Cette fois, on y est. J’ai complètement abdiqué. J’ai abandonné. Je suis encagé, et je n’ai pas joui depuis plus d’un mois. On s’habitue. J’ai eu droit à deux orgasmes ruinés depuis. A chaque fois, elle me demande si je veux jouir. Je la supplie de s’arrêter au dernier moment, et de me frapper les couilles pendant que le sperme coule sans que je ressente le moindre plaisir. Ca la fait mourir de rire. Un soir, je la masse pendant une heure. Elle m’annonce qu’elle veut me faire jouir pour me récompenser. Je la remercie, puis lui dis que je préfère rester en cage et me faire enculer. Elle sourit : « Comme tu veux mon chéri… » Plus tard, elle dit qu’elle veut me garder en cage sans jouir jusqu’à noël. Elle me dit que ce sera mon cadeau. Là, je craque. Etre en manque depuis si longtemps doit me rendre un peu cinglé. Je lui dis que je ne veux plus jouir du tout, et rester en cage. Pour toujours. Pour être son esclave, et la vénérer. Désormais, pour moi, faire l’amour signifie la faire jouir avec ma langue, et me faire enculer. Je souhaite ne plus éjaculer que par orgasme ruiné, une fois de temps en temps. Ne plus connaître le plaisir, pour me concentrer uniquement sur le sien. Elle rit, et me dit que je suis fou. Mais mes confessions l’excitent. Elle me met un plug dans le cul pour me dilater, puis, me demande de la lécher. Elle jouit, puis elle m’encule avec le gode-ceinture. Quand je suis encagé, la sodomie est très humiliante (et donc très jouissive !). Rester passivement, sans bouger, à se faire défoncer. La bite molle qui se balance, coincée dans sa petite cage… C’est très frustrant, très… Différent. Quand je suis libre, la sodomie a pour but de décupler l’orgasme en stimulant la prostate (et ça fonctionne très bien !). Le but est d’atteindre une jouissance plus grande. En cage, la sodomie n’est que soumission.
Depuis, elle me rappelle souvent qu’elle est ma maîtresse et que je dois lui obéir. Elle a décidé de profiter pleinement de la soumission que je lui ai offerte. Elle me dit que je suis son petit esclave. « Tu ne souhaites plus jouir ? Pas de problème, s’il n’y a que ça pour te faire plaisir… » Me dit-elle.
Hier soir, je passe la soirée à lui masser et lui lécher les pieds pendant qu’elle regarde un film. Normal. Ensuite, pour me remercier, elle m’enlève la cage, m’attache les couilles bien serrées avec un élastique, et me fait mettre à quatre pattes pour une séance de ballbusting. Mon érection retombe bien vite. J’adore sentir son pied écraser mes couilles attachées et ma petite queue toute molle. Docilement, et sans qu’elle me le demande, je remets ma cage.
Ce matin, elle me réveille en me donnant une fessée, pour que je lui amène son café au lit. Par habitude, je me mets immédiatement à quatre pattes, la cage coincé entre les jambes, pour lui présenter mes couilles. Elle éclate de rire : « Tu es vraiment maso, toi ! ». Elle attrape la tige de bambou qui est toujours posée à côté du lit, et me donne une dizaine de coups vifs et précis. Je pars lui préparer le café les couilles en feu, heureux.
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