John Doe, soumis en cage de chasteté.

 

Enfin! Après quelque mois de travail qui m'ont parfois emmené loin de chez moi, Je rentre à la maison. Pour récupérer Madame, préparer nos affaires, et partir 15 jours en vacances à la mer. J’étais parti depuis une semaine. Je rentre, il est 18h. Immédiatement, nous nous jetons l’un sur l’autre, et nous embrassons. Très excités, nous allons directement dans la chambre. Elle me jette sur le lit, et commence à me déshabiller. Je suis nu, fou de désir. Elle me dit de l’attendre. Elle revient quelques instants plus tard, les mains dans le dos, souriante. « J’ai vraiment envie de profiter de ces vacances » me dit-elle. Je ne comprends pas. « Pour ça, quoi de mieux que de te garder frustré ? ». Là, je comprends. Elle me donne la cage, qu’elle dissimulait derrière son dos. « Enfile ça ! ». Je lui dis que je ne peux pas. Que je suis trop excité. J’ai surtout envie de lui faire l’amour et de jouir. Mais j’aime encore plus être à ses pieds… Et elle le sait : « Je connais quelques choses que tu adores, mais qui risque de te faire débander un peu… Mets-toi à genoux ! ». Quelques coups de pieds dans les couilles généreusement dosés plus tard, j’ai la queue prête à entrer dans sa cage. En bon maso que je suis, je la remercie pour la séance de ballbusting. Elle rit, je mets péniblement la cage en place. « Maintenant, je vais pouvoir me faire plaisir. Si tu es bien sage, tu auras peut-être le droit de jouir avant la fin des vacances. Maintenant, je veux un massage complet du corps, et ensuite tu lèches. Déshabille-moi ». Elle s’allonge nue sur le lit, je lui embrasse le dos, les jambes, puis les pieds, que je lèche goulument. Je la masse, fou de désir. Encagé et frustré, je pourrais continuer pendant des heures. « Tu vois, si je t’avais laissé libre, tu aurais joui très vite, et tu n’aurais surement as eu envie de me masser si longtemps. Je préfère aller à mon rythme ». Elle se retourne, et écarte les jambes. Je sais ce que j’ai à faire. Je la lèche doucement, jusqu’à l’orgasme. Je la regarde. Elle me dit juste « Encore… ». Je recommence. Ma langue est un peu endolorie, sans parler de mes couilles déchirées par l’anneau de la cage… Le deuxième orgasme est plus long à venir. Elle jouit plus fort, en écrasant mon visage contre sa chatte. « Tu as bien travaillé mon chéri, tu mérites une récompense ». Elle commence par me dilater le cul avec des buttplugs.

 

 

 

Puis, elle enfile son gode ceinture et me défonce copieusement. Elle exulte : « Tu t’imaginais rentrer à la maison, après une semaine d’absence, et me baiser dans tous les sens avant de jouir comme un dingue ? Hé non, tu vois, c’est moi qui jouit, et c’est toi qui te fais baiser dans tous les sens ! Est-ce que tu es content ? ». Il est très frustrant de se faire enculer sans pouvoir toucher sa queue. Je lui réponds, dans un état second « Oui ». Elle éclate de rire. Effectivement, j’aime ça. Etre en son pouvoir. Je l’aime comme un fou, et me soumettre à sa volonté est mon plus grand plaisir. Il est maintenant 20 heures. La petite séance a duré presque 2 heures… Elle m’envoie faire les courses : « Et tu me ramènes plein de bonnes choses. Tout ça m’a donné très faim ! ».