John Doe, soumis en cage de chasteté.
Hier matin. C’est noël. Réveil tardif. Je bande dans ma cage, et me frotte contre son corps tiède. Je dois être libéré aujourd’hui. Elle : « C’est noël, je
t’ai promis une libération, mais c’est moi qui décide quand. Alors tu te calmes, et tu vas me chercher un café ». Ne pas oublier qui commande…
L’après midi. Elle m’emmène dans notre chambre, ferme la porte, et me déshabille. Elle s’accroupit, ouvre ma cage. Mon sexe jaillit. Elle me suce doucement, en me frappant les couilles sans ménagement. Mon érection durcit encore. Je sais que je vais jouir. Je suis fou. Elle s’assoit sur le canapé, écarte les jambes : « Lèche ». Rapidement, elle explose dans un gémissement, orgasme. Elle : « Viens… ». Je la pénètre doucement, puis de plus en plus fort, Elle me donne une claque sur les fesses pour que j’accélère. Je n’ai pas joui depuis 12 jours, je suis un animal en rut. Elle présente son pied devant ma bouche en souriant. Je l’engloutis immédiatement. Puis, elle attrape ma main, et la pose sur son sexe. Je sais ce que j’ai à faire. Mais je dois m’arrêter assez vite. Elle : « Je ne t’ai pas dit d’arrêter ? ». Moi : « Si je continue, je vais jouir trop vite… ». Elle rit, je reprends. Elle jouit à nouveau. Elle m’assoit sur le canapé : « C’est ton tour ». Elle m’écrase les couilles d’un pied, et me branle doucement de la main. Elle place son autre pied devant ma queue : « Tu va jouir sur mon pied, et tu lècheras après ». Effet immédiat, je jouis. Elle éclate de rire : « Ca te plaît on dirait ! ». Je lèche son pied couvert de sperme sous son regard amusé : « C’est noël, je vais être gentille avec toi. Tu vas rester libre sept jours, et tu auras le droit à un orgasme par jour. Mais attention, si tu ne jouis pas quand je te le dis, si tu n’éjacule pas assez à mon goût, si je constate que tu t’es branlé, c’est retour en cage direct. Economise-toi ! »
L’après midi. Elle m’emmène dans notre chambre, ferme la porte, et me déshabille. Elle s’accroupit, ouvre ma cage. Mon sexe jaillit. Elle me suce doucement, en me frappant les couilles sans ménagement. Mon érection durcit encore. Je sais que je vais jouir. Je suis fou. Elle s’assoit sur le canapé, écarte les jambes : « Lèche ». Rapidement, elle explose dans un gémissement, orgasme. Elle : « Viens… ». Je la pénètre doucement, puis de plus en plus fort, Elle me donne une claque sur les fesses pour que j’accélère. Je n’ai pas joui depuis 12 jours, je suis un animal en rut. Elle présente son pied devant ma bouche en souriant. Je l’engloutis immédiatement. Puis, elle attrape ma main, et la pose sur son sexe. Je sais ce que j’ai à faire. Mais je dois m’arrêter assez vite. Elle : « Je ne t’ai pas dit d’arrêter ? ». Moi : « Si je continue, je vais jouir trop vite… ». Elle rit, je reprends. Elle jouit à nouveau. Elle m’assoit sur le canapé : « C’est ton tour ». Elle m’écrase les couilles d’un pied, et me branle doucement de la main. Elle place son autre pied devant ma queue : « Tu va jouir sur mon pied, et tu lècheras après ». Effet immédiat, je jouis. Elle éclate de rire : « Ca te plaît on dirait ! ». Je lèche son pied couvert de sperme sous son regard amusé : « C’est noël, je vais être gentille avec toi. Tu vas rester libre sept jours, et tu auras le droit à un orgasme par jour. Mais attention, si tu ne jouis pas quand je te le dis, si tu n’éjacule pas assez à mon goût, si je constate que tu t’es branlé, c’est retour en cage direct. Economise-toi ! »
Sam 26 déc 2009
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