Mercredi 16 décembre
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Nuit difficile. De retour en cage après 48 heures de liberté. Je ne me suis même pas masturbé. Je lui ai
expliqué pourquoi. Elle a adoré. Savoir que la cage m’a conditionné, m’a programmé à ne plus jouir que sur son ordre, même libre. Je me remémore son visage radieux quand je lui ai dit. Pour ce
sourire, j’ai donné mon droit à jouir. Et je ne le regrette pas. Je lui confie que j’ai tenu deux jours, mais que sur une durée plus longue, je pourrais craquer. Elle : « C’est pour ça que tu es
en cage, non ? ». Effectivement.
Des lecteurs ont publié des commentaires sur le post d’hier. On me dit que je dois être puni pour mon comportement. On me parle de rester en cage sans jouir jusqu’à noël, pour me faire pardonner.
Je vais lui faire la proposition. J’aurais ainsi le plus beau des cadeaux ! Et puis, il me semble que je l’ai bien mérité.
Hier, ça a vraiment été dur de retourner en cage. L’idée de ne plus pouvoir bander, de ne même plus pouvoir toucher ma queue, d’être de nouveau prisonnier… Me rendait dingue. Maintenant, je m’y
suis réhabitué. Je m’en veux d’avoir réagi comme ça. Je sais bien que ma place est à ses pieds, encagé. Je lui ai proposé, elle a accepté, maintenant je dois assumer.
Par John Doe
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Publié dans : Chasteté
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