John Doe, soumis en cage de chasteté.
8 jours. Hier soir, j’ai essayé de négocier une libération. Je n’ai pas insisté très longtemps… Elle : « Tu
as trois possibilités. Je te libère, tu te branles et tu ne m’ennuies plus avec tes histoires de cage. Tu continues à te plaindre, je te laisse en cage jusqu’à l’année prochaine. Sinon, tu peux
simplement te taire. Qu’est ce que tu choisis ? ». Je ne réponds rien, vaincu. Plus tard, dans le lit. Je lui demande doucement de me libérer pour la nuit, en lui promettant d’être sage. Devant
ma mine déconfite, elle éclate de rire : « Non ». Je sais que c’est définitif, je m’endors, encagé et résigné.
Aujourd’hui, fin d’après midi. Je travaille sur mon pc, nu et encagé, assis en tailleur sur le tapi du salon. Elle rentre du sport. Elle est fatiguée. Elle s’allonge sur le tapis, face à moi. Elle est sur le ventre, et pose sa tête entre ses mains, les coudes enfoncés dans le tapis. Elle me regarde en souriant, Elle est sexy comme jamais, immédiatement, je bande. Je m’approche d’elle, soulève délicatement son tee-shirt. Je lui lèche le dos doucement, de la chute des reins jusqu'à la nuque. Elle soupire d’aise. Je savoure longuement et avec délectation le goût de sa sueur. Puis, je la masse tendrement. Elle éclate de rire : « Si elle savait ! J’ai une amie célibataire, qui m’a dit après le sport, qu’elle aimerait bien se faire masser par un homme en rentrant chez elle. Si elle savait qu’en arrivant chez moi, je trouvais un homme encagé, qui me masse sans que je lui demande, qui lèche ma sueur, et en plus qui bande comme un dingue en le faisant! ». Je ris à mon tour, et continue mon massage.
Aujourd’hui, fin d’après midi. Je travaille sur mon pc, nu et encagé, assis en tailleur sur le tapi du salon. Elle rentre du sport. Elle est fatiguée. Elle s’allonge sur le tapis, face à moi. Elle est sur le ventre, et pose sa tête entre ses mains, les coudes enfoncés dans le tapis. Elle me regarde en souriant, Elle est sexy comme jamais, immédiatement, je bande. Je m’approche d’elle, soulève délicatement son tee-shirt. Je lui lèche le dos doucement, de la chute des reins jusqu'à la nuque. Elle soupire d’aise. Je savoure longuement et avec délectation le goût de sa sueur. Puis, je la masse tendrement. Elle éclate de rire : « Si elle savait ! J’ai une amie célibataire, qui m’a dit après le sport, qu’elle aimerait bien se faire masser par un homme en rentrant chez elle. Si elle savait qu’en arrivant chez moi, je trouvais un homme encagé, qui me masse sans que je lui demande, qui lèche ma sueur, et en plus qui bande comme un dingue en le faisant! ». Je ris à mon tour, et continue mon massage.
Lun 21 déc 2009
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