Orgasme

Lundi 28 décembre 1 28 /12 /Déc 14:06

Samedi 26 : Orgasme ruiné. Frustration ultime. Elle veut que je me branle devant elle, et que je ruine moi même mon orgasme. Si je jouis, je retourne en cage. Elle : « J’ai envie de voir comment c’est exactement. » Elle a soif d’apprendre. Je lui ai expliqué comment faire, mais elle n’a jamais vraiment été jusqu’au bout. Elle est habillée, assis sur le canapé de la chambre. Je suis nu devant elle, je me branle. Je vais jouir, je lui dis. Elle : « Arrête-toi ». Rien ne sort. « Recommence ». Je suis de nouveau au bord de la jouissance. Je cesse brusquement, un temps d’arrêt, et un jet puissant et bref part. Je n’ai rien senti, je bande toujours. Elle : « Et tu bandes toujours ? ». Moi « oui ». Elle : « Alors recommence ». Elle me fait refaire la même chose deux fois. Elle : « Je crois que j’ai bien compris. La prochaine fois, c’est moi qui le ferais. Tu me préviendras au bon moment. Et si tu jouis alors que tu n’en as pas l’autorisation, tu le paieras… Masse-moi le dos maintenant ». Je bande encore. Elle : « Incroyable, tu as éjaculé trois fois, tu n’as pas pris de plaisir, et tu bandes toujours ! La frustration doit être intense ». Je gémis.

Dimanche 27 : Elle : « J’ai envie d’un homme, un vrai. Maintenant que tu es un peu calmé, tu devrais tenir la distance. C’est toi qui prends l’initiative. Je veux m’abandonner, t’appartenir ». Elle va avoir ce qu’elle veut. Je la prends dans tous les sens, jusqu'à ce qu’elle jouisse, Puis je jouis sur ses seins et son visage. Avant qu’elle ne reprenne ses esprits, je lui attache les poignets aux chevilles, et lui noue un foulard autour des yeux. Je la lèche, et lui écarte le cul de mes doigts. Deuxième orgasme. Je suis de nouveau excité. Je la pénètre violemment, puis je lui dis d’ouvrir la bouche, que je remplis de ma jouissance. Je l’embrasse longuement, nous partageons la saveur de mon sperme. Je détache le foulard. Ses yeux sont remplis de bonheur. Moi : « Alors ? ». Elle : « Je t’aime ».

Lundi 28 : Traitement radical au réveil. Erection matinale. Sans préambule, elle me suce et me branle très vite et très fort. Elle ne s’arrête pas. En quelques minutes, je jouis dans sa bouche. Mais elle n’avale pas. Elle m’embrasse, et déverse tout dans la mienne. Elle : « Petit déjeuner au lit ! ». J’apprécie.

 

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Par John Doe - Publié dans : Orgasme
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Samedi 26 décembre 6 26 /12 /Déc 14:02
 Hier matin. C’est noël. Réveil tardif. Je bande dans ma cage, et me frotte contre son corps tiède. Je dois être libéré aujourd’hui. Elle : « C’est noël, je t’ai promis une libération, mais c’est moi qui décide quand. Alors tu te calmes, et tu vas me chercher un café ». Ne pas oublier qui commande…
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L’après midi. Elle m’emmène dans notre chambre, ferme la porte, et me déshabille. Elle s’accroupit, ouvre ma cage. Mon sexe jaillit. Elle me suce doucement, en me frappant les couilles sans ménagement. Mon érection durcit encore. Je sais que je vais jouir. Je suis fou. Elle s’assoit sur le canapé, écarte les jambes : « Lèche ». Rapidement, elle explose dans un gémissement, orgasme. Elle : « Viens… ». Je la pénètre doucement, puis de plus en plus fort, Elle me donne une claque sur les fesses pour que j’accélère. Je n’ai pas joui depuis 12 jours, je suis un animal en rut. Elle présente son pied devant ma bouche en souriant. Je l’engloutis immédiatement. Puis, elle attrape ma main, et la pose sur son sexe. Je sais ce que j’ai à faire. Mais je dois m’arrêter assez vite. Elle : « Je ne t’ai pas dit d’arrêter ? ». Moi : « Si je continue, je vais jouir trop vite… ». Elle rit, je reprends. Elle jouit à nouveau. Elle m’assoit sur le canapé : « C’est ton tour ». Elle m’écrase les couilles d’un pied, et me branle doucement de la main. Elle place son autre pied devant ma queue : « Tu va jouir sur mon pied, et tu lècheras après ». Effet immédiat, je jouis. Elle éclate de rire : « Ca te plaît on dirait ! ». Je lèche son pied couvert de sperme sous son regard amusé : « C’est noël, je vais être gentille avec toi. Tu vas rester libre sept jours, et tu auras le droit à un orgasme par jour. Mais attention, si tu ne jouis pas quand je te le dis, si tu n’éjacule pas assez à mon goût, si je constate que tu t’es branlé, c’est retour en cage direct. Economise-toi ! »

