John Doe, soumis en cage de chasteté.
Deux heures du matin. Réveillé par la douleur. Je n’ai plus l’habitude d’être en cage. Je vais dans la salle de bain pour passer mon sexe endolori sous l’eau froide. En me recouchant, je la réveille. Je lui explique, en lui demandant de m’enlever la cage. « D’accord » me dit-elle, « juste pour cette nuit ». Je me réveille vers 10 heures, avec le sexe dur comme du bois. Elle est en train de lire, allongée dans le lit. Elle me tourne le dos. Je me frotte contre ses fesses nues. « Je vois que tu es en forme ce matin ! ». Elle m’attrape la queue et me branle doucement. « Je vais te garder dans cet état le plus longtemps possible, je vais me faire servir comme une reine. Longs Massages, petits déjeuners au lit, et orgasme à la demande. Et tu as intérêt à faire ça bien. Sinon, pas de libération ! Qu’est ce que tu en penses ? ». Elle continue de me branler. « Si tu veux je peux te faire jouir maintenant, et on peut passer des vacances normales. Je ne veux pas passer pour une tortionnaire. Mais je préfèrerais jouer un peu avec toi… Je suis sûre que tu es d’accord ». Je m’entends répondre : « Tout ce que tu veux ». Elle me dit qu’elle m’adore, puis elle prend mon sexe dans sa bouche. Mon corps se contracte, comme sous l’effet d’une décharge électrique. « La récréation est terminée ! A la douche, et tu remets ta cage ». L’après midi, nous partons à la mer.
Aprés quelques mois de liberté, parce que nous n'avions pas les moyens de jouer, je ne m'attendais pas à me retrouver en cage si vite. On peut dire que ça lui à manqué... Elle avait bien essayé, un week-end de mai, de me remettre en cage. Je l'avais suppliée de ne pas le faire, parce que j'avais beaucoup de travail, et que j'avais besoin de sommeil. Elle avait accepté. Mais cette fois, c'est bien fini, elle m'a remis à ma place, à ses pieds. Je l'aime.