Ce matin, au lit. Je la masse doucement. Le dos, les jambes, puis les pieds. Je suis toujours libre et je bande à l’aise. Elle : « C’est agréable de voir ta grosse queue bien dure. La cage, c’est amusant, mais j’aime aussi que tu bandes pour moi. Tu vas rester libre encore un petit moment. Enfin, si tu es sage. C’est bien simple, si je vois que tu n’éjacules pas en quantité suffisante, ça veut dire que tu t’es branlé. J’ai bien vu la différence avec la cage. Donc tu ne peux pas me mentir. Pas de masturbation en solo, compris ? ». Moi : « Promis ». Encore plus dur que d’être en cage. Quand je ne peux pas me masturber, il est certain que je ne le ferais pas. Par contre, si je peux… C’est difficile. Imaginons un lion. En cage, Il ne tuera personne, il ne peut pas. Par contre, s’il est libre, rien ne pourra calmer ses instincts. Il est dans la nature de l’homme de se masturber, comme dans celle du lion de tuer. Il va donc me falloir une certaine dose d’autodiscipline pour y arriver. J‘ai lu sur un forum un message d’une dominatrice qui disait que les hommes soumis l’ennuyaient avec leurs sempiternelles histoires de cage. Je pense qu’elle n’avait pas réalisé qu’empêcher un homme de jouir pendant deux semaines, c’est pratiquement irréalisable sans cage.
Elle me sort de mes pensées : « Lèche-moi maintenant ». Je me régale de sa chatte bien rasée. Le massage l’a bien excité. Elle lève les jambes et me présente ses fesses. Je lèche son trou du cul, en continuant à la branler avec les doigts. J’y mets un doigt, puis deux, et recommence à lui travailler le clitoris avec la langue. Sa respiration s’accélère, elle jouit en s’empalant profondément sur mes doigts. Sans me laisser le temps de respirer, elle me plaque contre le lit, et s’assoit sur mon visage, m’immobilisant les bras avec ses jambes. Puis elle me branle. Je sens qu’elle va me laisser jouir. Cette fois, je ne me suis pas trompé. Mon corps se tend, elle me suce, je jouis dans sa bouche. Elle se relève et m’embrasse. Je réalise qu’elle a tout avalé : « Tu ne m’en as pas laissé beaucoup… ». Elle me frappe les couilles de la main : « Je te laisse jouir et tu te plains ! Incroyable! Ta bite et tes couilles m’appartiennent. Tu as oublié ?». Elle me frappe de nouveau, puis : « Embrasse mes pieds pour te faire pardonner ». Je m’exécute. Satisfaite, elle m’envoie préparer le petit déjeuner.
A partir de demain, je serai très occupé. Le mercenaire que je suis a un gros contrat. Je
vais donc appuyer sur *PAUSE*. Je reviens d’ici quelques mois. Je ne pense pas avoir le temps de poster d’ici là. Par contre, je continuerai bien évidemment à modérer les commentaires.
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