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Par John Doe - Publié dans : Orgasme - Communauté : Fétichisme des pieds féminins
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Mardi 15 décembre 2 15 /12 /Déc 17:46

Dimanche. 19 heures. Je rentre à la maison. J’ai à peine le temps d’accrocher mon manteau. Elle se jette sur moi. Elle me bande les yeux. Elle s’amuse à me faire tourner sur moi-même, comme à colin-maillard. Je perds complètement la notion de l’espace. Elle me déshabille. J’essaie de l’aider. Elle m’attrape violemment par la cage : « Toi, tu ne bouges pas ». Je suis sous contrôle. Elle me tire par la cage, qu’elle sert dans sa main. Elle m’emmène quelque part, je ne sais pas où. Soudain elle me jette vers l’avant. J’ai peur de me blesser. J’atterris sur le lit, soulagé. Elle me positionne à quatre pattes. Elle m’attache les mains dans  le dos, puis les pieds. Je ne vois rien, je ne peux plus bouger, et je bande dur dans la cage. Elle me frappe les fesses avec sa tige de bambou. Doucement puis de plus en plus fort. La couleur de mes fesses lui semble satisfaisante. Elle s’attaque à la plante des pieds. Je mords l’oreiller. Cela devient difficilement supportable. Elle le voit. Elle reprend sur les fesses. Puis elle s’attaque à mes couilles.

 

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Le bambou sur les couilles, ça fait hyper mal. Les couilles sont beaucoup plus sensibles que les fesses ou les pieds. Mais elle a l’air de s’en moquer. Au premier coup, je crie. Elle rit : « C’est pas ce que tu voulais ? ». Elle sait très bien que je vais répondre : « Si ». Alors elle frappe, frappe. Ca brûle. Elle trouve que la cage me protège trop. Elle l’enlève. Les coups reprennent. Elle : « Maintenant, je vais m’occuper de ton cul ». Elle me pénètre sans ménagement. C’est un peu douloureux au début. Mais j’ai l’habitude. La douleur se transforme en plaisir. Elle passe au diamètre supérieur. Elle me défonce le cul. En même temps, elle claque mes couilles endolories de la main gauche. J’ai mal, alors je débande un peu. Elle sait comment y remédier : « Ha ! Tu es prêt à retourner dans ta cage !». Paroles magiques. Immanquablement, je rebande. Ravie, elle me branle doucement, tout en continuant à me travailler le cul. Elle me fourre son pied dans la bouche : « Lèche ! ». Le bonheur. Je suis au bord de la jouissance. Je lui dis. Elle arrête le mouvement pour me ruiner l’orgasme. Mais il est trop tard. Avec le gode qui me titille la prostate, un pied dans la bouche, les jours de manque, et la séance qu’elle vient de me faire, je jouis. Animal, brutal, violent. Délicieux. Je lui dis. Elle rit : « Cette fois, tu as eu de la chance ! Ce sera pas toujours comme ça ».

