Jeudi 21 janvier
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21
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16:23
Hier soir. Elle me branle lentement, savourant la dureté de mon érection. Elle me dit qu’elle s’amuse
beaucoup quand elle me regarde éjaculer sans plaisir. Je lui réponds qu’elle peut le faire quand elle veut. Elle : « Tu en as envie ? ». Moi : « Oui, s’il te
plaît ». Elle : « Alors supplie moi, et lèche moi les pieds ». Je lui obéis. Elle : « Mais tu ne préfères pas me faire l’amour, me faire jouir, et jouir toi
aussi, comme un vrai mec ? ». Moi : « Tu sais, au fil du temps, j’ai bien réalisé que c’était dans ma nature d’être soumis. Bien sur, j’ai envie de te faire l’amour. J’ai
envie de te retourner et de te baiser comme un dingue. Mais c’est quelques secondes de plaisir au moment de l’éjaculation, puis le néant. Si je ne peux pas jouir, et pas te faire l’amour, si je
suis encagé, je ressens le plaisir de l’attente et de l’envie en permanence. Le plaisir est beaucoup plus intense, et continu. Un peu masochiste aussi, je l’admets. Me soumettre à ta volonté
n’est pas vraiment une humiliation, puisque j’aime ça. Et pour toi, tu l’as bien remarqué, quand je suis privé d’orgasme, je suis plus doux, plus attentionné. J’ai constamment envie de te
caresser, de te toucher, de te faire l’amour. Etre encagé, soumis volontairement, c’est un geste d’amour envers toi. Tu deviens mon unique centre d’intérêt. Ton plaisir est alors ma seule
obsession ». Elle : « Mais j’ai parfois envie de faire l’amour, d’être pénétrée ». Moi : « Il suffit que tu ouvres la cage et que tu me le demandes. Je
le ferais avec grand plaisir. Je peux même le faire maintenant si tu veux. Mais sache que tu perdras tous les avantages d’avoir un homme frustré à tes pieds pendant quelques jours. C’est
un dilemme cornélien ! Mais il y a pourtant une autre solution. Tu peux faire l’amour avec un autre homme ». Elle « Tu ne m’en voudrais pas ? ». Moi : « Au
contraire, je te le propose ! Je te l’ai dit, si ça te fait jouir, moi je suis heureux. Ensuite, je suis naturellement soumis, j’aime ça. Imagine, tu rentre un soir à la maison avec un mec
qui te plaît, sans me prévenir. Moi, je suis nu et encagé, comme d’habitude. Bien sûr le mec est prévenu que je serais là. Tu me présentes comme ton soumis, encagé volontaire par amour pour
toi. Humiliation ultime, je suis nu et encagé, devant un inconnu habillé, avec qui tu t’apprêtes à faire l’amour. Evidemment vous vous moquez de moi. Vous vous asseyez sur le canapé du salon,
vous vous embrassez, il te caresse les seins. Pendant ce temps, je vous prépare quelque chose à boire. Puis tu me demandes de t’enlever tes chaussures et de te lécher les pieds, pendant que tu
lui tâtes la bite à travers le pantalon. S’il est bi, tu lui proposes de se faire sucer par moi, ou de m’enculer. S’il ne l’est pas, tu m’attaches dans un coin, et tu baises tranquillement avec
lui. Tu n’aimerais pas te faire attraper en levrette, pendant que je lèche ton clitoris et les couilles de ton amant ? ». Elle « Je vois que tu as des phantasmes assez élaborés à
ce sujet… ». Effectivement. Je lui confie que parfois, la nuit, je rêve qu’elle montre en public que je suis encagé. Et il ne s’agit pas de cauchemar, puisque je me réveille toujours avec
une érection douloureuse à cause de la cage…
Elle : « Tes histoires ne t’ont pas calmé on dirait ! Je vais m’occuper de
toi. Tu peux te branler un peu en me léchant les pieds ». Je lui dis que je ne suis pas sûr d’arriver à me contrôler. Elle : « Très bien, alors on va en finir tout de suite.
Préviens moi quand ça vient, sinon, je te jure que je ne touche plus ta queue pendant six mois ». Elle m’attrape fermement la bite et les couilles de la main gauche, et me branle de la main
droite très vite. Elle prend soin d’écraser mes couilles entre ses deux mains à chaque mouvement. En moins d’une minute, je sens que je vais jouir. Elle s’arrête brusquement. Je hurle de
frustration, mais je n’éjacule pas. Elle : « Et puis non, pas aujourd’hui. Retour en cage ». Moi : « Mais… ». Elle : « Tu te tais. C’est moi qui
décide »
.
Par John Doe
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3
Mercredi 13 janvier
3
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15:29
Hier soir. 5 jours. Libération quotidienne. Comme à mon habitude, je bande dès que je sors de la cage.
