Mercredi 13 janvier
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Hier soir. 5 jours. Libération quotidienne. Comme à mon habitude, je bande dès que je sors de la cage.
Et comme à son habitude, elle me branle doucement, en me disant de ne pas rêver... Puis elle décide de me sucer. Je la vois plonger sa main dans sa culotte. Elle se masturbe délicatement pendant
qu’elle agace mon gland du bout de la langue. « J’ai envie de jouir. Suis-moi ». Elle m’emmène dans la chambre, et attrape son love bunny, qui traîne sur sa
table de chevet. C’est un petit vibro très mignon que je lui ai offert. Elle s’allonge et me met à genoux, elle me dit de lui lécher les pieds. Elle me branle doucement avec son pied libre, et
titille son clitoris avec les oreilles du petit lapin. L’effet est radical. En quelques instants, elle jouit en gémissant. Puis elle s’amuse à écraser ma queue avec son pied en riant. « J’ai
encore envie, allonge-toi ». Elle se met à califourchon sur moi, et s’empale doucement sur ma queue. Mais elle ne bouge pas, Elle se contente de jouer avec son petit lapin. Encore plus vite
que la première fois, elle jouit. Puis elle s’allonge sur le dos en soupirant à côté de moi. « Deux-zéro ! » Me dit-elle en riant. Le temps qu’elle reprenne ses esprits, j’en
profite pour me branler un peu. Dès qu’elle s’en aperçoit : « Zéro, j’ai dit ! C’est interdit et tu le sais bien. Je pense que tu es bon pour une séance de « Plus
fort ! », mon chéri ».
« Plus fort ! », C’est un jeu qu’elle a inventé il y a quelque temps. Les règles sont très
simples. Elle me donne un coup de poing dans les couilles. Si je supporte je dois dire « Plus fort ! ». Et elle recommence, et tape de plus en plus violemment. Au bout d’un moment,
la douleur devient intense. Je ne dis plus rien. Elle m’envoie alors une série de coup de poing très rapide jusqu’à ce que je demande grâce.
Le jeu commence. Elle attrape mes couilles d’une main, et frappe de l’autre. Très vite, je me tais, elle
frappe alors sans relâche. Encore plus vite, je lui demande d’arrêter. En riant : « C’est une punition, je te rappelle ! Et tu bandes encore un peu trop pour rentrer dans ta
cage ». Elle continue jusqu’à ce que ma bite débande complètement. « Hop, la petite queue dans la cage ! Je ne vois vraiment pas l’intérêt de te laisser jouir. Tu es beaucoup plus
utile dans cet état ». Elle m’embrasse tendrement, et me remet la cage: « J’ai envie d’un massage du dos pour me détendre. Au travail ! ».
Clic.
Par John Doe
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Publié dans : Frustration
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