L'automne, petite pause vanille. Période plus calme. Parfois, elle me demande si je veux retourner en cage. Je lui dis que c'est elle qui décide. Elle n'insiste pas, je reste libre. Je ne veux pas la forcer, j’attends qu’elle en ait vraiment envie. Nous faisons l'amour régulièrement avec grand plaisir.
Puis, début novembre, un soir. Elle me masturbe doucement. Elle me dit qu'elle a envie de me remettre en cage. Moi aussi. Je suis excité à mort, dans le feu de l'action, je lui confie mes fantasmes les plus extrêmes. Je lui dis tout. Que j'ai envie d'être encagé en permanence, à sa merci. De ne plus éjaculer que par orgasme ruiné. De ne sortir de ma cage que pour me faire défoncer les couilles à coup de poing, de pied. De me faire sodomiser et fouetter aussi souvent qu'elle en a envie. D'être son esclave, de la masser, de lui lécher les pieds, et de la faire jouir autant qu'elle le veut. Elle n'est pas surprise par mes aveux. Elle connait mes fantasmes depuis longtemps. Elle sourit, et me dit: "Très bien. Je vais te faire jouir. Profites-en bien, c'est la dernière fois". Ces mots me font jouir immédiatement. Elle me fait lécher sa main, rit de me voir avaler goulument mon sperme. Elle sort la cage de la boîte de sextoys, qui n’est jamais bien loin. Elle essaye de la poser. Evidemment, je bande. Elle force, j’ai mal, ça ne passe pas. Elle laisse l’anneau en place, attrape la tige de bambou, et me demande de présenter mes couilles. Je relève ma queue pour lui offrir mes couilles enserré dans l’anneau. Elle frappe, frappe. Mes couilles prennent une légère teinte bleue. Elle me dit : « C’est drôle, je te massacre les couilles, et tu restes la sagement, sans rien dire ! » Je ne bande plus, un peu de lubrifiant, et ma queue retrouve enfin sa cage. Je lis dans son regard l’excitation, le plaisir de me mettre à sa merci. Nous nous embrassons fougueusement, et je la caresse sur tous le corps. Elle prend ma tête, et la met entre ses jambes. Je lèche, orgasme. Nous nous reposons quelques instants, je la caresse tendrement. Elle me regarde avec un petit sourire malicieux : « Tu sais, je crois que ça m’excite vraiment de te tenir en cage. Tu viens de me faire jouir très fort. Ca mérite une récompense : Tu veux que je t’encule ? ». Je l’aime.
Novembre 2024 | ||||||||||
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