Je suis de plus en plus obsédé par l’orgasme ruiné. J’ai envie qu’elle m’attache, et qu’elle me bâillonne. Qu’ensuite elle me sorte de la cage et qu’elle me fasse éjaculer sans jouir, avant un retour en cage direct. Un plaisir uniquement cérébral. Le plaisir d’être soumis. Maîtrisé par celle qu’on aime. Complètement dominé, à sa merci, abandonnant sa propre volonté. En un mot, et même si j’ai du mal à l’avouer, humilié. Comme pour lui prouver que par amour pour elle, je suis prêt à tout supporter. Renoncer à la jouissance pour toujours être à sa disposition, pour avoir envie d’elle constamment. Elle regarde de temps en temps mon blog. J’écris ces lignes pour qu’elle le lise. Et qu’elle le fasse.

Elle est en train de lire ce que je viens d'écrire par dessus mon épaule. Je vais être vite fixé. Verdict : « Si c’est vraiment ça que tu veux, tu vas l’avoir ». Parfait. J’ai eu ma réponse beaucoup plus vite que je ne m’y attendais ! Tant qu’on en parle, tu ne veux pas le filmer ? Je pourrais le poster sur le blog. Encore plus humiliant ! Verdict : « Ça, on verra ». Bon. Merci pour ces réponses rapides ma chérie. C’est une curieuse manière de discuter. Je tape mes questions sur le PC, tu les lis, et tu me réponds de vive voix. Amusant. Elle attrape ma cage. Là, elle a un regard bizarre…Qu’est ce que tu vas faire ? Aïe ! Coup de poing sur les couilles : « Comment ça j’ai un regard bizarre ? ». Euh non, je voulais dire énigmatique. « C’est mieux ». Aïe ! Nouveau coup de poing : « Te plains pas, t’aimes ça ». J’avoue. Et pour les mêmes raisons qui me poussent à te proposer de me priver de jouissance. Aïe ! Nouveau coup de poing : « J’ai bien compris, alors savoure ». Elle attrape mes couilles de la main gauche, et les tend au maximum. Elle lève la main droite, poing fermé. Elle me regarde en souriant. Elle attend que j’ai fini d’écrire, et… Aïe ! Aïe ! Aïe ! Série de coup de poing sur les couilles. Ça fait mal. Elle s’en va, satisfaite de son petit effet. Merci madame.