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Elle me détache les yeux. Je découvre l’énorme quantité de sperme que je viens de produire. Je lui dis que je n’ai jamais éjaculé autant. Elle rit, trempe son pied dans le sperme, et me le fait lécher. Je me délecte longuement. Ca l’amuse beaucoup : « C’est bon ? ». Je grogne : « Délectable » en continuant de lécher. Elle met de nouveau son pied dans le sperme. Puis elle le lèche en me regardant droit dans les yeux. J’hallucine. Mon sexe se tend instantanément. Elle éclate de rire : « Ca t’excite ? Moi aussi je suis excitée. Fais-moi jouir. » Je la lèche. Très vite, elle jouit. Effectivement, notre petite séance lui a fait de l’effet. Elle : «  Je te laisserais bien attaché un moment, mais il faut que tu me ranges tout ça, et que tu ailles me faire à manger ». Je regarde l’heure. Il est 20 heures. Une heure de plaisir. J’ai l’impression que ça a duré 20 minutes. L’intensité de l’action m’a fait perdre toute notion du temps. Elle me libère. Je regarde autour de moi. Un carnage. Des cordes, des godes, la cage démontée, du lubrifiant partout… Indescriptible. Je range et je vais lui préparer à manger. Je ne retourne pas en cage.

Pendant le repas. Elle : « Je n’ai pas oublié de la remettre. J’ai juste décidé de te laisser libre un moment. Mais ne rêve pas ça ne durera pas ». Elle me parle d’un article du blog. Elle me demande si j’ai vraiment envie de coucher avec elle et un autre homme. Je lui explique mes fantasmes. « Ca peut être simplement toi qui baise avec un autre homme, et moi qui regarde, attaché et encagé, impuissant. Ou un homme qui nous baiserait chacun notre tour. Encagé et enculé par un mec devant toi, l’idée me fait bander. » Effectivement, je bande. Elle hésite « Pourquoi pas, mais trouver l’homme qu’il nous faut, ce n’est pas simple. On peut simplement attendre qu’une occasion se présente ». Elle conclut : « On a le temps, si on réalise tout nos fantasmes maintenant, qu’est ce qu’il nous restera plus tard ? ». Elle est parfaite, je l’aime.

Nuit. Dans le lit. Je la caresse et la masse doucement. Je vois qu’elle est excitée. Je la lèche, et lui titille l’anus, jusqu’à l’orgasme. Elle : « Viens… ». Elle veut que je la pénètre. Ce n’est pas arrivé depuis au moins un mois. Nous faisons l’amour, passionnément, longuement. Je la prends dans tous les sens. Après la frustration de la cage, j’en profite.  Je présente mon gland devant son anus. Je pousse un peu. Elle rit : « Rêve pas, ici, c’est pas moi qui me fait enculer ». Je suis estomaqué. J’adore qu’elle me parle comme ça. Je la prends en levrette, en la masturbant doucement. Elle jouit une seconde fois. Je suis prêt à jouir, je lui dis. Elle se retourne vivement, me donne un coup de pieds dans les couilles : « Tu jouis sur mon pied, et après tu lèches ». J’explose immédiatement. Je lèche sous son regard amusé. Elle a vraiment pris le contrôle. Avant, il lui arrivait de faire l’amour avec moi pour me faire plaisir. Ca manquait d’intensité. J’étais parfois le seul à jouir. Ca n’arrivera plus mon amour.

 

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Par John Doe - Publié dans : Orgasme - Communauté : plaisirs SM
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Mardi 8 décembre 2 08 /12 /Déc 13:43

Hier, 13H00. Nous devons partir travailler dans peu de temps. Elle s’approche de moi. Elle me libère pour que j’aille sous la douche. Mais elle a envie de jouer avant. Elle me suce. Immédiatement, je bande. Je sens que je vais encore être frustré… Excité à mort, et retour en cage. Un grand classique qui l’amuse beaucoup. Elle continue. Elle me mord les couilles. Les étire, puis les frappe du plat de la main. Douleur et plaisir. Elle m’embrasse. Je sens le goût de ma bite dans sa bouche. J’adore ça. Elle persiste. Elle me lèche les couilles, et me branle doucement. Un délice. « Si tu continues, je vais jouir ». Elle : « Tu en as envie ? ». Moi : «C’est toi qui décides ». Elle sourit. C’est ce qu’elle voulait entendre. Je suis au bord de la jouissance. Je lui dis. Elle s’entête. Je jouis. Immédiatement elle lâche ma queue. Je crie : « Continue ! ». Elle rit et regarde le sperme sortir de manière saccadée. Orgasme demi-ruiné. Juste un peu de plaisir au début. Elle met ma bite dans sa bouche, au moment où le dernier jet sort. Elle m’embrasse. C’est merveilleux.

