Une semaine. Elle me l’a dit. Ce n’est pas pour aujourd’hui. Tension sexuelle quasi-permanente. Je suis à ses pieds.Nous marchons dans la rue. Nous parlons de la clé, qu’elle arbore de façon ostentatoire, entre ses seins. Je lui explique que certaines personnes savent ce que cela signifie. Que c’est un code qui la défini en tant que Keyholder. Elle me demande ou est le problème. « Pour moi il n’y en a pas. Mais je tenais à te prévenir. Avec ça autour du cou, tu affiches le fait que je sois en cage aux gens qui connaissent la symbolique de la clé ». Ca ne la dérange pas. Bien au contraire, ça l’amuse : « Si ils sont au courant, c’est qu’ils connaissent, donc ça ne les choquera pas. Et si quelqu'un me demande à quoi sert cette clé, je lui dirais que c’est la clé de la boîte à lettres ». La clé restera là. A la vue de tous. Je bande de nouveau. Nous arrivons à la maison. Je me déshabille. « Ca te plairait que quelqu’un sache que je te tiens en cage ? ». Je ne sais quoi répondre. « Vu comment tu bandes, je penses que ça te plairait… ». Avant d’être en cage, je lui avais déjà confié que je fantasmais sur l’idée de faire l’amour avec elle et sa meilleure amie. Les deux filles sont très complices. Que son amie puisse savoir que je suis encagé m’excite. Je lui avoue. Elle rit : « Si elle me demande à quoi sert la clé, je lui dirait peut-être la vérité… ». Elle me provoque. Je surenchéris : »Si tu veux, je pourrais même lui montrer à quoi ça ressemble ». « Tu veux dire lui montrer ta bite encagée ? » « Oui, si elle veut ». Claque sur les fesses en riant: « T’es vraiment un gros pervers ! ». La conversation s’arrête là. Je pense que ça n’ira pas plus loin, qu’elle n’en parlera pas. Mais dans une soirée entre filles, il peut s’en dire des choses…
J’ai la nette impression que la cage décuple mes fantasmes. Je suis poussé dans mes derniers retranchements. L’envie permanente me submerge. Nous regardons la télé. Publicité. Un père noël. Je suis en érection. Elle se moque : « C’est le père noël qui te fait bander ? ». J’éclate de rire : « Je suis comme une bête en rut ». Elle : « Pas aujourd’hui ! Demain, je pense pas non plus en fait. T’es tellement drôle quand tu es dans cet état ! ». Moi : « Oui mais… » . M’interrompant : « Tu râles ? Parfait. Ce sera pas vendredi non plus. C’est toi qui parlais de plus longue période ? En voilà au moins pour deux jours de plus. J’espère que tu es content ». Je ne peux que répondre « Oui ».
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