Frustration

Mercredi 9 décembre 3 09 /12 /Déc 17:11
Ce matin. Elle se lève plus tôt que moi pour aller travailler. Avant, j’avais l’habitude de rester au lit plus longtemps qu’elle. Maintenant, je suis en cage. Fou de désir en permanence. Je me lève à mon tour, je la suis partout. Ca l’amuse beaucoup. Dans la cuisine. Je l’embrasse sur tout le corps. « Prépare-moi un café ». Je m’exécute. Puis je lui apporte dans le salon. Je l’enlace de nouveau. Je lui dis que je suis fou d’amour et de désir. Elle est ravie. « Lèche mes pieds, je veux boire mon café tranquille ». J’embrasse ses pieds, puis je les lèche doucement, avant des les engloutir. Je suis affamé. Elle s’esclaffe : « Tu n’en peux plus ? Montre-moi ta cage. ». Je me relève. Je bande. Elle m’attrape par les couilles : « Te fatigue pas, c’est pas pour tout de suite. Et je suis pas prêt de te laisser jouir ». Je gémis. Elle se moque de moi. Elle va se laver. Je lui propose de le faire. Elle est pressée. Elle refuse, mais me dit qu’elle aurait aimé. Long baiser, puis Elle part. J’ai une furieuse envie de jouir. Mais je ne peux pas. J’ai hâte qu’elle revienne. Je pense à notre vie d’avant. Tout était différent. Je suis heureux d’avoir renoncé à mon droit à jouir pour son plaisir. Elle aussi apparemment.
Hier soir. Nous sommes à la maison. Je reçois un commentaire sur mon blog. J’y réponds. Elle me demande ce que je fais. Je lui dis. C’est un message de Madame de Saint Ange. Dont les pratiques m’ont beaucoup inspiré. J’en profite pour lui montrer son blog. Elle est impressionnée par ce qu’elle voit. Je la laisse devant son PC, je retourne devant le mien. J’ai vraiment envie qu’elle me défonce les couilles. J’aimerais qu’elle me sorte de ma cage, me mette à genoux. Et qu’elle me frappe les boules à grands coups de pieds, avant de me remettre en cage. Elle consulte le site quelques minutes, puis elle me rejoint : « Ca te fait fantasmer ? ». Je lui réponds « Oui, et tu le sais bien ». Mes aveux me font bander. Elle : « Allonge toi ». Elle est debout, et m’écrase les couilles avec son pied. Délicieux. Elle continue un petit moment (pas assez long à mon goût !). « Comme ta bite est dure ! Je vais peut-être te libérer pour en profiter ». Elle prend la clé, l’approche de la cage : « Et puis non. Je préfère que tu ailles faire les courses ». Et elle me laisse comme ça. Je suis au bord de l’apoplexie. Je ne pars pas tout de suite. Je reste devant mon PC. Je veux finir ce que je suis en train de faire. Quelques minutes passent. Elle revient : « Je t’avais dit d’aller faire les courses. Tu n’es pas obéissant. Met-toi à quatre pattes ». Je déguste. Bambou, fesses rouges. Je vais faire les courses, la bite et les fesses en feu. Ce n’est pas vraiment une punition. Puisque j’aime ça. C’est un jeu entre Elle et moi. J’ai le plaisir d’être soumis à son autorité, Elle a le plaisir d’avoir un homme à son service.
Dans le lit. Moi : « Je n’ai jamais aimé quelqu’un comme je t’aime. Je prends du plaisir à me soumettre à toi. Parce que je t’aime. Pour toujours » Je la caresse, l’embrasse. Je lis la satisfaction dans ses yeux. Un bonheur. J’ai envie d’elle. Comme d’habitude. Je lui dis. Elle : « Je pense qu’il y a quelqu’un qui va jouir dans ce lit ». Elle me regarde en souriant « Mais ce n’est pas toi ». Je comprends le message. Je lui lèche les seins puis le sexe, et la fait jouir. Satisfaite, elle se love contre moi. Elle me dit qu’elle m’a dressé. Qu’elle me trouve mieux comme ça. Je suis plus endurant sexuellement. Toujours prêt à la satisfaire. Et je jouis quand Elle en a envie. « Au doigt et à l’œil ! ». Moins je jouis, plus je suis doux, attentionné, câlin, amoureux… Ca lui plaît. J’ai joui quatre fois en trois semaines. Avant c’était plutôt quatre fois par jour ! La chasteté décuple mes fantasmes. Je ne peux pas me satisfaire. Donc je suis excité en permanence. Et mon cerveau produit des scénarios de plus en plus élaborés, divers, trash. Avant, Elle me dominait essentiellement pendant que nous faisions l’amour. Maintenant, avec la cage, la domination est permanente. Et plus elle me domine, plus j’ai envie de me soumettre. La question est : Jusqu’où irons-nous ?
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Par John Doe - Publié dans : Frustration - Communauté : Soumission et appartenance
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Vendredi 4 décembre 5 04 /12 /Déc 10:51

