Après-midi. Madame souhaite se faire masser. C’est l’hiver. Il fait sombre. J’allume quelques bougies. Elle met un peu de musique. Je commence par des caresses, puis la masse pendant près d’une heure. C’est un moment extrêmement sensuel. D’abord le dos, puis les fesses. Je frôle sa chatte, elle est mouillée. Je lui écarte doucement les jambes. Je lui masse doucement le clitoris. Elle soupire. Je passe ensuite aux jambes puis aux pieds. Je masse, lèche, suce. Ma langue circule entre ses orteils, puis je les avale tous. Je me délecte. Ca l’amuse. Elle n’en peut plus : « Lèche-moi ». Je lèche longuement, en lui pinçant les tétons. Un spasme. Jouissance. Elle m’allonge sur le lit : « Ne bouge pas ». Elle revient avec un foulard noir. Yeux bandés. Elle me libère enfin de ma cage. Je ne peux même pas voir ma queue. Elle la caresse doucement, jouant avec mon érection, ravie. Elle me mord les couilles. Elle me soulève du lit, en me tirant les couilles avec les dents. Je crie, elle rit. Puis elle s’empale sur moi, d’un coup. J’exulte. Trop de temps depuis la dernière pénétration. Elle me chevauche : « Tu es mon gode vivant ». Quand même. Elle place ma main sur son clitoris : « Fais moi jouir ». L’orgasme arrive très rapidement. « Mets-toi à quatre pattes ». C’est mon tour. Elle tire ma bite en arrière et me lèche, partant de l’anus jusqu’au gland. Elle s’attarde sur les couilles. Je suis en transe. Puis elle me pénètre avec un gode. Je commence à me branler. Elle me donne un coup sur les couilles : « Interdit ! ». Je me laisse faire. Elle prend son temps, et me dilate progressivement. J’ai l’impression qu’elle m’ouvre en deux. Le plaisir est intense, même si elle ne me branle pas. Et comme je ne peux ni voir, ni toucher ma queue, je débande un peu. Elle me retourne, attrape ma bite. Elle rit : « C’est parfait, elle est prête à retourner dans sa cage. » Ca m’excite. Je rebande immédiatement. Elle éclate de rire. Elle m’allonge, écarte mes jambes, puis s’assoit en tailleur entre elles. Elle commence à me branler, doucement. Elle m’amène au bord de la jouissance, puis s’arrête : « Est-ce-que tu vas jouir aujourd’hui ? Je ne sais pas ». J’attrape ma queue. Nouveau coup sur les couilles : »On ne touche pas j’ai dit ». Elle reprend, doucement : « Tu me préviens quand tu va jouir. Trois possibilités : je m’arrête avant et tu ne jouis pas. Je m’arrête pendant, et tu éjacules sans jouir. Ou je te laisse jouir. Qu’est-ce-que tu préfères ? » « Que tu choisisses ». Nouveau rire. « Comme tu veux ! ». Elle me branle tout doucement, longuement. J‘approche de la jouissance. Je lui dis. Elle continue. Jouissance. De courte durée. Elle arrête le mouvement, Et tend ma bite pour dégager le gland. Elle me masse le gland très fort de sa main libre. Elle sait que c’est très désagréable. Mon corps se contracte et s’agite convulsivement. Elle continue un petit moment en riant. Puis elle me fait lécher sa main pleine de sperme. Délectable. Elle me libère les yeux. « C’était comment ? » Je ne sais pas. Je ne sais plus rien. Alors je ne dis rien. Elle se moque de moi. Elle me dit que je vais rester un peu libre. Un jour ou deux sans cage ? Je n’en sais pas plus. Un peu…
Plus tard. Nous sommes nus sur le lit. Nous parlons. Après l’amour, nous discutons souvent. Des fantasmes que nous aimerions réaliser. Ou des moments que nous avons préférés. C’est un instant privilégié. Je lui dis que j’ai halluciné quand elle m’a appelé « son gode humain ». Le plus naturellement du monde : « C’est ce que tu es, tu es en cage, comme un gode dans sa boîte, et je te sors quand j’ai envie ». Ses mots m’excitent. Je bande. Elle se moque de moi : « On dirait que ça te fait plaisir que je dises ça ? Incroyable ! ». Elle me regarde et me tend un pied. Je m’agenouille, et je l’embrasse doucement, puis le lèche. Je lui dis que j’adore lui lécher les pieds. Que c’est un symbole de soumission puissant. Elle m’attrape par la bite, et elle me suce un peu. Je suis très excité. Mais elle s’arrête : « Tu va laver ta cage et tes jouets. Puis tu prends une douche. Ensuite retour en cage. Comme ça, tous mes jouets seront propres et rangés pour la prochaine fois ». Effectivement, je suis resté « un peu » libre. Comme je bande, je rechigne. « Fais pas semblant, je sais que c’est ce que tu veux vraiment ». Je ne dis rien. Elle a raison : J’ai envie de me soumettre à sa volonté. Je souris, elle sourit. Complicité. Je me lève et vais me laver. « Et pas de bêtise dans la douche ! ». Je ne me suis jamais senti aussi soumis, maîtrisé. A tel point que je ne bande pas, car je sais que je dois remettre ma cage. Je l’enfile donc assez facilement. Je lui présente. Elle me flatte les couilles fraîchement rasées : « Elles sont toutes douces, c’est agréable » dit-elle. Et elle ferme le cadenas. Pour combien de temps cette fois ?
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