John Doe, soumis en cage de chasteté.
Cela fait une semaine. Je passe beaucoup de temps à la caresser, à la masser. J''ai envie de lui faire
l'amour. Constamment. Elle me dit qu'elle aime lire cette envie permanente dans mes yeux. Elle sait que l'homme se masturbe. Elle sait que j'en suis privé. Je lui ai donné la clé. Je renonce au
plaisir pour son plaisir. C'est une grande preuve d'amour, lui dis-je. « Je sais » dit-elle. Elle a un homme à ses pieds, prêt à satisfaire le moindre de ses désirs. Je suis chaque jour plus
frustré, plus amoureux, chaque jour plus tendre, totalement à l'écoute de ses désirs, soumis à la moindre de ses volontés. Je comprends maintenant d'une autre manière le titre du texte « Un mari chaste, une épouse épanouie ». Epanouissement, c'est le mot qui me vient à l'esprit quand je la regarde. Elle découvre chaque
jour un peu plus les avantages de tenir son homme en cage. Ce matin, elle se lève avant moi. J'adore ces moments où je la vois évoluer dans la chambre, complètement nue. Je bande. Je me lève à
mon tour, l'enlace, et me frotte contre son corps chaud. Elle me libère pour la toilette matinale. A peine le cadenas ouvert, la cage bondit dans ses mains. Une érection somptueuse. Elle la
flatte de la main en souriant. Ma bite est tendue, dure comme du bois. Elle me branle quelques instants, et se met à genoux. Elle me suce doucement, alors que je viens de passer 24 heures en
cage, depuis mes dernières ablutions. Puis elle stoppe brusquement. Elle se relève, et m'embrasse fougueusement. Je sens le goût de mon sexe dans sa bouche. « C'est tout !» me dit-elle. « Tu vas
te raser et te laver, et retour en cage ! ». Je lui réponds simplement « Je t'aime ».
Sam 21 nov 2009
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