John Doe, soumis en cage de chasteté.
Hier soir. Elle porte juste un débardeur et une paire de petites socquettes. Elle est terriblement excitante. Elle : « Je ne sais pas si je vais tenir jusqu'à noël. J’aime beaucoup te voir jouir ».
Depuis qu’elle a découvert la cage, il y a une chose qu’elle adore. C’est me branler. Avant, elle le faisait pour me faire plaisir. Maintenant, c’est pour se faire plaisir. D’abord, elle me maintient en cage pendant quelques jours. Puis, elle ouvre la cage. Dans ces moments là, je suis bouillant. Ensuite elle me branle doucement. Elle s’amuse bien. Parce que je suis excité comme jamais. Elle savoure son pouvoir. Elle peut me faire jouir, ou ruiner mon orgasme en s’arrêtant juste avant la jouissance. Elle peut aussi s’arrêter avant, et décréter que je ne jouirai pas. Un petit jeu qu’elle aime beaucoup. Moi aussi.
Hier soir, un peu plus tard. Elle ouvre la cage. Une barre à mine. Elle la caresse du bout des doigts. Je frissonne. Elle s’agenouille et continue de la titiller. Soudain, elle la met dans sa bouche. Et me suce avec rage faisant des allers-retours rapides, serrant mon sexe de la main. Je crie de surprise. C’est délicieux. Brusquement, elle s’arrête. Elle se relève et m’embrasse. Je savoure le goût de mon sexe dans sa bouche. Puis : « A genoux, mains dans le dos ». Elle m’attrape par les épaules, et me branle avec le pied, en écrasant ma queue. Puis elle me donne un petit coup de pied dans les couilles. Elle : « Tu veux ? ». Moi : « A ton avis ? ». Elle rit. Les coups de pieds pleuvent. La douleur est plaisir. Je finis en chien de fusil, tenant mes couilles endolories. Elle rit : « Tu en as assez ? On dirait pas, tu bandes toujours ! ». Je ne réponds pas, trop occupé à savourer la situation. Elle : « Toi, tu vas pas jouir, c’est sûr. Mais moi oui. Pose ta nuque sur le bord du canapé ». Elle s’assoit sur mon visage. Je sais ce que j’ai à faire. Elle jouit en criant.
Elle me provoque : « C’est vraiment bon de jouir. Tu n’as pas de chance ! Tu vas retourner en cage. Et je pense que tu ne seras plus jamais libre sur de longues périodes. C’est bien mieux comme ça». Je bande toujours. Impossible de la remettre. Elle allume la télé : « Tu as été sage. Je vais être gentille. Tu me masses les pieds pendant que je regarde la télé. Tu finiras bien par débander ». Fatalement.
Clic !
Ce matin, dans le lit. Après l’avoir caressée, je lui lèche les pieds doucement. Elle : « Tu lèches les pieds de ta maîtresse pour te faire libérer plus vite ? ». Moi : « Je lèche les pieds de ma maîtresse parce que je l’aime, et que j’aime lui lécher les pieds ». Elle : « Bonne réponse. Tu mérites une petite récompense. Suis-moi ». Elle m’emmène dans la douche. L’eau coule. Elle : « A genoux ». Elle place sa chatte devant mon visage. Je commence à lécher. Elle « Arrête ! J’ai pas envie que tu me lèches ». J’attends. Elle se lave. Elle s’amuse à pointer le jet de la douche sur mon visage. Je grimace, elle rit. Puis : « C’est le moment de ta récompense ». Douche dorée. Le jet coule dans mon bouche, inonde mon torse, et ruissèle sur ma cage tendue. Je la remercie. Elle : « Frotte moi le dos ». Je prends du gel douche. Je lui frotte le dos, puis les fesses. Elle ne dit rien. Je l’enlace et lui masse les seins. Je m’enhardis et lui lave le sexe. Elle gémit. Je continue en l’embrassant dans la nuque. Elle se frotte doucement contre ma cage coincée entre ses fesses. Je bande, mes couilles sont étirées au maximum par l’anneau. Elle se retourne, m’attrape par les couilles et serre : « Encore un peu de patience, c’est bientôt noël ! ». Je n’ai pas jouis depuis 5 jours, je suis constamment excité. Il lui suffit d’un mot pour me faire bander. Encore 7 jours…
