Le matin. J’ai encore mal. Au moment de l’ouverture quotidienne, je ne bande pas. Madame s’interroge. Je lui explique. Elle me propose de mettre un anneau plus grand et une entretoise plus large. J’accepte avec gratitude. La douleur passe dans la journée. Durant la nuit, je suis réveillé par une douleur à la hanche. C’est le cadenas de la cb qui me blesse ? Avec les réglages plus larges, la cb s’est totalement libérée. A l’aide de lubrifiant, j’essaie de la remettre. Impossible. Mes couilles ne passent pas. Je ne comprends pas. Comment ont-elles pu sortir ? Je panique. J’essaie d’ouvrir le cadenas avec la clé, qui est au cou de madame. Elle se réveille. Il est 4 heures. Je m’attends au pire. Mais non. Devant ma mine dépitée, elle rit. Elle ouvre la cage, me dit de la régler comme avant. Je m’exécute rapidement. Je lui caresse les cheveux et le dos jusqu’à ce qu’elle se rendorme. J’ai eu chaud. Mais le calvaire n’est pas terminé. Rêve érotique. Je me réveille de nouveau. Mon sexe est brulant. Je me remémore mon rêve. Madame est sur le lit. Nue, avec un autre homme qui lui fait l’amour. Je suis assis en tailleur à côté d’eux, nu et encagé. Elle me regarde par-dessus son épaule en souriant. Il se retourne brusquement vers moi, et joui dans ma bouche. J’avale, et je le suce pour le nettoyer. Là je me suis réveillé. Ok. J’avoue ne jamais avoir eu le fantasme d'être cocu. Mais là… En me remémorant mon rêve je bande. Je dois me faire à l’évidence. D’autant plus que je suis clairement bisexuel. Même si je suis fidèle à madame depuis que nous sommes ensemble, j’ai eu plusieurs aventures avec des hommes avant de la rencontrer. Pour être plus précis avec deux hommes. Il s’agissait de relation purement sexuelle. J’ai été amoureux de plusieurs femmes, mais j’ai aussi sucé quelques bites. La première fois, j’ai 16 ans. C’était un copain avec qui je fais du sport. Nous sommes vierges tous les deux. Un jour nous luttons sur mon lit, pour jouer. Nous sommes en survêtement. Je remarque qu’il bande. Je lui attrape la queue. Je le regarde droit dans les yeux. Il a l’air d’apprécier. Je le branle. Il se laisse faire et éjacule dans ma main. Quelques temps après, j’ai commencé à le sucer. J’aimais clairement ça. J’avalais son sperme avec délectation. Mais lui n’était pas attiré par les hommes. Il appréciait juste que je le suce, et j’avais juste le droit de le sucer. Une relation de soumission qui me semble évidente maintenant, mais qui ne l’était pas à l’époque. J’adorais cette situation, qui a durée environ un an. Le temps nous a séparés, j’ai connu des filles… Plus tard, alors que j’étais étudiant, je me suis fait draguer dans le sauna d’une piscine municipale. Le sauna comportait deux douches face à face. Je me douche, un homme en face de moi. A part nous, le sauna est vide. Nous sommes tous les deux nus (La règle tacite dans ce sauna). Il me regarde, et commence à bander. Il est musclé, la quarantaine, plutôt beau, avec une bite énorme. Je me frotte avec du savon, les yeux fermés, pour le provoquer. J’ouvre les yeux. Il me regarde en riant et me dit, un peu gêné : « J’arrive pas à m’empêcher de bander ». Je ne sais pas quoi dire. Mais ma bite parle pour moi, je bande. Il me propose d’aller dans le sauna. Je le suis sans un mot. Il sort des préservatifs et du lubrifiant de son sac. Il commence par me caresser et m’embrasser. Je me laisse faire. Puis il me met une capote, et me suce. Il essaie de me mettre un doigt dans le cul. Je refuse. Je suis vierge de ce côté-là, et je n’ai pas (pas encore…) ce fantasme. Je jouis très vite. Je le suce à mon tour, il se libère dans un râle. Il me propose de le revoir. Je décline l’offre, et je m’enfuis, littéralement. J’étais si excité que je me suis branlé dans les vestiaires de la piscine. J’ai jouis très vite et très fort. Puis j’ai avalé mon sperme, frustré de n’avoir pu goûter le sien. Peu après, j’ai commencé à fantasmer sur l’idée de me faire sodomiser.
Madame est au courant de ma bisexualité. Elle sait que j’ai eu des expériences avec des hommes. Un soir, il y a quelques années, elle m’a même parlé d’échangisme, dans un club ou sur internet. Cela m’avait surpris. Mais l’idée m’avait semblé dangereuse. Maintenant… Je ne sais pas.
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