Dimanche. 19 heures. Je rentre à la maison. J’ai à peine le temps d’accrocher mon manteau. Elle se jette sur moi. Elle me bande les yeux. Elle s’amuse à me faire tourner sur moi-même, comme à colin-maillard. Je perds complètement la notion de l’espace. Elle me déshabille. J’essaie de l’aider. Elle m’attrape violemment par la cage : « Toi, tu ne bouges pas ». Je suis sous contrôle. Elle me tire par la cage, qu’elle sert dans sa main. Elle m’emmène quelque part, je ne sais pas où. Soudain elle me jette vers l’avant. J’ai peur de me blesser. J’atterris sur le lit, soulagé. Elle me positionne à quatre pattes. Elle m’attache les mains dans le dos, puis les pieds. Je ne vois rien, je ne peux plus bouger, et je bande dur dans la cage. Elle me frappe les fesses avec sa tige de bambou. Doucement puis de plus en plus fort. La couleur de mes fesses lui semble satisfaisante. Elle s’attaque à la plante des pieds. Je mords l’oreiller. Cela devient difficilement supportable. Elle le voit. Elle reprend sur les fesses. Puis elle s’attaque à mes couilles.
Le bambou sur les couilles, ça fait hyper mal. Les couilles sont beaucoup plus sensibles que les fesses ou les pieds. Mais elle a l’air de s’en moquer. Au premier coup, je crie. Elle rit : « C’est pas ce que tu voulais ? ». Elle sait très bien que je vais répondre : « Si ». Alors elle frappe, frappe. Ca brûle. Elle trouve que la cage me protège trop. Elle l’enlève. Les coups reprennent. Elle : « Maintenant, je vais m’occuper de ton cul ». Elle me pénètre sans ménagement. C’est un peu douloureux au début. Mais j’ai l’habitude. La douleur se transforme en plaisir. Elle passe au diamètre supérieur. Elle me défonce le cul. En même temps, elle claque mes couilles endolories de la main gauche. J’ai mal, alors je débande un peu. Elle sait comment y remédier : « Ha ! Tu es prêt à retourner dans ta cage !». Paroles magiques. Immanquablement, je rebande. Ravie, elle me branle doucement, tout en continuant à me travailler le cul. Elle me fourre son pied dans la bouche : « Lèche ! ». Le bonheur. Je suis au bord de la jouissance. Je lui dis. Elle arrête le mouvement pour me ruiner l’orgasme. Mais il est trop tard. Avec le gode qui me titille la prostate, un pied dans la bouche, les jours de manque, et la séance qu’elle vient de me faire, je jouis. Animal, brutal, violent. Délicieux. Je lui dis. Elle rit : « Cette fois, tu as eu de la chance ! Ce sera pas toujours comme ça ».
Elle me détache les yeux. Je découvre l’énorme quantité de sperme que je viens de produire. Je lui dis que je n’ai jamais éjaculé autant. Elle rit, trempe son pied dans le sperme, et me le fait lécher. Je me délecte longuement. Ca l’amuse beaucoup : « C’est bon ? ». Je grogne : « Délectable » en continuant de lécher. Elle met de nouveau son pied dans le sperme. Puis elle le lèche en me regardant droit dans les yeux. J’hallucine. Mon sexe se tend instantanément. Elle éclate de rire : « Ca t’excite ? Moi aussi je suis excitée. Fais-moi jouir. » Je la lèche. Très vite, elle jouit. Effectivement, notre petite séance lui a fait de l’effet. Elle : « Je te laisserais bien attaché un moment, mais il faut que tu me ranges tout ça, et que tu ailles me faire à manger ». Je regarde l’heure. Il est 20 heures. Une heure de plaisir. J’ai l’impression que ça a duré 20 minutes. L’intensité de l’action m’a fait perdre toute notion du temps. Elle me libère. Je regarde autour de moi. Un carnage. Des cordes, des godes, la cage démontée, du lubrifiant partout… Indescriptible. Je range et je vais lui préparer à manger. Je ne retourne pas en cage.
Pendant le repas. Elle : « Je n’ai pas oublié de la remettre. J’ai juste décidé de te laisser libre un moment. Mais ne rêve pas ça ne durera pas ». Elle me parle d’un article du blog. Elle me demande si j’ai vraiment envie de coucher avec elle et un autre homme. Je lui explique mes fantasmes. « Ca peut être simplement toi qui baise avec un autre homme, et moi qui regarde, attaché et encagé, impuissant. Ou un homme qui nous baiserait chacun notre tour. Encagé et enculé par un mec devant toi, l’idée me fait bander. » Effectivement, je bande. Elle hésite « Pourquoi pas, mais trouver l’homme qu’il nous faut, ce n’est pas simple. On peut simplement attendre qu’une occasion se présente ». Elle conclut : « On a le temps, si on réalise tout nos fantasmes maintenant, qu’est ce qu’il nous restera plus tard ? ». Elle est parfaite, je l’aime.
Nuit. Dans le lit. Je la caresse et la masse doucement. Je vois qu’elle est excitée. Je la lèche, et lui titille l’anus, jusqu’à l’orgasme. Elle : « Viens… ». Elle veut que je la pénètre. Ce n’est pas arrivé depuis au moins un mois. Nous faisons l’amour, passionnément, longuement. Je la prends dans tous les sens. Après la frustration de la cage, j’en profite. Je présente mon gland devant son anus. Je pousse un peu. Elle rit : « Rêve pas, ici, c’est pas moi qui me fait enculer ». Je suis estomaqué. J’adore qu’elle me parle comme ça. Je la prends en levrette, en la masturbant doucement. Elle jouit une seconde fois. Je suis prêt à jouir, je lui dis. Elle se retourne vivement, me donne un coup de pieds dans les couilles : « Tu jouis sur mon pied, et après tu lèches ». J’explose immédiatement. Je lèche sous son regard amusé. Elle a vraiment pris le contrôle. Avant, il lui arrivait de faire l’amour avec moi pour me faire plaisir. Ca manquait d’intensité. J’étais parfois le seul à jouir. Ca n’arrivera plus mon amour.
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