Hier, 13H00. Nous devons partir travailler dans peu de temps. Elle s’approche de moi. Elle me libère pour que j’aille sous la douche. Mais elle a envie de jouer avant. Elle me suce. Immédiatement, je bande. Je sens que je vais encore être frustré… Excité à mort, et retour en cage. Un grand classique qui l’amuse beaucoup. Elle continue. Elle me mord les couilles. Les étire, puis les frappe du plat de la main. Douleur et plaisir. Elle m’embrasse. Je sens le goût de ma bite dans sa bouche. J’adore ça. Elle persiste. Elle me lèche les couilles, et me branle doucement. Un délice. « Si tu continues, je vais jouir ». Elle : « Tu en as envie ? ». Moi : «C’est toi qui décides ». Elle sourit. C’est ce qu’elle voulait entendre. Je suis au bord de la jouissance. Je lui dis. Elle s’entête. Je jouis. Immédiatement elle lâche ma queue. Je crie : « Continue ! ». Elle rit et regarde le sperme sortir de manière saccadée. Orgasme demi-ruiné. Juste un peu de plaisir au début. Elle met ma bite dans sa bouche, au moment où le dernier jet sort. Elle m’embrasse. C’est merveilleux.
Je sors de la douche. Je bande encore. Elle attrape mes couilles et les écrase. « Tu as encore envie ? ». Je lui réponds « Oui ». Elle, ravie : « C’est génial la cage. Avant pour te faire jouir en te branlant, ça durait des heures. Parfois j’en avais mal à la main. Maintenant, il suffit de te branler doucement pendant quelques minutes, et hop ! Plein de sperme ! ». Je souris.
Je la provoque : « Est-ce que je dois remettre ma cage ? ». Elle ne répond pas. Elle sait que c’est dur. Elle n’a pas envie de me faire souffrir. D’un autre côté, je vois bien qu’elle aime que je sois dans cet état. Manque permanent. Elle me demande : « Tu en as envie ? ». Inflexible, je lui dis : « C’est toi qui décides, pas moi ». Cette fois c’est moi qui suis un peu dur. Je l’oblige à choisir. A être dominante. Je souhaite que ça devienne naturel. Elle trouve une échappatoire : « Ca ne va pas te gêner pour travailler ? ». Elle sait bien que non. Ce n’est pas la première fois que je travaille encagé. Mais ça lui permet de me remettre en cage sans se sentir coupable : Elle m’a ménagé une issue. Je lui souris, lui dis que non cela ne me gêne pas, que ce n’est pas la première fois. Je m’habille. Avant de boutonner mon jean : « Alors ? ». Elle sourit : « Met-la ». Je l’enfile, et lui présente pour qu’elle ferme le cadenas.
Le soir. Nous discutons. Je lui dis qu’elle a été très gentille avec moi. Je la remercie de m’avoir fait jouir. Elle : « Te réjouis pas trop vite. Tu sais pas combien de temps tu vas rester en cage cette fois ». Moi : « Combien de temps ? ». Elle, riant : « Peut être un an… ». Entendre ça me fait bander. « Je parle de te laisser un an sans jouir et ça te fais bander ? Incroyable ! Tu es vraiment bizarre ». Je ris : « Non, c’est juste que j’adore quand tu me domines. Et puis tu ne tiendrais pas un an ! ». Elle « ça t’en sais rien, je peux toujours me faire lécher. Et j’ai pas mal de gode à ma disposition ». Elle me flatte les couilles, s’amuse de me voir bander dans ma cage. Je grimace un peu, mes couilles sont tendues au maximum. Elle le voit, et éclate de rire.
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