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« Plus fort ! », C’est un jeu qu’elle a inventé il y a quelque temps. Les règles sont très simples. Elle me donne un coup de poing dans les couilles. Si je supporte je dois dire « Plus fort ! ». Et elle recommence, et tape de plus en plus violemment. Au bout d’un moment, la douleur devient intense. Je ne dis plus rien. Elle m’envoie alors une série de coup de poing très rapide jusqu’à ce que je demande grâce.
Le jeu commence. Elle attrape mes couilles d’une main, et frappe de l’autre. Très vite, je me tais, elle frappe alors sans relâche. Encore plus vite, je lui demande d’arrêter. En riant : « C’est une punition, je te rappelle ! Et tu bandes encore un peu trop pour rentrer dans ta cage ». Elle continue jusqu’à ce que ma bite débande complètement. « Hop, la petite queue dans la cage ! Je ne vois vraiment pas l’intérêt de te laisser jouir. Tu es beaucoup plus utile dans cet état ». Elle m’embrasse tendrement, et me remet la cage: « J’ai envie d’un massage du dos pour me détendre. Au travail ! ».
Clic.
Hier soir. Nous regardons la télé. Elle me demande de lui masser les pieds. Je m’affaire un moment, avant de poser un timide baiser sur ses orteils. Elle ne dit rien, je lèche, puis suce. Elle se tortille, ça la chatouille. « Qui t’as dit de lécher ? Va me chercher de la corde et le bâillon ». Je lui amène. Elle me lie les bras croisés dans le dos et me bâillonne. Elle m’attrape par la cage, me libère, et me branle doucement. Elle me ligote les couilles avec la corde. Puis, elle me tire avec sa laisse improvisée jusqu'à la porte de la cuisine, et l’attache à la poignée. « Je vais finir le film, toi tu restes là ». Je grogne un peu. Elle attrape et écrase mes couilles. « Arrête, tu adores ça, je le vois bien, tu bandes ! ». Elle a raison. Mais être nu, ligoté, bâillonné, et attaché par les couilles à une poignée de porte, c’est un peu rude. « Si tu es sage, je te raconterais la fin du film, et puis tu as toujours le son ! ». Super. Je reste là, incapable de bouger. Une vingtaine de minutes plus tard, le film se termine. Elle revient s’occuper de moi. A son approche, je bande, imaginant ce qu’elle va me faire subir. « Tu bandes encore ! Tu es vraiment bien dressé ! ». Chlac ! Grand coup de bambou sur les fesses. Je ne m’y attendais pas. Ca surprend ! Elle frappe jusqu’à ce que mes fesses soient bien rouges. « Et tu bandes toujours, faut croire que tu aimes ça ! ». Elle me détache les couilles, mais pas les bras. Elle m’emmène dans le salon, et me remet en cage. Elle me jette sur le canapé. J’ai les mains liées dans le dos, je me reçois comme je peux. « Attends-moi ici, j’arrive ». Elle revient avec un gode ceinture. Après la semaine dernière, où elle m’a pris tous les jours, je m’ouvre facilement. Ce qui l’amuse beaucoup : « Tu es bien habitué maintenant, ca rentre tout seul. On devrait passer au diamètre supérieur ! Qu’est ce que tu en penses ? ». Toujours bâillonné, je grogne. Elle rit : « Attends, je t’enlève ça, je ne comprends rien ! ». Je lui dis qu’elle peut essayer avec sa main. Elle ne dit rien, mais je sens ses doigts qui me pénètrent. Elle essaye de forcer, mais elle ne va pas plus loin. « Je peux mettre tous mes doigts, mais pas plus. Il va falloir t’entrainer encore. Bon, maintenant c’est mon tour, lèche ! ». Je lui titille le clitoris du bout de la langue, son goût m’excite. Je bande, les couilles douloureuses, tendues par la cage. Elle jouit en m’écrasant sans ménagement le visage sur son sexe : « C’est trop bon de jouir, mais c’est pas pour toi ! ».
Elle rentre du travail. Je viens moi-même de rentrer, à peine quelques minutes plus tôt. Elle : « Comment se fait-il que tu sois habillé ? » Moi : « Je viens d’arriver ». Elle : « Je ne veux pas le savoir, tu dois être nu en permanence, à ma disposition ». Je me déshabille. C’est au départ moi qui souhaitais rester nu à la maison, comme marque de soumission. Maintenant, c’est elle qui l’exige.
Elle s’assoit sur le canapé : « Viens me masser les pieds pour te faire pardonner ». A genoux devant elle, je la masse. Elle prend soin de caler son pied libre sur mes couilles pour les écraser. Je la masse longuement, elle est satisfaite : « C’est bien, je suis contente de toi. Qu’est ce que je pourrais bien faire pour te récompenser ? ». Du tac au tac : «Encule-moi, s’il te plaît ». Elle : « Non, je n’ai pas envie. Tout à l’heure peut-être. Va plutôt préparer le repas ».
Mais ça lui a donné des idées. Nous possédons depuis quelques temps 3 butt plugs, de diamètres différents. Elle n’a jamais réussi à me mettre le plus gros entièrement. C’est ce qui va l’inspirer :
« Tu veux être enculé ? Alors ce soir on va jouer à un jeu » me dit-elle. « Moi je vais regarder le film. Toi tu va rester à quatre pattes par terre, et t’ouvrir avec les butt plugs. Je veux que tu arrives à rentrer le plus gros avant la fin du film. Si tu n’y arrives pas, 15 jours de cage sans jouir assurés à partir d’aujourd’hui. Je suis sur que tu es ravi ».Le film commence. « En une heure et demi, tu devrais y arriver ». J’amène le nécessaire, et me mets à quatre pattes sur le sol, à côté d’elle. «C’est bien tu as pris le bambou, ça pourra servir. Mais tourne-toi de l’autre côté, je veux pouvoir admirer le résultat ». Je lui présente donc mon cul, et commence à me dilater moi-même. D’abord le petit, puis le moyen. Régulièrement, elle frappe avec le bambou sur mes fesses pour me stimuler. Je passe enfin au plus gros. C’est difficile, et un peu douloureux. Au bout d’un long moment, et après beaucoup d’efforts, ça rentre enfin. « C’est bien. Mais ne rêve pas, tu ne vas pas jouir pour autant. Moi par contre… ». Elle me fait signe d’approcher en souriant.
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