Mercredi 18 novembre
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Hier soir, Madame a « oublié » d'enlever la cage. Je suis persuadé qu'elle
l'a fait exprès. Mais je ne dit rien. Vers 5 heures J'ai une érection Qui me réveille. C'est un peu douloureux. Mais la sensation d'être totalement soumis à sa volonté est tellement voluptueuse
que je supporte. Aujourd'hui, elle travaille toute la journée. Je suis seul, encagé. (Nous sommes tous les deux freelances, donc nous ne travaillons pas tous les jours, et avons des horaires très
variables). Je l'attends toute la journée, en pensant à ce qu'elle m'a dit hier. Elle rentre tard, un peu fatigué. Le soir, je la caresse, espérant être libéré. « Je sais que je t'avais dit que
je m'occuperais de toi ce soir, mais je suis trop fatiguée. Tu ne m'en veux pas ? ». Alors je lui explique. Que si j'ai une cage, c'est justement pour lui appartenir, être à sa disposition. Que
bien sûr, je ne lui en veux pas. Qu'elle n'a pas à s'excuser, puisque c'est elle qui choisit où et quand. Que je lui ai abandonné mon droit à jouir, par amour pour elle. Sourire radieux, elle se
love contre moi. Je lui caresse tendrement les cheveux, jusqu'à ce qu'elle s'endorme.
Par John Doe
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Publié dans : Frustration
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