Mercredi 25 novembre
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18:05
Beaucoup de travail. Je reste libre les deux jours. J'en profite pour me
branler. Quand elle m'interroge j'avoue tout. Par pure provocation. Mercredi soir, elle me demande pourquoi je n'ai pas remis ma cage. « Tu as déjà marre de ton nouveau jouet ? » Je sais
qu'elle veut que je le remette. Mais je veux l'entendre de sa bouche, qu'elle prenne bien conscience de son pouvoir : « C'est toi qui décide. C'est ton jouet. Je le porte si tu me dis de le faire
». « Alors met-le maintenant ». Subtilement, elle prend le dessus. J'étais demandeur. Bien que largement complice, son rôle était plutôt passif. Doucement, la tendance
s'inverse.
Par John Doe
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Samedi 21 novembre
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17:45
Cela fait une semaine. Je passe beaucoup de temps à la caresser, à la masser. J''ai envie de lui faire
l'amour. Constamment. Elle me dit qu'elle aime lire cette envie permanente dans mes yeux. Elle sait que l'homme se masturbe. Elle sait que j'en suis privé. Je lui ai donné la clé. Je renonce au
plaisir pour son plaisir. C'est une grande preuve d'amour, lui dis-je. « Je sais » dit-elle. Elle a un homme à ses pieds, prêt à satisfaire le moindre de ses désirs. Je suis chaque jour plus
frustré, plus amoureux, chaque jour plus tendre, totalement à l'écoute de ses désirs, soumis à la moindre de ses volontés. Je comprends maintenant d'une autre manière le titre du texte « Un mari chaste, une épouse épanouie ». Epanouissement, c'est le mot qui me vient à l'esprit quand je la regarde. Elle découvre chaque
jour un peu plus les avantages de tenir son homme en cage. Ce matin, elle se lève avant moi. J'adore ces moments où je la vois évoluer dans la chambre, complètement nue. Je bande. Je me lève à
mon tour, l'enlace, et me frotte contre son corps chaud. Elle me libère pour la toilette matinale. A peine le cadenas ouvert, la cage bondit dans ses mains. Une érection somptueuse. Elle la
flatte de la main en souriant. Ma bite est tendue, dure comme du bois. Elle me branle quelques instants, et se met à genoux. Elle me suce doucement, alors que je viens de passer 24 heures en
cage, depuis mes dernières ablutions. Puis elle stoppe brusquement. Elle se relève, et m'embrasse fougueusement. Je sens le goût de mon sexe dans sa bouche. « C'est tout !» me dit-elle. « Tu vas
te raser et te laver, et retour en cage ! ». Je lui réponds simplement « Je t'aime ».
Par John Doe
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Jeudi 19 novembre
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13:09
Du coup j'ai encore passé la nuit en cage. Nous n'en avons pas parlé, mais cela semble être la règle
désormais. Elle me dit qu'elle remarque des changements dans mon comportement. Effectivement, j'ai toujours envie de la frôler, de la toucher, de la caresser, de l'embrasser. J'ai surtout envie
de faire l'amour. Elle ne parle plus de me libérer. Comme si la discussion d'hier soir avait annulé la promesse d'avant-hier. Elle prend ma cage dans sa main, s'amuse à me faire bander. Puis elle
rit, me tape sur les fesses : « pas maintenant ». Je l'adore. Avant de dormir, elle me caresse doucement le dos. Je suis tellement en manque que cette caresse m'électrise. Le simple contact de sa
main sur mon dos me donne des sensations incroyables. Je me rends compte que je bande. Elle est ravie.
Par John Doe
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Lundi 16 novembre
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12:39
Je garde la cage depuis ce matin. Nous sortons ensemble l'après-midi. Nous
avons peur que la cage se voit sous mon jean qui n'est pas particulièrement large. Mais c'est très discret. Le soir, apéro chez des amis, qui se transforme en dîner. Je me sens un peu gêné d'être
encagé en public, mais c'est aussi très excitant. Nous buvons pas mal de vin. Dans le métro presque vide, elle s'amuse à caresser ma cage à travers mon jean. Nous nous embrassons comme des
collégiens. De retour à la maison, je profite des effets désinhibiteurs de l'alcool pour lui parler. D'abord des avantages qu'elle a d'avoir un homme encagé. Elle commence à entrevoir le parti
qu'elle pourrait en tirer. Je dérape sensiblement vers mes fantasmes liés à la cage. Puis je me lâche. Je lui détaille tous les jeux qui me passent par la tête. Sodomie encagé, orgasme ruiné,
etc.…
Par John Doe
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Dimanche 15 novembre
7
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12:35
Elle m'a enlevé la cage pour la nuit. Elle préfère commencer doucement.
Au réveil, sans qu'elle me le demande, je vais me raser le sexe et me laver. Puis
je remets la cage en place. La aussi, je suis un peu inquiet. Je lui apporte
son café au lit. Elle remarque immédiatement la cage. Elle ne dit rien, ne fait
rien, comme si tout était normal. Donc tout est normal. Je respire, ça à l'air de fonctionner. Je porte la cage toute la journée sans problème. Le lubrifiant à base de silicone permet à la cage de glisser sur ma peau rasée. Je ne ressens aucune gêne. Par contre, je sens bien la cage. J'ai l'impression d'avoir sa main qui comprime mon sexe en permanence. Délicieux.
Par John Doe
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