John Doe, soumis en cage de chasteté.

 

 

Jeudi, fin d'après midi. J'ai fait son travail, comme prévu. Elle est devant son portable, assise sur le bord du canapé. Elle regarde ce que j'ai fait. Je suis derrière elle, en train de la masser. Elle me félicite. "Tu as bien mérité ta récompense. Va dans la chambre, allonge toi sur le ventre et ferme les yeux, j'arrive". Je l'entends entrer, puis, je sens de l'huile couler sur mon dos. Elle me masse. Elle passe du dos aux fesses, insiste sur l'anus, revient sur le dos... Le petit jeu dure un moment. C'est génial. La pression se fait plus forte sur mon trou du cul, elle y rentre un doigt, le ressort, le massage se poursuit, elle recommence... Finalement, elle se concentre sur la pénétration. Je ne sais plus combien de doigts elle utilise, elle m'ouvre progressivement. Puis elle me met un plug. Elle me demande de la lécher. Je me retourne, elle s'assoit sur mon visage. Elle jouit en écrasant son sexe sur ma bouche. "A toi maintenant". Elle me relève les jambes, je lui présente mon cul et ma queue encagé qui bande tant qu'elle peut. Elle me frappe les couilles à coups de pieds, puis attrape le bambou et me fouette les fesses et les couilles.

 

Les séances de bambou sont chaque fois plus difficiles. Avec le temps, elle prend de l'assurance, et tape de plus en plus fort. En même temps, je lui ai souvent demandé de frapper plus durement. Maintenant, ce n'est plus nécessaire... Mes fesses sont brûlantes, mes couilles me font mal, et ma queue est redevenue petite. Elle joue avec le plug, dedans, dehors, dedans, dehors... Elle enfile son gode ceinture, puis le présente devant mon cul. C'est un moment que j'adore. Sentir la pression du gros gland sur mon petit trou, le sentir doucement entrer dans moi... Elle a bien pris le temps de me dilater pour ne pas me faire mal. Je suis prêt. La séance se transforme très vite en rodéo. Elle se déchaîne, son bassin tape contre mon cul à un rythme de plus en plus rapide. Je suis ouvert en deux et me perds entre la douleur et le plaisir. Quand elle s'arrête, nous sommes tous les deux en sueur, haletants, épuisés. Nous reprenons notre souffle, allongés l'un à côté de l'autre. Je lui dit que je l'aime, elle me regarde en souriant, se penche sur moi, et m'embrasse.