Hier, fin d’après midi. Je la masse, pendant qu’elle regarde un film, allongée sur le lit. Elle me dit qu’elle a lu mon blog. Elle trouve que je la fais passer pour une tortionnaire. J’éclate de rire, et je lui explique : « Tu sais la plupart des gens qui me laissent des commentaires sont envieux. Pour les hommes qui rêvent de domination féminine tu es parfaite, le pur fantasme. Beaucoup d’entre eux n’ont pas la chance d’avoir une maîtresse qui les domine. Peu de femmes sont assez ouvertes d’esprit pour jouer à ça. Et puis je suis volontaire. C’est moi qui t’ai demandé de me dominer. Donc je dirais plutôt que tu es adorable, puisque tu as accepté ». Elle est totalement convaincue.
Le massage l’a un peu excité. Elle me demande de la lécher. Je la déguste longuement. Très longuement, même, elle met du temps à jouir. Mais elle n’est pas inquiète, elle sait que je suis bien dressé, et que je n’arrêterais que quand elle me l’ordonnera. Son corps se contracte, elle jouit finalement. Elle me libère et m’envoie me laver. Evidemment, je bande. Elle me surveille régulièrement, pour m’empêcher de faire des bêtises. Je la retrouve sur le lit, en train de regarder son film. Et là, je morfle. Je bande toujours, et j’ai le malheur de toucher ma queue. Je prends un grand coup de poing sur les couilles : « Mets tes mains sur ta tête, on ne touche pas. Me voilà donc allongé sur le lit, les mains sur la tête, la bite tendue, les couilles en feu. Régulièrement, elle me balance un coup sur les couilles. Mais ça ne suffit pas à me faire débander. Ca dure un petit moment, elle a envie de jouer : « J’ai vu la vidéo qui te faisait fantasmer sur ton blog ». Coup de poing sur les couilles. « Alors comme ça tu voudrais éjaculer dans ta bouche ? ». Nouveau coup de poing. Je la regarde en souriant. Coup de poing : « On va voir mon chéri… ». Elle prend ma bite dans sa bouche, me suce, me mord les couilles, et les étire. Elle me lèche le cul. Sa langue me met en transe. Elle m’enfonce quelques doigts dans le cul, je gémis de plaisir. Après, elle se déchaîne. « A quatre pattes, immédiatement ! ». Elle me fouette longuement le cul et les couilles. La douleur est intense, je débande un peu. Puis elle s’assoit sur mon dos, me met un gode dans le cul, et le fait aller et venir très vite. Je sens sa chatte mouillée sur mon dos. Elle me défonce, j’ai le cul en feu. Mon corps se couvre de sueur. Pendant ce temps elle continue de me frapper les couilles et les fesses durement. Je mords l’oreiller, mon érection retombe sous les coups. Elle s’en rend compte : « Mais qu’est ce que je vois ? Ta petite nouille a envie de retourner dans sa cage ? ». Sans attendre, elle me remet l’anneau, puis elle lubrifie ma queue et mes couilles pour faciliter l’insertion. Résultat, je rebande immédiatement. Elle « Ah ! On dirait que tu as envie de jouir quand même ! ». Une main glisse sur ma bite lubrifiée, pendant que l’autre me masse les couilles. Sensation géniale. Elle : « Tu veux jouir ? ». « Oui, s’il te plaît ! ». « Dans ta bouche ? ». « Oui ». Elle éclate de rire : « Mets-toi en position ». Je me plie en deux, la tête contre le lit, et les genoux au niveau des oreilles. Ma bite est juste au dessus de ma bouche. Mon cul est offert, bien ouvert. Elle en profite pour y mettre un plug. La position est un peu acrobatique, mais aussi très excitante. Elle recommence à me branler, et s’amuse à me dilater le cul. 30 secondes, et je jouis. Ca coule dans ma bouche, sur mon visage. Elle me nettoie avec sa langue, puis m’embrasse goulûment. Nous partageons le goût délicieux du sperme. Je m’effondre sur le lit, les couilles et les fesses en feu, le cul défoncé, la bite vidée, et du sperme plein la bouche.
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Si je peux me permettre, vous pouvez être fiere de votre John.
Je vous félicite pour votre domination.
Mes respects, Madame.
Cher John,
Je te félicite aussi pour ton obéissance (dommage pour tes écarts quand tu es libre).
Car Madame mérite tous le respect.
Bonne journée à tous les deux.
c'est le terme que tu devrais employer en permanence
un soumis n'a pas une bite, encore moins un mandrin, mais une petite nouille