Le soir. Je finis de ranger la cuisine, après le diner. Je suis nu, comme d’habitude. Elle arrive dans la cuisine et se colle contre moi. Je sens quelque chose de dur entre mes fesses : Elle a mis son gode ceinture. Elle me chuchote : « Le repas était parfait. Je vais te récompenser. Mets-toi à quatre pattes ». Elle me lèche doucement le cul, y met un doigt, puis deux, et elle m’encule, sur le sol dur et froid la cuisine, sans autre forme de procès. En même temps elle me caresse doucement les couilles, et me pince les tétons. Je ne bande même pas, ma queue est en cage, je suis résigné. Je me fais défoncer, et je me contente de ce plaisir. Elle en profite pour se moquer de moi : « Ta petite nouille est bien sage dans sa cage. On dirait que tu n’as plus envie d’être libéré ! » Je joue le jeu : « Non, garde et moi en cage autant que tu veux, et encule-moi, j’adore ça ». Eclat de rire. Elle pose un pied devant ma bouche, je lèche. Au bout de quelques minutes de ce traitement, j’ai le cul éclaté, bien ouvert. Elle y rentre tous ses doigts, et essaye d’y passer la main, sans succès. C’est un peu douloureux, mais surtout très bon. Elle rit : « Il n’a pas encore assez l’habitude, mais à ce rythme là, je vais bientôt pouvoir y mettre la main entière ! ». Elle adore se moquer de moi quand elle m’encule. Elle sait que j’adore ça aussi, ça ajoute à l’humiliation de se faire prendre. Elle me demande si j’en veux encore. Je lui réponds oui. Elle me donne une grande claque sur les fesses en riant, et me pénètre le cul avec le gode. Un peu de liquide coule de ma queue, elle le récolte avec ses doigts qu’elle me fait lécher. Je suis dans un état second. Elle s’arrête, et me dit que la récréation est terminée. Elle se relève et me donne un coup de pied dans les couilles. Je me plie en deux. Elle éclate de rire. « Qu’est-ce qu’on dit ? ». Je réponds merci. Elle rit : « Je vais regarder la télé. Tu finis de ranger la cuisine et tu me rejoins. ». Je remplis le lave-vaisselle, et la rejoint dans le salon. Je m’agenouille devant elle, et lui masse un pied. Elle pose l’autre sur ma cage, et me regarde en souriant : « Toi t’as envie de jouir. Continue comme ça, et tu seras exaucé… ou pas ! ».
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