Mercredi 30 décembre
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/12
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15:26
Je suis chaste même sans cage, parce qu’elle me l’a ordonné. Le soir. Elle me demande si j’ai craqué. Je la
rassure. Elle rit : « Moi, j’ai joui sous la douche ce matin ! ». Le monde à l’envers. Elle se masturbe plus que moi. Elle : « Je suis satisfaite pour
aujourd’hui, alors pour toi, on verra demain ». Mais je bande. J’exhibe mon sexe en érection. Elle sourit, ne dit rien. Je l’implore du regard. Elle ne résiste pas et l’avale brusquement.
Elle : « J’aime te soumettre, mais j’ai parfois envie d’un homme entreprenant, viril. C’est ce que je veux maintenant ». Je la pénètre. Sans avertissement, sans ménagement.
D’un coup sec. Elle crie de surprise. Puis la douleur se transforme en plaisir. Je suis déchaîné, au sens propre du terme. Elle m’a réellement enlevé les chaînes de la soumission. Je la retourne
et la prends dans tous les sens. Nos corps mêlés sont couverts de sueur. Je la mets à quatre pattes. Je la pénètre, lui titille le clitoris, et lui pince les tétons. Elle jouit en criant. Elle a
eu ce qu’elle voulait. Elle reprend le contrôle : Met-toi sur le dos, J’ai envie de savoir quel goût j’ai. Elle lèche mon sexe couvert de mouille : « Attrape tes pieds avec
tes mains ». Je lui présente mon cul, offert. Elle met ses doigts dans ma bouche. Je les lèche avec plaisir. Ce qui l’amuse beaucoup. Puis, elle en enfonce trois dans mon cul,
violemment : « Toi aussi tu aimes être pris sans ménagement, hein ? ». Je crie, elle rit. Elle me défonce, et continue de me branler. Je jouis très vite. Immédiatement,
elle me donne trois coups de poing violents sur les couilles. « Je ne voudrais pas que tu oublies qui commande, mon chéri ». Je me tords de douleur. Elle « Demain, c’est gode
ceinture, fesses rouges, et couilles explosées. Tu vas te soumettre à ma volonté, me lécher, et souffrir. Ensuite, retour en cage. La semaine de vacances est bientôt finie ! »
Par John Doe
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Publié dans : Orgasme
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Mardi 29 décembre
2
29
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15:26
Le soir, au lit. Elle : « Je sais, j’avais dit une fois par jour pendant une semaine. Mais
aujourd’hui j’ai pas envie. Alors ceinture. Si tu n’es pas content, c’est la cage. ». Moi : « Tu fais comme tu veux, je suis à toi ». Elle s’endort sous mes caresses,
satisfaite.
Par John Doe
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Publié dans : Frustration
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Lundi 28 décembre
1
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14:06
Samedi 26 : Orgasme ruiné. Frustration ultime. Elle veut que je me branle devant elle, et que je ruine
moi même mon orgasme. Si je jouis, je retourne en cage. Elle : « J’ai envie de voir comment c’est exactement. » Elle a soif d’apprendre. Je lui ai expliqué comment faire, mais elle
n’a jamais vraiment été jusqu’au bout. Elle est habillée, assis sur le canapé de la chambre. Je suis nu devant elle, je me branle. Je vais jouir, je lui dis. Elle : « Arrête-toi ».
Rien ne sort. « Recommence ». Je suis de nouveau au bord de la jouissance. Je cesse brusquement, un temps d’arrêt, et un jet puissant et bref part. Je n’ai rien senti, je bande
toujours. Elle : « Et tu bandes toujours ? ». Moi « oui ». Elle : « Alors recommence ». Elle me fait refaire la même chose deux fois. Elle :
« Je crois que j’ai bien compris. La prochaine fois, c’est moi qui le ferais. Tu me préviendras au bon moment. Et si tu jouis alors que tu n’en as pas l’autorisation, tu le
paieras… Masse-moi le dos maintenant ». Je bande encore. Elle : « Incroyable, tu as éjaculé trois fois, tu n’as pas pris de plaisir, et tu bandes toujours ! La
frustration doit être intense ». Je gémis.
