Le soir. Elle me libère pour la toilette. Naturellement, dès que je sors de la cage, je bande. Elle me suce doucement. Immédiatement, mon corps se tend, je gémis. Elle« Ne rêve pas ! Tu ne vas pas jouir aujourd’hui ». Moi : « Si tu continues comme ça, je vais jouir très vite. Je me demande si je ne suis pas devenu éjaculateur précoce ». Elle s’arrête, et sourit : « Ne t’inquiète pas, après un ou deux orgasmes, tu redeviendras endurant et efficace comme avant ». Je me lave, me rase, et je remets la cage. Elle : « Tu es bien sage, tu as remis ta cage tout seul. Je vais m’occuper de ton cul ». Elle me donne une grosse claque sur les fesses : « Mets-toi à quatre pattes, j’arrive ».
Elle revient, avec un gode ceinture bien épais autour de la taille, deux plugs pour la préparation dans une main, et du lubrifiant dans l’autre. Elle : « Je ne vais pas t’attacher, tu vas être bien sage et te laisser faire. De toute manière, tu es en cage… » Elle me lèche doucement le cul, c’est absolument délicieux, je bande. Mais je suis en cage. J’ai les couilles étirées au maximum, c’est plutôt douloureux. Mélange de bien et de mal, frustration d’un côté, plaisir de l’autre. Dérèglement des sens, la séance vient à peine de commencer, je suis déjà sur une autre planète. Elle met sa main dans ma bouche, puis un plug, pendant qu’elle me pénètre de ses doigts humides de salive. Elle s’amuse de me voir lécher goulument. Quand elle juge que je suis assez dilaté, elle présente son gode devant mon cul : « Vas-y, empale toi dessus ». Doucement, je m’enfonce le gode. J’effectue quelques mouvements d’avant en arrière. Elle épouse le rythme, puis accélère. J’ai le cul en feu, la prostate en mode plaisir, et les couilles brulées par la cage. Un peu de liquide coule de mon sexe. Elle me défonce le cul très vite et très fort, Et me donne une fessée en même temps. Mon corps se couvre de sueur. Elle s’arrête brusquement, et me frappe une dernière fois sur les fesses : « C’est bon, tu peux aller faire à manger maintenant ». Je m’écroule sur le sol, lessivé. Elle se lève, et écrase mes couilles du pied. Elle sourit : « C’était comment ? ». J’ai perdu l’usage de la parole, en réponse, je gémis. Elle éclate de rire.
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