Elle me libère. Je bande. Je me lave et me rase. Elle est assise sur le canapé, devant son PC. Je suis à genoux, nu devant elle, en érection. Elle me flatte les couilles du bout du pied : « Je t’ai bien dit que ce ne serait pas aujourd’hui ». Elle me branle sans douceur avec son pied. Je me tords de plaisir. Ca l’amuse : « Va dans la chambre et allonge-toi sur le lit, j’arrive. ». Je suis en position. 9 jours. Je me branle. Elle entre : « Ca c’est interdit ! ». Je cesse immédiatement, soumis. Elle est nue. Elle m’attache les mains et les pieds au pied du lit. Bâillon. Je suis écartelé. Elle me branle doucement. Mon corps se contracte, je grogne de plaisir. Elle rit, prend ma bite dans sa bouche. Elle frotte son corps contre le mien. Puis elle présente sa chatte mouillée devant ma queue. Je me tends au maximum pour essayer de la pénétrer. Impossible. Elle s’assoit sur moi, et me branle entre ses fesses, sans que je la pénètre. Je suis en feu. Elle m’enlève le bâillon, et s’assoit sur mon visage. Elle se frotte sans ménagement, m’étouffant presque. Puis elle place son clitoris face à ma bouche. Je sais ce que j’ai à faire. Elle jouit rapidement, et reste assis sur mon visage quelques minutes. Je ne bande plus vraiment, mais mon sexe est encore bien trop gonflé pour rentrer dans sa cage. Elle m’abandonne. Je ne dis rien, parce  que cela ne servirait à rien. Si ce n’est me rajouter du temps en cage. Elle revient quelques minutes après, et me détache. Je bande de nouveau. Elle me tend la cage : « Tu as intérêt à la remettre vite fait si tu ne veux pas prendre une semaine de plus ». Je l’enfile tant bien que mal. C’est un peu douloureux, mais surtout difficile et inconfortable. La cage s’emboite enfin. Je lui tends, elle ferme le cadenas : « C’est bien ». C’est le soir. Elle rentre du travail après moi. Nous devons aller au restaurant avec des amis. Je suis habillé. Elle m’enlace, et attrape ma cage. Petite vérification. Elle me regarde droit dans les yeux en souriant : « C’est bien ». Nous nous embrassons. Elle tient toujours ma cage. Je bande. Ca se voit. Elle rit : « Tu as intérêt à te calmer, si tu ne veux pas que tout le monde sache que tu portes une cage ! ».

Par John Doe - Publié dans : Frustration - Communauté : Fétichisme des pieds féminins
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Mardi 1 décembre 2 01 /12 /Déc 20:37

Le matin. Elle me raconte un rêve qu’elle a fait. Je lui raconte à mon tour ce que j’ai rêvé la veille. Elle sourit, mais ne dit rien. Je bande dans ma cage en racontant, elle le voit. Ca s’arrête là. Je lui en reparlerai. Ou pas. Je ne suis pas sûr d’en avoir envie. Le fantasme est bien présent. J’ai envie de faire l’amour avec elle et un autre homme. Qui nous baiserai tous les deux. Ou peut-être avec un couple, ou une autre femme. Mais du fantasme à la réalité…

Aujourd’hui nous restons tous les deux à la maison. Elle est pratiquement nue en permanence. Je bande toute les dix minutes, pour un rien. Elle me laisse la touche, la caresser, la masser, mais je n’ai pas le droit d’aller plus loin. Elle s’amuse beaucoup de mon état. Elle m’a dit que j’allais être libéré aujourd’hui. Je me montre un peu trop insistant. Elle n’est pas contente. Elle me dit que je mérite une punition. Je lui propose le bambou. Elle rit : « Ca, c’est plutôt une récompense ! ». « Le plus simple, c’est que tu rallonges ma période de chasteté ». Nouveau rire : « Très bonne idée! Ca me plaît. Tu peux être sûr que tu jouiras pas aujourd’hui, ni demain ! ». Elle se prend au jeu.

Fin d’après midi. Elle me libère. Je me rase de près. Ma bite est tendue, dure. L’idée de la faire entrer de nouveau dans la cage semble ridicule.  Pourtant je dois y retourner… Mais d’abord elle veut jouer un peu. Elle me lèche doucement le gland, elle enroule se langue autour, doucement… C’est délicieux. Et horrible. Car je ne vais pas jouir. Elle passe sa langue sur mes couilles, puis en met une dans sa bouche. Elle mord et tire mes couilles avec ses dents. Excitant et douloureux à la fois. Elle recommence son manège plusieurs fois. Titiller le gland, étirer les couilles… Puis elle arrête. Je suis dans un état indescriptible. « Va faire les courses pour le repas de ce soir, ça te calmera. Mais d’abord, tu retournes dans ta cage. Sinon, tu risques de violer la jolie caissière black! ». Ma bite tarde à retrouver des proportions décentes. Nous parlons un peu. D’une nouvelle cage, plus large et plus grande. Puis je lui dis qu’elle est un peu cruelle. Allongement des périodes de chasteté, promesses de libération non tenues, fellations brusquement interrompues… Mais je précise juste après : « Continue, j’adore ça ». Elle s’amuse de mes aveux. Je lui dis qu’elle pourrait faire pire. « Comment ça ? ». J’évoque des périodes de privation plus longue. Je lui reparle de divers jeux, et notamment d’orgasme ruiné. Elle ne comprend pas où est le plaisir. Je lui explique : «Le jeu en lui même n’as que peu d’intérêt. Mon plaisir, c’est toi. Je t’aime. Cet amour me pousse à m’abandonner entre tes mains. Je veux t’appartenir. Le fait de jouir uniquement quand toi tu l’as décidé, participe de ce désir. Et ne pas savoir si j’aurais le droit de jouir quand nous faisons l’amour renforce ce sentiment d’appartenance. Un orgasme ruiné suivi d’un retour en cage est très frustrant pour moi. Pour toi, par contre, il n’y a que des avantages. ». « Lesquels ? ». « Les mêmes que ceux que tu as quand je suis encagé. Démultipliés. » Elle ne dit rien. Mais je sens que je vais y avoir droit.

