Chasteté

Lundi 12 novembre 1 12 /11 /Nov 12:10

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Déjà 15 jours de cage, c'est insupportable. donc délicieux! Hier soir, elle est revenu avec une surprise. Un flacon de lubrifiant pour ma cage... "Parce que j'ai vu que tu n'en avais presque plus, et que tu n'es pas prêt d'être libéré". Immédiatement, ma queue essaie de bander dans sa cage. Elle le voit, et rit. "Enlève ton jean, et monte sur la table". J'obéis et me mets à quatre pattes. Elle prend ma ceinture de cuir, et me fouette les fesses et le cul. La ceinture, ça fait mal. Mon corps se couvre de sueur, ça brûle. Elle s'arrête, me demande si je vais bien. Je lui répond juste : "Encore...". Elle m'attrappe les couilles, et les tire en arrière. Je serre les fesses pour qu'elle puisse me les fouetter. Elle frappe. La douleur est intense. Les larmes me montent aux yeux. Je me perds dans un océan de douleur et d'humiliation. Elle s'arrête, lèche doucement mes couilles meurtries, puis remonte vers mon cul, et le titille de la langue. Elle me caresse doucement les fesses. "Tu as envie de jouir?" me demande t-elle. "Oui, mais je préfère rester encagé et frustré pour toi. Je t'aime". Elle me relève, me sourit, et m'embrasse langoureusement. 

 

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Le soir, au lit. J'ai toujours les fesses en feu. Je la caresse, doucement, tendrement. Pas la peine de se presser, de toute manière je ne jouirai pas. Évidemment, j'essaie de bander. Elle s'assoit sur mon visage, s'allonge sur moi, et me titille le gland avec la langue par l'ouverture de ma cage. Je la lèche. Très vite, elle jouit. Puis elle m'écarte les jambes, lèche le cul, et y enfonce deux doigts. "J'ai encore envie de jouir...". Ma langue s'active de nouveau sur son sexe, pendant que ses doigts vont et viennent dans mon cul. La jouissance est plus longue à venir. J'ai mal à la langue, mais je continue. Elle jouit enfin. Nous sommes épuisés. Mais elle est comblée, et moi frustré...

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Elle me dit qu'elle à l'impression d'avoir fait l'amour avec une fille, d'être lesbienne. Je suis estomaqué. Je lui demande pourquoi. "Parce que c'était doux, calme, tendre, langoureux. Privé de ta queue, tu es beaucoup plus attentionné, tu prends le temps de t'occuper de moi. C'est mieux."

Voilà qui a le mérite d'être clair. Et je suis d'accord. Elle est belle, sublime. Je suis fou amoureux d'elle. Elle mérite un homme qui soit a ses pieds. Qui soit prêt à tout pour elle. Qui soit encagé, frustré, castré symboliquement, pour être bien obéissant. J'ai la chance que ce soit moi... 

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Ma bite en cage. Franchement?

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Fuck yeah!

Par John Doe - Publié dans : Chasteté - Communauté : Domination et amour...
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Dimanche 28 octobre 7 28 /10 /Oct 10:03

 

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Mercredi matin. Dans le lit, érection matinale. Je me frotte contre elle. Nous nous embrassons. Je suis super excité. Elle caresse doucement mon sexe, mais elle doit partir travailler. "Je n'ai pas le temps de m'occuper de toi", me dit-elle. "Mais si je te laisse comme ça, tu vas te branler?". J'acquiesce. J'ai très envie de faire l'amour. Je lui dit. Elle me répond qu'elle a très envie de me mettre en cage. Ce qui m'excite encore plus. Je lui titille le clitoris, elle est mouillée. Nous faisons l'amour. Je ne remettrais pas ma cage cette fois. Mais...


