John Doe, soumis en cage de chasteté.

Beaucoup de travail. Je reste libre les deux jours. J'en profite pour me branler. Quand elle m'interroge j'avoue tout. Par pure provocation.  Mercredi soir, elle me demande pourquoi je n'ai pas remis ma cage. « Tu as déjà marre de ton nouveau jouet ? » Je sais qu'elle veut que je le remette. Mais je veux l'entendre de sa bouche, qu'elle prenne bien conscience de son pouvoir : « C'est toi qui décide. C'est ton jouet. Je le porte si tu me dis de le faire ». « Alors met-le maintenant ».  Subtilement, elle prend le dessus.  J'étais demandeur. Bien que largement complice, son rôle était plutôt passif. Doucement, la tendance s'inverse.

Mer 25 nov 2009 Aucun commentaire