatement. Puis les épaules, le dos... Elle grogne de plaisir. Je prends mon temps, même si je n'ai qu'une envie, la faire jouir. Elle me demande de lui masser les pieds. Je m'exécute, les embrasse, et enfin les lèche. Elle écarte les fesses. Je sais ce que ça veut dire. J'enfonce mon visage dans son cul et lèche goulûment. Je déguste la saveur du mélange de sueur et de sexe. Ma bite essaie de bander, je ne peux pas. Sensation délicieuse. Elle se retourne enfin, et écarte les jambes. Je m'installe de manière à ce que mes couilles lui soit accessible, et lèche son clitoris. Elle attrape distraitement mes couilles, et les écrase durement. Elle joue avec, les étire, les torture. Je sens le plaisir monter progressivement en elle. J'accélère le mouvement de ma langue. Elle joui en serrant très fort mon visage entre ses fesses, la main crispée sur mes couilles. Elle crie de plaisir, je crie de douleur. Je la prend dans mes bras et l'embrasse. Elle aime les câlins après avoir joui. Elle reprend ses esprits, et m'envoie lui faire couler un bain et lui préparer à manger.
Nous sommes aujourd'hui dimanche matin, alors que je rédige cet article, ma queue est coincée dans sa petite cage de plastique, et je suis plus heureux que jamais. Je n'ai qu'une envie, rester dans cet état de manque et de frustration délicieux le plus longtemps possible. Je n'ai d'ailleurs pas pu résister, j'ai pris une photo de ma cage, clairement parce que je suis exhibitionniste. Mais aussi pour dire que c'est un jeu sexuel comme les autres, que la perversion n'existe pas, ou qu'elle est partout. Pour affirmer que ce n'est pas être fou que d'avouer et réaliser ses fantasmes, mais bien au contraire lucide.
Elle et moi avons une vie sexuelle très riche, très équilibrée, et très belle. Les jeux de domination y participe parfois, de façon saine et agréable. Nous nous connaissons depuis longtemps, et savons très bien quels sont nos fantasmes, et comment les satisfaire. Cette complicité extraordinaire est le fruit d'années de dialogue, de pratique, et de curiosité envers l'autre. Nous nous aimons plus que jamais. Et Franchement, c'est génial!
Merci!
Toujours autant de plaisir à vous lire...