Je sors de la douche. Je bande encore. Elle attrape mes couilles et les écrase. « Tu as encore envie ? ». Je lui réponds « Oui ». Elle, ravie : « C’est génial la cage. Avant pour te faire jouir en te branlant, ça durait des heures. Parfois j’en avais mal à la main. Maintenant, il suffit de te branler doucement pendant quelques minutes, et hop ! Plein de sperme ! ». Je souris.

Je la provoque : « Est-ce que je dois remettre ma cage ? ». Elle ne répond pas. Elle sait que c’est dur. Elle n’a pas envie de me faire souffrir. D’un autre côté, je vois bien qu’elle aime que je sois dans cet état. Manque permanent. Elle me demande : « Tu en as envie ? ». Inflexible, je lui dis : « C’est toi qui décides, pas moi ». Cette fois c’est moi qui suis un peu dur. Je l’oblige à choisir. A être dominante. Je souhaite que ça devienne naturel. Elle trouve une échappatoire : « Ca ne va pas te gêner pour travailler ? ». Elle sait bien que non. Ce n’est pas la première fois que je travaille encagé. Mais ça lui permet de me remettre en cage sans se sentir coupable : Elle m’a ménagé une issue. Je lui souris, lui dis que non cela ne me gêne pas, que ce n’est pas la première fois. Je m’habille. Avant de boutonner mon jean : « Alors ? ». Elle sourit : « Met-la ». Je l’enfile, et lui présente pour qu’elle ferme le cadenas.

Le soir. Nous discutons. Je lui dis qu’elle a été très gentille avec moi. Je la remercie de m’avoir fait jouir. Elle : « Te réjouis pas trop vite. Tu sais pas combien de temps tu vas rester en cage cette fois ». Moi : « Combien de temps ? ». Elle, riant : « Peut être un an… ». Entendre ça me fait bander. « Je parle de te laisser un an sans jouir et ça te fais bander ? Incroyable !  Tu es vraiment bizarre ». Je ris : « Non, c’est juste que j’adore quand tu me domines. Et puis tu ne tiendrais pas un an ! ». Elle « ça t’en sais rien, je peux toujours me faire lécher. Et j’ai pas mal de gode à ma disposition ». Elle me flatte les couilles, s’amuse de me voir bander dans ma cage. Je grimace un peu, mes couilles sont tendues au maximum. Elle le voit, et éclate de rire.

Par John Doe - Publié dans : Orgasme - Communauté : Soumis & Soumises
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Samedi 5 décembre 6 05 /12 /Déc 10:54

