John Doe, soumis en cage de chasteté.
Je suis assis en tailleur sur le tapis du salon. Je travaille sur mon PC.
Elle s'approche de moi, avec un petit sourire. J'embrasse ses pieds nus. « J'ai été dure avec toi. Tu vas peut-être jouir aujourd'hui ». Après 9 jours, un peu d'espoir. Plus tard, elle m'allonge
sur le lit. Puis elle me masse longuement le dos, les jambes, et les pieds avec de l'huile. Elle s'attarde sur les fesses. Elle fait couler de l'huile délicatement le long du sillon fessier, puis
le masse. Progressivement, elle me pénètre, me dilate le cul. Je suis bien ouvert. Elle passe au gode. De la main gauche, elle me travaille les couilles. J'ai l'impression que ma cage va éclater.
Elle veut que je la lèche. Je m'exécute, jusqu'à l'orgasme. Satisfaite, elle me dit « C'est peut-être ton tour ! Allonge-toi sur le dos ». Elle m'attache les poignets aux chevilles avec de la
corde, et me fourre un bâillon boule dans la bouche. Elle m'enlève enfin la cage, Puis m'enfonce un plug de bonne dimension dans le cul. Elle me branle doucement et longuement. Elle accélère le
rythme, vois que je suis proche de l'orgasme et… s'arrête. Puis elle sort de la chambre, me laissant attaché sur le lit, un buttplug dans le cul, excité comme un malade. Je grogne comme je peux,
entravé par le bâillon. « Il y a quelques choses qui ne va pas ? Si tu te plains, c'est retour en cage direct. Je serais à côté. Si tu as un problème, tu cries. » Je repense à la semaine
dernière. Au soir où, un peu ivre, je lui avais confié tous mes fantasmes. Là, je suis servi. Elle revient après un temps qui me semble une éternité. Elle me branle de nouveau, je suis au bord de
la jouissance, elle s'arrête, et s'en va. « Peut-être que c'est pas pour aujourd'hui en fait » Me dit-elle. Je deviens dingue. Elle recommence son petit jeu. Une fois, puis deux… Elle repart… La
troisième fois, enfin, elle me fait jouir. Après neuf jours de cage, et une séance pareille, c'est un feu d'artifice. D'abord de courts jets épais et lourds, puis un liquide plus fluide, qui part
en saccade, m'inondant le ventre, le torse et le visage. Elle rit. Elle me détache enfin, mais ne me remet pas la cage.
Lun 23 nov 2009
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