John Doe, soumis en cage de chasteté.
Elle me libère. Je bande. Je me lave et me rase. Elle est assise sur le canapé, devant son PC. Je suis à genoux, nu devant elle, en érection. Elle me flatte les couilles du bout du pied : « Je t’ai bien dit que ce ne serait pas aujourd’hui ». Elle me branle sans douceur avec son pied. Je me tords de plaisir. Ca l’amuse : « Va dans la chambre et allonge-toi sur le lit, j’arrive. ». Je suis en position. 9 jours. Je me branle. Elle entre : « Ca c’est interdit ! ». Je cesse immédiatement, soumis. Elle est nue. Elle m’attache les mains et les pieds au pied du lit. Bâillon. Je suis écartelé. Elle me branle doucement. Mon corps se contracte, je grogne de plaisir. Elle rit, prend ma bite dans sa bouche. Elle frotte son corps contre le mien. Puis elle présente sa chatte mouillée devant ma queue. Je me tends au maximum pour essayer de la pénétrer. Impossible. Elle s’assoit sur moi, et me branle entre ses fesses, sans que je la pénètre. Je suis en feu. Elle m’enlève le bâillon, et s’assoit sur mon visage. Elle se frotte sans ménagement, m’étouffant presque. Puis elle place son clitoris face à ma bouche. Je sais ce que j’ai à faire. Elle jouit rapidement, et reste assis sur mon visage quelques minutes. Je ne bande plus vraiment, mais mon sexe est encore bien trop gonflé pour rentrer dans sa cage. Elle m’abandonne. Je ne dis rien, parce que cela ne servirait à rien. Si ce n’est me rajouter du temps en cage. Elle revient quelques minutes après, et me détache. Je bande de nouveau. Elle me tend la cage : « Tu as intérêt à la remettre vite fait si tu ne veux pas prendre une semaine de plus ». Je l’enfile tant bien que mal. C’est un peu douloureux, mais surtout difficile et inconfortable. La cage s’emboite enfin. Je lui tends, elle ferme le cadenas : « C’est bien ». C’est le soir. Elle rentre du travail après moi. Nous devons aller au restaurant avec des amis. Je suis habillé. Elle m’enlace, et attrape ma cage. Petite vérification. Elle me regarde droit dans les yeux en souriant : « C’est bien ». Nous nous embrassons. Elle tient toujours ma cage. Je bande. Ca se voit. Elle rit : « Tu as intérêt à te calmer, si tu ne veux pas que tout le monde sache que tu portes une cage ! ».