Et comme à son habitude, elle me branle doucement, en me disant de ne pas rêver... Puis elle décide de me sucer. Je la vois plonger sa main dans sa culotte. Elle se masturbe délicatement pendant
qu’elle agace mon gland du bout de la langue. « J’ai envie de jouir. Suis-moi ». Elle m’emmène dans la chambre, et attrape son love bunny, qui traîne sur sa
table de chevet. C’est un petit vibro très mignon que je lui ai offert. Elle s’allonge et me met à genoux, elle me dit de lui lécher les pieds. Elle me branle doucement avec son pied libre, et
titille son clitoris avec les oreilles du petit lapin. L’effet est radical. En quelques instants, elle jouit en gémissant. Puis elle s’amuse à écraser ma queue avec son pied en riant. « J’ai
encore envie, allonge-toi ». Elle se met à califourchon sur moi, et s’empale doucement sur ma queue. Mais elle ne bouge pas, Elle se contente de jouer avec son petit lapin. Encore plus vite
que la première fois, elle jouit. Puis elle s’allonge sur le dos en soupirant à côté de moi. « Deux-zéro ! » Me dit-elle en riant. Le temps qu’elle reprenne ses esprits, j’en
profite pour me branler un peu. Dès qu’elle s’en aperçoit : « Zéro, j’ai dit ! C’est interdit et tu le sais bien. Je pense que tu es bon pour une séance de « Plus
fort ! », mon chéri ».
« Plus fort ! », C’est un jeu qu’elle a inventé il y a quelque temps. Les règles sont très
simples. Elle me donne un coup de poing dans les couilles. Si je supporte je dois dire « Plus fort ! ». Et elle recommence, et tape de plus en plus violemment. Au bout d’un moment,
la douleur devient intense. Je ne dis plus rien. Elle m’envoie alors une série de coup de poing très rapide jusqu’à ce que je demande grâce.
Le jeu commence. Elle attrape mes couilles d’une main, et frappe de l’autre. Très vite, je me tais, elle
frappe alors sans relâche. Encore plus vite, je lui demande d’arrêter. En riant : « C’est une punition, je te rappelle ! Et tu bandes encore un peu trop pour rentrer dans ta
cage ». Elle continue jusqu’à ce que ma bite débande complètement. « Hop, la petite queue dans la cage ! Je ne vois vraiment pas l’intérêt de te laisser jouir. Tu es beaucoup plus
utile dans cet état ». Elle m’embrasse tendrement, et me remet la cage: « J’ai envie d’un massage du dos pour me détendre. Au travail ! ».
Clic.
Par John Doe
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5
Mercredi 6 janvier
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11:59
Depuis vendredi, je suis sodomisé quotidiennement. Bien sur je reste en cage. Après une semaine
d’éjaculation, elle a opté pour une semaine de sodomie. Sensation plutôt curieuse. J’ai le cul dilaté en permanence. Elle me pénètre chaque jour un peu plus facilement. Je me sens plus soumis que
jamais.
Par John Doe
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Publié dans : Frustration
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1
Vendredi 1 janvier
5
01
/01
/Jan
11:52
Le soir. Elle « J’espère que tu as profité de tes petites vacances. Parce que c’est bien fini.
Maintenant, ta queue est en cage et ne sert plus à rien. Bienvenue en 2010 ! ». Je lui demande ce qu’elle veut dire. Elle « C’est bien ce que tu voulais ? Être soumis, à mes
pieds, privé de jouissance ? Alors ne te plains pas, c’est ce que tu es. Après ces quelques jours de liberté, il faut se rendre à l’évidence. Je préfère quand tu es en cage. Alors tu
vas y rester. Qu’est ce que tu en penses ? ». Moi « Si c’est ce que tu veux… ». Elle me demande de la masser. Mais elle est trop excitée. Très vite, je dois la lécher.
Elle jouit rapidement : « Maintenant c’est ton tour de jouir, mais pas comme tu le crois. A quatre pattes ! ». Elle enfile le gode ceinture. Elle me dilate le cul avec un
plug. Puis elle me fait lécher le gode : « Tu aimes tailler des pipes, hein ? Et te faire enculer, tu aimes ? ». Moi : « Oui ». Elle :
« Alors dis-le. Supplie moi de t’enculer, dis moi que tu renonces à jouir avec ta queue, dis moi que tu préfères te faire enculer ! ». Je lui dis. Elle éclate de rire, et me
sodomise. Ensuite, elle me tire les couilles vers l’arrière et les écrase à coups de poing : « Voilà comment tu auras le droit de jouir cette année ! ».
Par John Doe
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Mardi 29 décembre
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29
/12
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15:26
Le soir, au lit. Elle : « Je sais, j’avais dit une fois par jour pendant une semaine. Mais
aujourd’hui j’ai pas envie. Alors ceinture. Si tu n’es pas content, c’est la cage. ». Moi : « Tu fais comme tu veux, je suis à toi ». Elle s’endort sous mes caresses,
satisfaite.
Par John Doe
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