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Samedi matin. Je sors de la douche, nu. Je bande, sans même savoir pourquoi. Je la croise, toute propre et habillée, prête à partir travailler. Je me poste devant elle, le sourire aux lèvres. Elle regarde ma queue, sourit à son tour, et l'attrape. Elle me branle doucement. Nous nous embrassons comme des fous. Elle me susurre doucement: "Cette fois tu ne vas pas y échapper. Je te fais jouir, et tu remets ta cage". L'idée de me retrouver frustré et incapable de bander de nouveau m'excite à mort. Je la regarde droit dans les yeux, et lui réponds: "Avec grand plaisir!". Elle rit et me traite de maso. Elle se met à genoux et me suce. Elle serre mes couilles et les étire. Je lui demande d'y aller plus fort. Elle s'en donne à coeur joie. Le mélange de plaisir et de douleur est formidable. Elle se relève, me branle très vite de la main droite, et écrase mes couilles avec la gauche. Je jouis. Très fort. Elle en a plein les mains, et sa jupe est tachée de longs jets de sperme. Elle présente ses mains devant ma bouche. Je les lèche, me régale du goût de mon sperme. Elle appuie sur mes épaules. Je sais ce que j'ai à faire. Je me mets à genoux, jambes écartées, les mains dans le dos. Elle me défonce les couilles à coups de pieds. Je perds le compte, elle frappe toujours. Je finis prostré de douleur. Elle pose le pied sur mon visage. "Tu as sali ma jupe. Je vais me changer. Quand je reviens, je veux que ta bite sois dans sa cage. Compris?". Moi: "Merci, c'était génial". Elle va se changer, pendant que je mets ma cage, que je n'avais pas porté depuis des mois. Game on!

 

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Le soir. Elle rentre. Je l'attends sagement, nu. Elle me sourit, et m'attrape par la cage. Elle m'emmène dans la chambre. Elle se déshabille, s'allonge sur le ventre, et m'ordonne de la masser. Je commence par la nuque, délicatement. Puis les épaules, le dos... Elle grogne de plaisir. Je prends mon temps, même si je n'ai qu'une envie, la faire jouir. Elle me demande de lui masser les pieds. Je m'exécute, les embrasse, et enfin les lèche. Elle écarte les fesses. Je sais ce que ça veut dire. J'enfonce mon visage dans son cul et lèche goulûment. Je déguste la saveur du mélange de sueur et de sexe. Ma bite essaie de bander, je ne peux pas. Sensation délicieuse. Elle se retourne enfin, et écarte les jambes. Je m'installe de manière à ce que mes couilles lui soit accessible, et lèche son clitoris. Elle attrape distraitement mes couilles, et les écrase durement. Elle joue avec, les étire, les torture. Je sens le plaisir monter progressivement en elle. J'accélère le mouvement de ma langue. Elle joui en serrant très fort mon visage entre ses fesses, la main crispée sur mes couilles. Elle crie de plaisir, je crie de douleur. Je la prend dans mes bras et l'embrasse. Elle aime les câlins après avoir joui. Elle reprend ses esprits, et m'envoie lui faire couler un bain et lui préparer à manger.

 

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Nous sommes aujourd'hui dimanche matin, alors que je rédige cet article, ma queue est coincée dans sa petite cage de plastique, et je suis plus heureux que jamais. Je n'ai qu'une envie, rester dans cet état de manque et de frustration délicieux le plus longtemps possible. Je n'ai d'ailleurs pas pu résister, j'ai pris une photo de ma cage, clairement parce que je suis exhibitionniste. Mais aussi pour dire que c'est un jeu sexuel comme les autres, que la perversion n'existe pas, ou qu'elle est partout. Pour affirmer que ce n'est pas être fou que d'avouer et réaliser ses fantasmes, mais bien au contraire lucide.


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Elle et moi avons une vie sexuelle très riche, très équilibrée, et très belle. Les jeux de domination y participe parfois, de façon saine et agréable. Nous nous connaissons depuis longtemps, et savons très bien quels sont nos fantasmes, et comment les satisfaire. Cette complicité extraordinaire est le fruit d'années de dialogue, de pratique, et de curiosité envers l'autre. Nous nous aimons plus que jamais. Et Franchement, c'est génial!

