John Doe, soumis en cage de chasteté.
Samedi 26 : Orgasme ruiné. Frustration ultime. Elle veut que je me branle devant elle, et que je ruine moi même mon orgasme. Si je jouis, je retourne en cage. Elle : « J’ai envie de voir comment c’est exactement. » Elle a soif d’apprendre. Je lui ai expliqué comment faire, mais elle n’a jamais vraiment été jusqu’au bout. Elle est habillée, assis sur le canapé de la chambre. Je suis nu devant elle, je me branle. Je vais jouir, je lui dis. Elle : « Arrête-toi ». Rien ne sort. « Recommence ». Je suis de nouveau au bord de la jouissance. Je cesse brusquement, un temps d’arrêt, et un jet puissant et bref part. Je n’ai rien senti, je bande toujours. Elle : « Et tu bandes toujours ? ». Moi « oui ». Elle : « Alors recommence ». Elle me fait refaire la même chose deux fois. Elle : « Je crois que j’ai bien compris. La prochaine fois, c’est moi qui le ferais. Tu me préviendras au bon moment. Et si tu jouis alors que tu n’en as pas l’autorisation, tu le paieras… Masse-moi le dos maintenant ». Je bande encore. Elle : « Incroyable, tu as éjaculé trois fois, tu n’as pas pris de plaisir, et tu bandes toujours ! La frustration doit être intense ». Je gémis.
Dimanche 27 : Elle : « J’ai envie d’un homme, un vrai. Maintenant que tu es un peu calmé, tu devrais tenir la distance. C’est toi qui prends l’initiative. Je veux m’abandonner, t’appartenir ». Elle va avoir ce qu’elle veut. Je la prends dans tous les sens, jusqu'à ce qu’elle jouisse, Puis je jouis sur ses seins et son visage. Avant qu’elle ne reprenne ses esprits, je lui attache les poignets aux chevilles, et lui noue un foulard autour des yeux. Je la lèche, et lui écarte le cul de mes doigts. Deuxième orgasme. Je suis de nouveau excité. Je la pénètre violemment, puis je lui dis d’ouvrir la bouche, que je remplis de ma jouissance. Je l’embrasse longuement, nous partageons la saveur de mon sperme. Je détache le foulard. Ses yeux sont remplis de bonheur. Moi : « Alors ? ». Elle : « Je t’aime ».
Lundi 28 : Traitement radical au réveil. Erection matinale. Sans préambule, elle me suce et me branle très vite et très fort. Elle ne s’arrête pas. En quelques minutes, je jouis dans sa bouche. Mais elle n’avale pas. Elle m’embrasse, et déverse tout dans la mienne. Elle : « Petit déjeuner au lit ! ». J’apprécie.