14h. Elle m’enlève la cage : Nous allons nous baigner. Nous partons vers une plage déserte, bordée de dunes. Il y a peu de monde dans ce coin, parce que la plage est difficilement accessible. Dans l’eau. Nous nous embrassons, elle caresse ma queue tendue à travers mon maillot, malgré la fraicheur de l’eau. Nous enlevons nos maillots. Nous aimons nous baigner nus. Parfois même, quand il y a peu de monde sur la plage, nous bronzons nus, provocant quelques regards étonnés, puisque qu’il ne s’agit pas d’une plage naturiste. Ça nous amuse beaucoup. Nous continuons à nous embrasser, et, d’un coup, elle s’empale sur mon sexe en riant. Elle fait de lents va et vient, j’accompagne le mouvement. C’est délicieux, nous faisons l’amour dans l’eau, alors que des gens passent sur la plage, à quelques mètres de nous. Elle « C’est curieux, c’est tout froid à l’intérieur de moi ». Nous rions. Elle me demande si j’ai envie d’aller dans les dunes faire l’amour. Je lui réponds bien sur, ravi mais un peu étonné qu’elle pense déjà à me libérer. Elle sort de l’eau, et part dans les dunes. « Rejoins-moi quand tu seras présentable ! » Effectivement, je ne peux pas sortir de l’eau avec une érection pareille. Je nage, ce qui a pour effet de faire retomber un peu la tension. Je la rejoins dans les dunes, dans un endroit très discret que nous connaissons bien, et où personne ne vient jamais. Elle est nue, allongée sur sa serviette. Rien qu’à la voir, je bande. Je m’approche d’elle, et la lèche. Elle est déjà trempée. En même temps, je commence à me branler doucement. Elle se relève brusquement. « Qui t’as dit que tu pouvais te branler ? » Elle sort la cage de son sac de plage. Je suis surpris qu’elle ait pensé à la prendre. Enfile-la, ça te calmera. Je regarde ma queue, et la petite cage, puis je la fixe. « Evidemment, là ça ne va rentrer. Peut-être que je peux t’aider ? » Me dit-elle en prenant mes couilles par la main ? Je réponds oui en souriant. Elle me dit « Donc tu as envie de te faire défoncer les couilles, pour ne plus bander, et pour pouvoir enfiler la cage sur ta queue? ». Je lui réponds oui. Elle rit : « Demande le moi alors, supplie moi de t’éclater les couilles ». Je m’exécute. Elle rit de nouveau, et frappe du plat de la main. Mais ça ne fonctionne pas. Elle a beau taper, je bande toujours. Elle « Si tu ne veux pas finir avec les couilles VRAIMENT explosées, tu devrais faire un effort, parce que je n’arrêterais pas tant que tu banderas ». C’est pire, à entendre ses mots, je bande encore plus. « Bon, comme tu veux. Mets-toi à genoux». Elle me donne un énorme coup de pied dans les couilles. Je me plie en deux et roule à terre. La douleur est assez intense, et je débande suffisamment pour rentrer dans la cage. Je la remercie, elle éclate de rire. Je mets la cage en place, et lui présente pour qu’elle ferme le cadenas. Elle me met à quatre pattes, et me lubrifie le cul. Je l’entends fouiller dans son sac, elle sort un buttplug, et me l’enfonce sans beaucoup de ménagement. « Tu as pensé à tout ma chérie ! ». Elle sourit, et me dit : Maintenant que je me suis bien occupé de toi, c’est mon tour. Elle s’allonge, écarte les jambes, je lèche en lui pinçant les tétons. « Tu imagine si quelqu’un nous surprend, avec ta cage et un plug dans le cul ? Tu serais bien embêté ! ». Elle jouit très vite, et me demande de la masser. Quelques minutes plus tard, elle a envie de faire pipi. Tu vas être content, tu peux regarder si tu veux. Et puis, tu auras le droit de me lécher après pour me nettoyer. Elle fait un petit trou dans le sable, et pisse doucement. Je regarde attentivement ce magnifique spectacle. Je passe ma main sous le jet, et lèche mes doigts. Ensuite elle s’allonge, et je lèche sa chatte, ses fesses et son cul pour bien la nettoyer. Je me régale, et m’attarde sur son clitoris. « Continue… » Chuchote-t-elle. Je sens un liquide tiède couler dans ma bouche. Elle jouit de nouveau dans un spasme violent. « C’était trop bon, tu peux pas savoir ! ». Elle m’attrape par la cage, et m’embrasse sur la bouche. Nous partageons le goût de son sexe. Ma queue est bien à l’étroit. « Si tu continue à être bien obéissant comme ça, tu auras peut-être le droit de jouir ». Je lui réponds simplement « Je t’aime » en la prenant dans mes bras.
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