 

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Par John Doe - Publié dans : Chasteté - Communauté : Domination et amour...
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Samedi 29 janvier 6 29 /01 /Jan 15:53

Dans trois jours, je commence mon quatrième mois en cage, privé de jouissance. Je ne me plains pas, bien au contraire, puisque c'est moi qui lui ai demandé. Je suis dans ma petite cage, bien fermée, incapable de bander correctement, et j'aime ça. C'est parfois dur à supporter, mais franchement, j'y suis vraiment bien. Les premières semaines sont un peu difficiles. Puis on s'habitue. J'ai appris a vivre avec. C'est la première fois qu'elle me laisse en cage si longtemps sans jouir. Chaque jour, la vérité est de plus en plus évidente. Aussi bien pour elle que pour moi. Je suis bien mieux en cage que libre. A tel point que je lui ai dit qu'elle pouvait me garder encagé pour toujours, ne plus me laisser jouir du tout, et que me faire enculer de temps en temps me suffisait. Nous faisons toujours l'amour, mais uniquement quand ELLE en a envie. Et je ne suis pas autorisé à jouir. Parfois, j'ai droit a un orgasme ruiné. Docilement, je la préviens quand je vais jouir, et elle arrête de me branler. J'éjacule doucement, sans jouissance. Certains jours elle recommence, deux ou trois fois. Elle adore ça. Mais ce qu'elle préfère, c'est de ne pas me laisser jouir du tout. M'exciter à mort, puis décréter subitement que je dois remettre ma cage. Et elle se moque de moi, de ma docilité. Et j'aime ça.

 

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C'est comme si je n'étais plus l'esclave de mon corps. J'ai changé de maître. Je ne suis plus dirigé par ma queue qui veut jouir, toujours et toujours plus. J'ai transcendé ce désir, je l'ai canalisé vers ma maîtresse. J'ai suivi une cure de désintoxication. J'ai plus que jamais envie de jouir, mais je préfère rester en cage. Parce que j'ai trouvé une satisfaction plus grande en restant encagé, et en faisant tout pour satisfaire ma maîtresse. Elle l'a bien compris. Et en profite chaque jour un peu plus. Pourquoi s'en priverait-elle, puisque je prend du plaisir à la servir, et qu'elle en prend à l'être?

 

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Par John Doe - Publié dans : Chasteté
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Mercredi 15 décembre 3 15 /12 /Déc 14:02

Hier, 6h du matin, je suis reveillé. Madame doit se lever à 6h30, pour un nouveau travail. Nouveau : elle a de nouvelles responsabilités, un plus gros salaire,  et le stress "Je vais pas y arriver".

Elle se reveille. 6h10. 20 minutes de massage, cajoleries et calins. Etre en cage me transforme. Sans, j'aurais juste continué à dormir. En cage, je suis reveillé, attentif à ses appréhensions, prêt à tout pour les apaiser. Dès son reveil, je la masse sensuellement. Je bande comme je peux dans ma cage. Elle est ravie. Exactement 42 jours sans jouir, la queue enfermée. Je n'ai d'érection complète que pour elle, et uniquement quand elle en a envie. Je n'ai jamais pris un tel plaisir à la frotter, la dorloter. Je lui prépare le café, et la regarde se coiffer. Elle a de longs cheveux blonds, drus et epais. Le spectacle me ravit. Je la suis partout, m'ebaissant de sa beauté. Je joue avec ses cheveux, continue de la masser, alors qu'elle boit son café dans la cuisine. Dans la salle de bain, je la regarde pisser. M'emerveille du jet puissant, elle rit. Je m'asseois dans la baignoire. Elle se douche devant moi. Artémis dans son bain. Je suis frustré, avide, et en même temps comblé. Elle n'a pas le temps de jouer, elle est pressé. Mais j'ai le privilège de la voir dans ce moment intime. Avant de partir, elle attrape ma cage tendue par l'érection, me regarde droit dans les yeux en souriant, et me dit "A ce soir mon chéri". 