Tout cela ne m’aide pas à débander. Comme toujours, je finis par me calmer un peu. Dès que je suis en état, j’enfile la cage, et je lui présente. Elle met le cadenas. Juste à temps. Je bande de nouveau. Ca l’amuse, elle me pince les tétons pour m’exciter. « T’en peux plus, hein ? » Je ne peux même pas répondre. Je vais faire les courses. Puis je prépare le repas.

Par John Doe - Publié dans : Frustration - Communauté : Soumission et appartenance
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Vendredi 27 novembre 5 27 /11 /Nov 19:41
Elle se lève avant moi, pour aller travailler. 36 heures, j'ai envie de la toucher. Je la rejoins dans la douche. Je lui frotte le dos avec du savon. « Lave-moi » dit-elle. Je m'exécute. D'un air interrogateur : « J'ai envie de faire pipi ». C'est une proposition que je ne peux refuser. Je m'agenouille. Elle me pisse dans la bouche. Le jet chaud coule sur mon torse. Je bande, elle rit. Je la lèche pour la nettoyer. Elle part « Il faut que j'aille travailler ». Elle rentre. Je suis nu, comme toujours. Je l'enlace. Elle me caresse les fesses. Puis les frappe, de plus en plus fort. « Tu aimes ça ? Mets tes mains sur la table ». Elle a envie de jouer. Je suis plié en deux, les bras tendus, les mains sur la table basse, le cul offert. Coup de pied dans les couilles. Sans prévenir. Exquis. La nuit. Nous nous caressons. Je sens qu'elle est excitée. Elle va aux toilettes. Elle revient, et s'assoit sur mon visage. Sans un mot. Je la lèche, son goût est délicieux. Je sens qu'elle va jouir. Je lui mets un doigt dans le cul, elle jouit.
Par John Doe - Publié dans : Frustration - Communauté : plaisirs SM
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Jeudi 26 novembre 4 26 /11 /Nov 19:32
Ce soir, nous regardons la télé, nus dans le lit. Je suis terriblement excité, bien que je ne sois en cage que depuis 24 heures. La douceur, la chaleur et l'odeur de son corps me rendent fou. Elle est allongée sur le dos, je suis à califourchon sur elle. Je l'embrasse sur tout le corps. Longuement, fougueusement. Elle adore ça. Elle me mord les tétons et joue avec ma cage tendue. J'ai envie de faire l'amour. Pas elle. Elle rit, et me dit que je ne suis pas prêt de jouir. Nous jouons ensemble, complices. A la télévision, que nous écoutons distraitement, une publicité. Le mot amour est prononcé de façon suave. Je lui chuchote « amour » au creux de l'oreille, sur le même ton ampoulé. Nous éclatons de rire, et nous embrassons  passionnément. Plus tard, la télévision nous parle de sodomie. Une jeune femme confie ses appréhensions. « Ne t'inquiète pas ma chérie » lui dis-je, « Moi je préfère quand c'est toi qui m'encule ». Nous rions. Elle me provoque : « Ca fait longtemps que je ne t'ai pas fait crier avec mon gode ceinture, ça te manque, hein ? ».Elle me raconte qu'elle prend plaisir à me dominer. Qu'elle est contente de me tenir en cage. Parce que je suis plus tendre, plus attentionné. Je lui dis que moi aussi, j'y prends du plaisir. Un matin je me suis réveillé avec les fesses cuisantes, la veille elle m'avait fouetté. Et ça m'a fait bander. Je lui raconte.  Mes aveux l'amusent : « Tu vas y avoir droit bientôt, mais ne compte pas sortir de ta cage ! ». Nous discutons, librement, sans entrave, sans tabou. C'est divin.
Par John Doe - Publié dans : Frustration
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  • : John Doe, soumis en cage de chasteté.
  • : La véritable histoire de John Doe ou Comment j'ai fini en cage, soumis à Madame. C'est Elle qui décide où, quand, et comment je jouis. Récit de ma chasteté et de mes (rares!) jouissances. Cage de Chasteté, CB-6000, soumission, domination, bdsm, anal strapon, foot fetish, bondage, bisex, ballbusting, spanking, canning... But NO wanking!
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