Elle me libère pour jouer un peu avec ma bite. Cela fait deux jours que je n'ai pas pu avoir une érection correcte. C'est assez amusant, le résultat est toujours le même. Au fur et à mesure qu'elle sort de sa cage, ma bite grossit et se tend. Ce qui la fait toujours sourire. Elle m'envoie me laver et me raser les couilles. Au retour de la salle de bain, elle prend ma queue dans sa bouche. Je n'ai pas joui depuis plus de deux semaines. L'excitation est extraordinaire. Je savoure ce moment de pure extase, et béni cette petite cage. Elle me branle et me torture doucement les couilles. Je gémis de plaisir et de douleur.
Elle s'allonge sur le dos, et m'ordonne de la lécher. Ma queue est dure comme du bois. Je la lèche consciencieusement, puis, elle me demande de lui lécher les seins. J'approche ma bouche de ses tétons. La position dans laquelle nous sommes fait que ma queue se présente devant sa chatte que je viens de lubrifier. Je sens mon gland frotter contre ses lèvres. Instinctivement, je la pénètre. Elle soupire d'aise et me dit : "Qui t'a autorisé à faire ça?". Je lui faire l'amour doucement. Moi: "Tu veux que j'arrête?" Elle : "Non, continue, c'est trop bon... Mais tu vas le payer!". Je me déchaîne. Puis, elle me retourne sur le lit, s'assoit à califourchon sur moi en s'empalant sur mon sexe. "Fais-moi jouir avec tes doigts...". Elle jouit violamment. "Ouah! C'était génial! Maintenant je vais m'occuper de toi. Tu vas adorer". Elle me place de manière à ce que mon cul lui soit bien accessible, et que ma queue soit placée devant ma bouche. Elle lubrifie généreusement mon cul, et me pénètre avec ses doigts, tout en me branlant doucement. Elle me défonce ensuite avec un gode. Je suis ouvert en deux. Elle accélère le mouvement. Je suis sur le point de jouir. Je lui dit, elle s'arrête en riant, et me dit: "Tu ne vas pas jouir, mais je vais te ruiner, et tu vas avaler." Je la remercie, elle rit de nouveau, et me dilate le cul en me branlant très vite. Je suis sur le point d'exploser. Elle s'arrête brusquement, et pointe ma queue en direction de ma bouche. le sperme coule doucement sur mon visage, j'avale tout ce que je peux.
Elle me demande si je veux qu'elle recommence. Moi: "Oui, s'il te plaît". Elle: "Non, je n'ai pas envie. Je vais plutôt m'occuper de tes couilles, et je te promets que tu vas déguster". Elle m'allonge sur le lit, jambes écartées, et m'ordonne de croiser les mains derrière la nuque. Ma queue est toujours tendue, mais je sais que je n'ai pas le droit de la toucher. Je l'entends fouiller dans la boite de sextoys, qui se trouve en permanence au pied du lit. Elle en sort un anneau de caoutchouc, et le bâillon-boule. Elle met l'anneau autour de ma bite et de mes couilles, afin qu'elle soient bien vulnérables. Puis elle me baillonne. Elle me torture durement les tétons, et me dit: "Tu sais, quand tu m'as demandé de te frapper les couilles, la première fois, j'ai trouvé ça bizarre. Je l'ai fait pour te faire plaisir. Maintenant, J'y ai pris goût. Je trouve ça hilarant de t'entendre me supplier de frapper plus fort. Tu es prêt?". Sans attendre ma réponse, elle frappe du plat de la main. Assez doucement. C'est quand même douloureux. Je gémis, elle rit. Puis, sans prévenir, elle me donne un coup de poing magistal dans les couilles. un deuxième le suit, puis trois... Je mords le baillon pour ne pas hurler. Elle se sert ensuite de mes couilles comme punching ball, frappant très fort et très vite. La douleur se diffuse dans mon ventre. J'ai mal, et j'aime ça. Je regarde son visage, ses yeux brillent : elle s'amuse vraiment. Elle: "Oh, mais regarde, ta bite est toute petite! On dirait qu'elle veut retourner dans sa cage!". Je hoche la tête pour lui signifier que je suis bien d'accord.
Elle: "Mais je n'ai pas encore fini! A quatre pattes! Sur le sol!" Je me mets en position. Elle m'éclate maintenant les couilles à coup de pied. Je finis prostré sur le parquet, mes couilles sont douloureuses comme jamais. Elle m'enlève le baillon, et présente son pied devant ma bouche. Je la remercie, et lèche. Elle savoure son pouvoir. "Remets ta cage, maintenant, et range la chambre. On dirait un champ de bataille". Effectivement. Plus tard, je la rejoins dans le salon. Elle est assise sur le canapé. Je m'assois par terre, à ses pieds, et pose ma tête doucement sur ses cuisses. Elle me caresse distraitement les cheveux. Elle : "Tu es heureux?". Moi: "Plus que jamais".
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