Ce matin. Elle sent que je bande. Je me branle doucement entre ses fesses. Elle se lève, et m’écrase les couilles du pied. La douleur me fait un peu débander. « Qui t’a autorisé à faire ça ? Toi tu vas retourner dans ta cage vite fait ! » Mais je reste libre.
Soir. Elle rentre. Je suis nu, sans cage. Elle : « Pourquoi tu n’as pas remis ta cage ? ». Moi, dépité : «Tu ne me l’as pas demandé ». Elle : « C’était une évidence ». Viens ici. Elle me donne une fessée : « Tu remets ta cage immédiatement !». Je la supplie de me laisser jouir une dernière fois avant de mettre la cage. « Surement pas ! ». Elle me trouve indiscipliné : « Tu voulais être en cage et m’obéir ? Alors tu obéis » C’est très dur. Je regrette de ne pas m’être branlé quand j’étais seul. Maintenant il est trop tard. J’ai beaucoup de mal à me faire à l’idée de me retrouver en cage à nouveau. Je tarde un peu. Je fais mine d’avoir des difficultés à la mettre. Elle s’énerve « Viens ici ! ». Elle me prend la cage des mains, et me l’enfile sans ménagement.
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