Hier soir. Nous regardons la télé. Elle me demande de lui masser les pieds. Je m’affaire un moment, avant de poser un timide baiser sur ses orteils. Elle ne dit rien, je lèche, puis suce. Elle se tortille, ça la chatouille. « Qui t’as dit de lécher ? Va me chercher de la corde et le bâillon ». Je lui amène. Elle me lie les bras croisés dans le dos et me bâillonne. Elle m’attrape par la cage, me libère, et me branle doucement. Elle me ligote les couilles avec la corde. Puis, elle me tire avec sa laisse improvisée jusqu'à la porte de la cuisine, et l’attache à la poignée. « Je vais finir le film, toi tu restes là ». Je grogne un peu. Elle attrape et écrase mes couilles. « Arrête, tu adores ça, je le vois bien, tu bandes ! ». Elle a raison. Mais être nu, ligoté, bâillonné, et attaché par les couilles à une poignée de porte, c’est un peu rude. « Si tu es sage, je te raconterais la fin du film, et puis tu as toujours le son ! ». Super. Je reste là, incapable de bouger. Une vingtaine de minutes plus tard, le film se termine. Elle revient s’occuper de moi. A son approche, je bande, imaginant ce qu’elle va me faire subir. « Tu bandes encore ! Tu es vraiment bien dressé ! ». Chlac ! Grand coup de bambou sur les fesses. Je ne m’y attendais pas. Ca surprend ! Elle frappe jusqu’à ce que mes fesses soient bien rouges. « Et tu bandes toujours, faut croire que tu aimes ça ! ». Elle me détache les couilles, mais pas les bras. Elle m’emmène dans le salon, et me remet en cage. Elle me jette sur le canapé. J’ai les mains liées dans le dos, je me reçois comme je peux. « Attends-moi ici, j’arrive ». Elle revient avec un gode ceinture. Après la semaine dernière, où elle m’a pris tous les jours, je m’ouvre facilement. Ce qui l’amuse beaucoup : « Tu es bien habitué maintenant, ca rentre tout seul. On devrait passer au diamètre supérieur ! Qu’est ce que tu en penses ? ». Toujours bâillonné, je grogne. Elle rit : « Attends, je t’enlève ça, je ne comprends rien ! ». Je lui dis qu’elle peut essayer avec sa main. Elle ne dit rien, mais je sens ses doigts qui me pénètrent. Elle essaye de forcer, mais elle ne va pas plus loin. « Je peux mettre tous mes doigts, mais pas plus. Il va falloir t’entrainer encore. Bon, maintenant c’est mon tour, lèche ! ». Je lui titille le clitoris du bout de la langue, son goût m’excite. Je bande, les couilles douloureuses, tendues par la cage. Elle jouit en m’écrasant sans ménagement le visage sur son sexe : « C’est trop bon de jouir, mais c’est pas pour toi ! ».
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