John Doe, soumis en cage de chasteté.

Ce soir, nous regardons la télé, nus dans le lit. Je suis terriblement excité, bien que je ne sois en cage que depuis 24 heures. La douceur, la chaleur et l'odeur de son corps me rendent fou. Elle est allongée sur le dos, je suis à califourchon sur elle. Je l'embrasse sur tout le corps. Longuement, fougueusement. Elle adore ça. Elle me mord les tétons et joue avec ma cage tendue. J'ai envie de faire l'amour. Pas elle. Elle rit, et me dit que je ne suis pas prêt de jouir. Nous jouons ensemble, complices. A la télévision, que nous écoutons distraitement, une publicité. Le mot amour est prononcé de façon suave. Je lui chuchote « amour » au creux de l'oreille, sur le même ton ampoulé. Nous éclatons de rire, et nous embrassons  passionnément. Plus tard, la télévision nous parle de sodomie. Une jeune femme confie ses appréhensions. « Ne t'inquiète pas ma chérie » lui dis-je, « Moi je préfère quand c'est toi qui m'encule ». Nous rions. Elle me provoque : « Ca fait longtemps que je ne t'ai pas fait crier avec mon gode ceinture, ça te manque, hein ? ».Elle me raconte qu'elle prend plaisir à me dominer. Qu'elle est contente de me tenir en cage. Parce que je suis plus tendre, plus attentionné. Je lui dis que moi aussi, j'y prends du plaisir. Un matin je me suis réveillé avec les fesses cuisantes, la veille elle m'avait fouetté. Et ça m'a fait bander. Je lui raconte.  Mes aveux l'amusent : « Tu vas y avoir droit bientôt, mais ne compte pas sortir de ta cage ! ». Nous discutons, librement, sans entrave, sans tabou. C'est divin.
Jeu 26 nov 2009 Aucun commentaire