John Doe, soumis en cage de chasteté.

Hier, 6h du matin, je suis reveillé. Madame doit se lever à 6h30, pour un nouveau travail. Nouveau : elle a de nouvelles responsabilités, un plus gros salaire,  et le stress "Je vais pas y arriver".

Elle se reveille. 6h10. 20 minutes de massage, cajoleries et calins. Etre en cage me transforme. Sans, j'aurais juste continué à dormir. En cage, je suis reveillé, attentif à ses appréhensions, prêt à tout pour les apaiser. Dès son reveil, je la masse sensuellement. Je bande comme je peux dans ma cage. Elle est ravie. Exactement 42 jours sans jouir, la queue enfermée. Je n'ai d'érection complète que pour elle, et uniquement quand elle en a envie. Je n'ai jamais pris un tel plaisir à la frotter, la dorloter. Je lui prépare le café, et la regarde se coiffer. Elle a de longs cheveux blonds, drus et epais. Le spectacle me ravit. Je la suis partout, m'ebaissant de sa beauté. Je joue avec ses cheveux, continue de la masser, alors qu'elle boit son café dans la cuisine. Dans la salle de bain, je la regarde pisser. M'emerveille du jet puissant, elle rit. Je m'asseois dans la baignoire. Elle se douche devant moi. Artémis dans son bain. Je suis frustré, avide, et en même temps comblé. Elle n'a pas le temps de jouer, elle est pressé. Mais j'ai le privilège de la voir dans ce moment intime. Avant de partir, elle attrape ma cage tendue par l'érection, me regarde droit dans les yeux en souriant, et me dit "A ce soir mon chéri". 

 

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Hier, 19h. Elle rentre. Le repas mijote, une odeur délicieuse se diffuse dans la maison. Elle est ravie. Elle donne une petite tape sur mes fesses nues, et me dis que je suis un amour. Je me cambre, lui offrant mon cul. Elle rit. Elle me donne une fessée. La répétition des coups sur mes fesses me donne une sensation de brûlure. Je bande comme je peuxa dans ma cage, et mords le col de mon polo. Elle me dit qu'elle a mal à la main. Je cours dans la salle de bain, lui chercher sa brosse a cheveux. Je lui tend en souriant, et reprend la position. Elle me frappe les fesses du plat de la brosse, puis les couilles. J'étouffe un cri, et mords mon polo de nouveau. Elle continue de me frapper les couilles a un rythme soutenu. Je pause un genoux à terre. Elle me demande d'un ton doux: "Tu en as assez mon chéri?". "Je crois que oui". Elle rit: "Je veux un verre de vin". Dans la cuisine, alors que je lui sers un verre, je sens que du liquide coule de ma queue. C'est plutôt agréable, ça dure. J'ai une sensation de chaleur dans le ventre qui me terrasse, comme une libération. Je lui amène le verre et lui dit ce que je ressens. Je lui dit que la sensation me rappelle un peu un orgasme, en beaucoup moins fort, mais beaucoup plus long. Elle rit. Je m'agenouille au pied du canapé où elle est allongé, regardant la télé. Je pose ma tête sur sa cuisse. D'une main elle me caresse tendrement les cheveux, de l'autre, elle me caresse les fesses, puis lèche un doigt, et me le met dans le cul, tout doucement. Son doigt glisse lentement entre mes fesses, me pénètre. Je suis au comble du bonheur. Je lui dit: "J'ai l'impression d'être un chat sur les genoux de sa maîtresse. Elle me caresse les cheveux, me branle doucement le cul, et ma queue continue de couler doucement, absolument délicieux. Je sombre dans une douce torpeur. 

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Plus tard, pendant le repas. Nous parlons de son travail. Elle a un projet à finir pour vendredi. Demain, mercredi, elle travaille toute la journée et n'aura pas le temps de le faire. Ce sera donc jeudi. Elle sait que j'ai des compétences en la matière. Elle insinue doucement que si je consentais à le faire pour elle, elle pourrait être très gentille avec moi... Pure manipulation. Je me laisse faire, j'adore ça. Petite négociation. Nous échangeons 4h de travail à faire pour elle mercredi, contre 1/2h de gode-ceinture jeudi. Nous sommes tous les deux ravis de cet accord...

 

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Mer 15 déc 2010 1 commentaire

c'est les boules la queue qui coule toute seule dans la cage

 

TomBdsm - le 18/12/2010 à 15h30

Un peu, mais c'est assez agréable. La cage comprime mon sexe, le liquide passe doucement dans l'urètre, et je profite de chaque instant...

John Doe