Vendredi 20 novembre
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13:57
Six jours. J'avoue que je pensais que ce serait plus dur. Après avoir parcouru pas mal de forums, je
m'attendais à quelques problèmes physiologiques. Pourtant, pas de rougeur, pas d'irritation, aucun symptôme. Si ce n'est les érections matinales un peu douloureuses, mais rien d'insurmontable.
Aujourd'hui c'est moi qui suis allé travailler. Elle m'a donc enlevé la cage. J'ai un travail suffisamment intensif et prenant pour qu'elle me laisse partir libre. Je suis rentré assez tôt à la
maison, et presque aussi vite dans la cage. Presque aussi vite parce qu'il est toujours difficile pour moi d'entrer dans la CB6000. Madame s'en aperçoit. Je lui parle de cage en métal sur mesure,
et lui montre une photo. « Si celle-ci est trop petite, il faut en acheter une à ta taille ». Je lui explique qu'il faut du temps pour choisir la taille exact. Qu'il faut être sur que nous ayons
toujours envie de continuer ce jeu. Que cela ne fait que six jours. Je lui dis : « la semaine prochaine, j'en aurais peut-être assez, et j'aurais envie d'arrêter ». Sa réponse fuse : « C'est moi
qui décide, et moi je n'ai pas envie d'arrêter ». Elle me dit ça sur le ton de la plaisanterie. Mais sa phrase me retourne. Je me mets à bander. Elle rit.
Par John Doe
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Mercredi 18 novembre
3
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13:07
Hier soir, Madame a « oublié » d'enlever la cage. Je suis persuadé qu'elle
l'a fait exprès. Mais je ne dit rien. Vers 5 heures J'ai une érection Qui me réveille. C'est un peu douloureux. Mais la sensation d'être totalement soumis à sa volonté est tellement voluptueuse
que je supporte. Aujourd'hui, elle travaille toute la journée. Je suis seul, encagé. (Nous sommes tous les deux freelances, donc nous ne travaillons pas tous les jours, et avons des horaires très
variables). Je l'attends toute la journée, en pensant à ce qu'elle m'a dit hier. Elle rentre tard, un peu fatigué. Le soir, je la caresse, espérant être libéré. « Je sais que je t'avais dit que
je m'occuperais de toi ce soir, mais je suis trop fatiguée. Tu ne m'en veux pas ? ». Alors je lui explique. Que si j'ai une cage, c'est justement pour lui appartenir, être à sa disposition. Que
bien sûr, je ne lui en veux pas. Qu'elle n'a pas à s'excuser, puisque c'est elle qui choisit où et quand. Que je lui ai abandonné mon droit à jouir, par amour pour elle. Sourire radieux, elle se
love contre moi. Je lui caresse tendrement les cheveux, jusqu'à ce qu'elle s'endorme.
Par John Doe
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Mardi 17 novembre
2
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12:53
Elle se réveille avant moi. Je me lève, elle attrape la
cage, sourit, et me la tend. OK. Je
crois qu'elle y prend goût. La discussion d'hier soir fait son effet. Quant à moi, je commence à être sérieusement en manque de sexe. 4 jours. Je ne me souviens pas la dernière fois que
c'est arrivé. Je suis de plus en plus attentionné avec elle. J'ai envie d'elle. L'après midi, j'ai envie de lui masser les pieds. Je la frotte longuement, lui embrasse les pieds avec délicatesse,
puis les lèche goulument. Je m'occupe des jambes, puis du dos… Je suis fou de désir. La cage est tirée vers l'avant par mon érection, l'anneau m'arrache les couilles. Je lui embrasse les fesses,
elle écarte légèrement les jambes. Je lèche doucement. Elle écarte un peu plus. Je lèche franchement son petit trou du cul, et j'y plante ma langue. Elle se retourne. Je me jette sur sa chatte
déjà mouillée. Je la lèche avec délectation. Soudain, je sens un liquide se déverser dans ma bouche, son corps se contracte de plaisir, elle sert brutalement ma tête entre ses fesses, orgasme.
Elle me regarde et me sourit : « Toi, ce sera demain ». Effectivement, la discussion d'hier à fait son effet.
Par John Doe
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