John Doe, soumis en cage de chasteté.
Le matin. Elle me raconte un rêve qu’elle a fait. Je lui raconte à mon tour ce que j’ai rêvé la veille. Elle sourit, mais ne dit rien. Je bande dans ma cage en racontant, elle le voit. Ca s’arrête là. Je lui en reparlerai. Ou pas. Je ne suis pas sûr d’en avoir envie. Le fantasme est bien présent. J’ai envie de faire l’amour avec elle et un autre homme. Qui nous baiserai tous les deux. Ou peut-être avec un couple, ou une autre femme. Mais du fantasme à la réalité…
Aujourd’hui nous restons tous les deux à la maison. Elle est pratiquement nue en permanence. Je bande toute les dix minutes, pour un rien. Elle me laisse la touche, la caresser, la masser, mais je n’ai pas le droit d’aller plus loin. Elle s’amuse beaucoup de mon état. Elle m’a dit que j’allais être libéré aujourd’hui. Je me montre un peu trop insistant. Elle n’est pas contente. Elle me dit que je mérite une punition. Je lui propose le bambou. Elle rit : « Ca, c’est plutôt une récompense ! ». « Le plus simple, c’est que tu rallonges ma période de chasteté ». Nouveau rire : « Très bonne idée! Ca me plaît. Tu peux être sûr que tu jouiras pas aujourd’hui, ni demain ! ». Elle se prend au jeu.
Fin d’après midi. Elle me libère. Je me rase de près. Ma bite est tendue, dure. L’idée de la faire entrer de nouveau dans la cage semble ridicule. Pourtant je dois y retourner… Mais d’abord elle veut jouer un peu. Elle me lèche doucement le gland, elle enroule se langue autour, doucement… C’est délicieux. Et horrible. Car je ne vais pas jouir. Elle passe sa langue sur mes couilles, puis en met une dans sa bouche. Elle mord et tire mes couilles avec ses dents. Excitant et douloureux à la fois. Elle recommence son manège plusieurs fois. Titiller le gland, étirer les couilles… Puis elle arrête. Je suis dans un état indescriptible. « Va faire les courses pour le repas de ce soir, ça te calmera. Mais d’abord, tu retournes dans ta cage. Sinon, tu risques de violer la jolie caissière black! ». Ma bite tarde à retrouver des proportions décentes. Nous parlons un peu. D’une nouvelle cage, plus large et plus grande. Puis je lui dis qu’elle est un peu cruelle. Allongement des périodes de chasteté, promesses de libération non tenues, fellations brusquement interrompues… Mais je précise juste après : « Continue, j’adore ça ». Elle s’amuse de mes aveux. Je lui dis qu’elle pourrait faire pire. « Comment ça ? ». J’évoque des périodes de privation plus longue. Je lui reparle de divers jeux, et notamment d’orgasme ruiné. Elle ne comprend pas où est le plaisir. Je lui explique : «Le jeu en lui même n’as que peu d’intérêt. Mon plaisir, c’est toi. Je t’aime. Cet amour me pousse à m’abandonner entre tes mains. Je veux t’appartenir. Le fait de jouir uniquement quand toi tu l’as décidé, participe de ce désir. Et ne pas savoir si j’aurais le droit de jouir quand nous faisons l’amour renforce ce sentiment d’appartenance. Un orgasme ruiné suivi d’un retour en cage est très frustrant pour moi. Pour toi, par contre, il n’y a que des avantages. ». « Lesquels ? ». « Les mêmes que ceux que tu as quand je suis encagé. Démultipliés. » Elle ne dit rien. Mais je sens que je vais y avoir droit.
Tout cela ne m’aide pas à débander. Comme toujours, je finis par me calmer un peu. Dès que je suis en état, j’enfile la cage, et je lui présente. Elle met le cadenas. Juste à temps. Je bande de nouveau. Ca l’amuse, elle me pince les tétons pour m’exciter. « T’en peux plus, hein ? » Je ne peux même pas répondre. Je vais faire les courses. Puis je prépare le repas.