 

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Hier, 19h. Elle rentre. Le repas mijote, une odeur délicieuse se diffuse dans la maison. Elle est ravie. Elle donne une petite tape sur mes fesses nues, et me dis que je suis un amour. Je me cambre, lui offrant mon cul. Elle rit. Elle me donne une fessée. La répétition des coups sur mes fesses me donne une sensation de brûlure. Je bande comme je peuxa dans ma cage, et mords le col de mon polo. Elle me dit qu'elle a mal à la main. Je cours dans la salle de bain, lui chercher sa brosse a cheveux. Je lui tend en souriant, et reprend la position. Elle me frappe les fesses du plat de la brosse, puis les couilles. J'étouffe un cri, et mords mon polo de nouveau. Elle continue de me frapper les couilles a un rythme soutenu. Je pause un genoux à terre. Elle me demande d'un ton doux: "Tu en as assez mon chéri?". "Je crois que oui". Elle rit: "Je veux un verre de vin". Dans la cuisine, alors que je lui sers un verre, je sens que du liquide coule de ma queue. C'est plutôt agréable, ça dure. J'ai une sensation de chaleur dans le ventre qui me terrasse, comme une libération. Je lui amène le verre et lui dit ce que je ressens. Je lui dit que la sensation me rappelle un peu un orgasme, en beaucoup moins fort, mais beaucoup plus long. Elle rit. Je m'agenouille au pied du canapé où elle est allongé, regardant la télé. Je pose ma tête sur sa cuisse. D'une main elle me caresse tendrement les cheveux, de l'autre, elle me caresse les fesses, puis lèche un doigt, et me le met dans le cul, tout doucement. Son doigt glisse lentement entre mes fesses, me pénètre. Je suis au comble du bonheur. Je lui dit: "J'ai l'impression d'être un chat sur les genoux de sa maîtresse. Elle me caresse les cheveux, me branle doucement le cul, et ma queue continue de couler doucement, absolument délicieux. Je sombre dans une douce torpeur. 

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Plus tard, pendant le repas. Nous parlons de son travail. Elle a un projet à finir pour vendredi. Demain, mercredi, elle travaille toute la journée et n'aura pas le temps de le faire. Ce sera donc jeudi. Elle sait que j'ai des compétences en la matière. Elle insinue doucement que si je consentais à le faire pour elle, elle pourrait être très gentille avec moi... Pure manipulation. Je me laisse faire, j'adore ça. Petite négociation. Nous échangeons 4h de travail à faire pour elle mercredi, contre 1/2h de gode-ceinture jeudi. Nous sommes tous les deux ravis de cet accord...

 

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Par John Doe - Publié dans : Chasteté - Communauté : Domination et amour...
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Vendredi 27 août 5 27 /08 /Août 15:13

 

Je continuerai le récit de nos vacances du début du mois d’août demain. Après ce séjour à la mer mémorable, nous avons de nouveau été séparés, à cause de son travail cette fois. Elle rentre lundi soir. Nous sommes aujourd’hui vendredi. Elle vient de m’appeler. Nous sommes séparés depuis 15 jours et avons très envie de faire l’amour. Nous discutons au téléphone, de ce que nous aimerions faire. Je lui dis que je bande. Elle : « Je veux que tu sois excité à mort quand je rentre. Interdiction de te branler de tout le week-end ». Je lui demande si elle veut que je sois encagé. « Très bonne idée mon chéri. Comme ça, tu seras moins tenté. Et puis tu ne me sauteras pas dessus comme un animal en rut dès que je rentrerais. Tu attendras bien sagement que j’ouvre ta cage ». Me voilà donc en cage, seul, pour le week-end. Vivement lundi !

 

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Par John Doe - Publié dans : Chasteté
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Présentation

  • : John Doe, soumis en cage de chasteté.
  • : La véritable histoire de John Doe ou Comment j'ai fini en cage, soumis à Madame. C'est Elle qui décide où, quand, et comment je jouis. Récit de ma chasteté et de mes (rares!) jouissances. Cage de Chasteté, CB-6000, soumission, domination, bdsm, anal strapon, foot fetish, bondage, bisex, ballbusting, spanking, canning... But NO wanking!
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