Le jeu continue. En cage sans jouir depuis lundi. 4 jours. Tous les jours elle me dit qu’elle va me libérer bientôt. Elle me raconte ce qu’elle va me faire. A chaque fois je bande comme un taré. Et elle rit. Je lui parle de mes fantasmes. Parfois elle n’arrive pas à y croire. Mais Ca l’amuse. Je peux tout lui dire. Il y a des choses qu’elle ne veut pas faire. Ou plutôt pas encore. Je la laisse aller à son rythme. Elle est à l’aise. Parce qu’elle sait que c’est elle qui décide. Je propose, elle dispose. Elle comprend maintenant très bien les avantages d’avoir un homme soumis, et en cage. « Tu t’abandonnes complètement à moi. C’est très agréable » me dit-elle. Pour la remercier, je lui embrasse doucement les pieds. Les changements sont assez radicaux. Nos rapports quotidiens sont beaucoup plus orientés vers le sexe. Nous en parlons plus souvent, plus ouvertement. Depuis que je suis encagé, la fascination n’a pas faibli. A chaque fois qu’elle voit la cage, elle ne peut s’empêcher de jeter un œil. Comme si elle n’y croyait pas. Quand nous discutons, bien souvent son regard glisse de mon visage à la cage.
Hier soir, je suis rentré avant elle. Elle arrive. Je suis nu. Je l’accueil en l’enlaçant et en la caressant tendrement. Elle est ravie. Elle m’attrape par les couilles. Immédiatement, je bande. Elle rit : « Tu démarres vraiment au quart de tour ! ». Je l’aide à enlever son manteau, que j’accroche.
Le rituel de l’ouverture, tous les matins, et un moment extrêmement sensuel. Bien souvent, elle s’amuse à me faire bander. « Pour voir si tout marche bien ». Elle est ravie de constater que mon érection est à chaque fois plus dure. Elle s’extasie devant les larges coulées de liquide lubrifiant qui sortent. Parfois elle me suce quelques instants. Jamais jusqu'à l’orgasme. L’issue est presque toujours identique. Claque sur les fesses, puis : « C’est bon, j’ai fini de m’amuser. Tu vas te raser, et tu retournes en cage. Tu jouiras pas aujourd’hui. »
Elle me parle de la façon dont elle m’a fait jouir lundi. C’était la première fois qu’elle jouait à me ruiner un orgasme. Je lui explique qu’elle peut encore faire pire. En arrêtant le mouvement avant l’éjaculation, et en me frappant les couilles pendant que ça coule. En riant : « Tu as vraiment beaucoup d’imagination ! ». Elle me dit que ça l’a beaucoup amusée : « Tu aurais vu ta tête quand j’ai arrêté, et que tu as crié : Continue ! ». Et elle y trouve son avantage : « Lundi, après avoir éjaculé, tu es resté tendre, doux et attentionné. D’habitude, après avoir jouis, tu as moins envie de me toucher, de me caresser ». Elle conclue « Je peux me faire plaisir, jouir tant que je veux, et te conserver excité, tendre et galant après ! C’est très pratique ». Moi : « Tu me laisseras encore jouir de temps en temps ? ». Elle en riant : « Je ne pense pas, non ». Je sais bien que c’est faux. C’est juste le jeu. Immanquablement, Je bande. Elle se moque : « C’est incroyable, à chaque fois que je parle de t’interdire définitivement de jouir. Tu bandes. C’est assez paradoxal! ». Moi : « Mais non. C’est parce que je t’aime ». Elle « Moi aussi ».
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Merci pour vos encouragements. Je n'ai pas beaucoup de temps à consacrer au blog en ce moment. Mais je vais reprendre le fil bientôt!