Après-midi. Madame souhaite se faire masser. C’est l’hiver. Il fait sombre. J’allume quelques bougies. Elle met un peu de musique. Je commence par des caresses, puis la masse pendant près d’une heure. C’est un moment extrêmement sensuel. D’abord le dos, puis les fesses. Je frôle sa chatte, elle est mouillée. Je lui écarte doucement les jambes. Je lui masse doucement le clitoris. Elle soupire. Je passe ensuite aux jambes puis aux pieds. Je masse, lèche, suce. Ma langue circule entre ses orteils, puis je les avale tous. Je me délecte. Ca l’amuse. Elle n’en peut plus : « Lèche-moi ». Je lèche longuement, en lui pinçant les tétons. Un spasme. Jouissance. Elle m’allonge sur le lit : « Ne bouge pas ». Elle revient avec un foulard noir. Yeux bandés. Elle me libère enfin de ma cage. Je ne peux même pas voir ma queue. Elle la caresse doucement, jouant avec mon érection, ravie. Elle me mord les couilles. Elle me soulève du lit, en me tirant les couilles avec les dents. Je crie, elle rit. Puis elle s’empale sur moi, d’un coup. J’exulte. Trop de temps depuis la dernière pénétration. Elle me chevauche : « Tu es mon gode vivant ». Quand même. Elle place ma main sur son clitoris : « Fais moi jouir ». L’orgasme arrive très rapidement. « Mets-toi à quatre pattes ». C’est mon tour. Elle tire ma bite en arrière et me lèche, partant de l’anus jusqu’au gland. Elle s’attarde sur les couilles. Je suis en transe. Puis elle me pénètre avec un gode. Je commence à me branler. Elle me donne un coup sur les couilles : « Interdit ! ». Je me laisse faire. Elle prend son temps, et me dilate progressivement. J’ai l’impression qu’elle m’ouvre en deux. Le plaisir est intense, même si elle ne me branle pas. Et comme je ne peux ni voir, ni toucher ma queue, je débande un peu. Elle me retourne, attrape ma bite. Elle rit : « C’est parfait, elle est prête à retourner dans sa cage. » Ca m’excite. Je rebande immédiatement. Elle éclate de rire. Elle m’allonge, écarte mes jambes, puis s’assoit en tailleur entre elles. Elle commence à me branler, doucement. Elle m’amène au bord de la jouissance, puis s’arrête : « Est-ce-que tu vas jouir aujourd’hui ? Je ne sais pas ». J’attrape ma queue. Nouveau coup sur les couilles : »On ne touche pas j’ai dit ». Elle reprend, doucement : « Tu me préviens quand tu va jouir. Trois possibilités : je m’arrête avant et tu ne jouis pas. Je m’arrête pendant, et tu éjacules sans jouir. Ou je te laisse jouir. Qu’est-ce-que tu préfères ? » « Que tu choisisses ». Nouveau rire. « Comme tu veux ! ». Elle me branle tout doucement, longuement. J‘approche de la jouissance. Je lui dis. Elle continue. Jouissance. De courte durée. Elle arrête le mouvement, Et tend ma bite pour dégager le gland. Elle me masse le gland très fort de sa main libre. Elle sait que c’est très désagréable. Mon corps se contracte et s’agite convulsivement. Elle continue un petit moment en riant. Puis elle me fait lécher sa main pleine de sperme. Délectable. Elle me libère les yeux. « C’était comment ? » Je ne sais pas. Je ne sais plus rien. Alors je ne dis rien. Elle se moque de moi. Elle me dit que je vais rester un peu libre. Un jour ou deux sans cage ? Je n’en sais pas plus. Un peu…

Plus tard. Nous sommes nus sur le lit. Nous parlons. Après l’amour, nous discutons souvent. Des fantasmes que nous aimerions réaliser. Ou des moments que nous avons préférés. C’est un instant privilégié. Je lui dis que j’ai halluciné quand elle m’a appelé « son gode humain ». Le plus naturellement du monde : « C’est ce que tu es, tu es en cage, comme un gode dans sa boîte, et je te sors quand j’ai envie ». Ses mots m’excitent. Je bande. Elle se moque de moi : « On dirait que ça te fait plaisir que je dises ça ? Incroyable ! ». Elle me regarde et me tend un pied. Je m’agenouille, et je l’embrasse doucement, puis le lèche. Je lui dis que j’adore lui lécher les pieds. Que c’est un symbole de soumission puissant. Elle m’attrape par la bite, et elle me suce un peu. Je suis très excité. Mais elle s’arrête : « Tu va laver ta cage et tes jouets. Puis tu prends une douche. Ensuite retour en cage. Comme ça, tous mes jouets seront propres et rangés pour la prochaine fois ». Effectivement, je suis resté « un peu » libre. Comme je bande, je rechigne. « Fais pas semblant, je sais que c’est ce que tu veux vraiment ». Je ne dis rien. Elle a raison : J’ai envie de me soumettre à sa volonté. Je souris, elle sourit. Complicité. Je me lève et vais me laver. « Et pas de bêtise dans la douche ! ». Je ne me suis jamais senti aussi soumis, maîtrisé. A tel point que je ne bande pas, car je sais que je dois remettre ma cage. Je l’enfile donc assez facilement. Je lui présente. Elle me flatte les couilles fraîchement rasées : « Elles sont toutes douces, c’est agréable » dit-elle. Et elle ferme le cadenas. Pour combien de temps cette fois ?

Par John Doe - Publié dans : Orgasme - Communauté : Domination et amour...
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  • : John Doe, soumis en cage de chasteté.
  • : La véritable histoire de John Doe ou Comment j'ai fini en cage, soumis à Madame. C'est Elle qui décide où, quand, et comment je jouis. Récit de ma chasteté et de mes (rares!) jouissances. Cage de Chasteté, CB-6000, soumission, domination, bdsm, anal strapon, foot fetish, bondage, bisex, ballbusting, spanking, canning... But NO wanking!
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