Dimanche 27 : Elle : « J’ai envie d’un homme, un vrai. Maintenant que tu es un peu calmé, tu
devrais tenir la distance. C’est toi qui prends l’initiative. Je veux m’abandonner, t’appartenir ». Elle va avoir ce qu’elle veut. Je la prends dans tous les sens, jusqu'à ce qu’elle
jouisse, Puis je jouis sur ses seins et son visage. Avant qu’elle ne reprenne ses esprits, je lui attache les poignets aux chevilles, et lui noue un foulard autour des yeux. Je la lèche, et lui
écarte le cul de mes doigts. Deuxième orgasme. Je suis de nouveau excité. Je la pénètre violemment, puis je lui dis d’ouvrir la bouche, que je remplis de ma jouissance. Je l’embrasse longuement,
nous partageons la saveur de mon sperme. Je détache le foulard. Ses yeux sont remplis de bonheur. Moi : « Alors ? ». Elle : « Je t’aime ».
Lundi 28 : Traitement radical au réveil. Erection matinale. Sans préambule, elle me suce et me branle
très vite et très fort. Elle ne s’arrête pas. En quelques minutes, je jouis dans sa bouche. Mais elle n’avale pas. Elle m’embrasse, et déverse tout dans la mienne. Elle : « Petit
déjeuner au lit ! ». J’apprécie.
Par John Doe
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Publié dans : Orgasme
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Samedi 26 décembre
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14:02
Hier matin. C’est noël. Réveil tardif. Je bande dans ma cage, et me frotte contre son corps tiède. Je dois être libéré aujourd’hui. Elle : « C’est noël, je
t’ai promis une libération, mais c’est moi qui décide quand. Alors tu te calmes, et tu vas me chercher un café ». Ne pas oublier qui commande…
L’après midi. Elle m’emmène dans notre chambre, ferme la porte, et me déshabille. Elle s’accroupit, ouvre ma cage. Mon sexe jaillit. Elle me suce doucement, en me frappant les couilles sans
ménagement. Mon érection durcit encore. Je sais que je vais jouir. Je suis fou. Elle s’assoit sur le canapé, écarte les jambes : « Lèche ». Rapidement, elle explose dans un gémissement, orgasme.
Elle : « Viens… ». Je la pénètre doucement, puis de plus en plus fort, Elle me donne une claque sur les fesses pour que j’accélère. Je n’ai pas joui depuis 12 jours, je suis un animal en rut.
Elle présente son pied devant ma bouche en souriant. Je l’engloutis immédiatement. Puis, elle attrape ma main, et la pose sur son sexe. Je sais ce que j’ai à faire. Mais je dois m’arrêter assez
vite. Elle : « Je ne t’ai pas dit d’arrêter ? ». Moi : « Si je continue, je vais jouir trop vite… ». Elle rit, je reprends. Elle jouit à nouveau. Elle m’assoit sur le canapé : « C’est ton tour ».
Elle m’écrase les couilles d’un pied, et me branle doucement de la main. Elle place son autre pied devant ma queue : « Tu va jouir sur mon pied, et tu lècheras après ». Effet immédiat, je jouis.
Elle éclate de rire : « Ca te plaît on dirait ! ». Je lèche son pied couvert de sperme sous son regard amusé : « C’est noël, je vais être gentille avec toi. Tu vas rester libre sept jours, et tu
auras le droit à un orgasme par jour. Mais attention, si tu ne jouis pas quand je te le dis, si tu n’éjacule pas assez à mon goût, si je constate que tu t’es branlé, c’est retour en cage direct.
Economise-toi ! »
Par John Doe
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Publié dans : Orgasme
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Vendredi 25 décembre
5
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/12
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13:57
Hier, réveillon de noël. Elle me laisse en cage. « Pour que tu sois doux et attentionné avec moi devant
tous le monde » me dit-elle. Repas de famille chez mes parents. Une cousine reproche à son mari d’être fainéant. Madame s’amuse à raconter qu’elle a un homme obéissant, qui prépare tous les
repas. Ses confessions font sourire. Elles me gênent un peu. Je ne dis rien pour la contredire. J’ai bien trop peur de retarder ma libération. Le cadeau que m’offrent mes parents est en réalité
pour elle. J’ai préféré renoncer au mien, pour qu’elle en ait deux. Elle est ravie, les convives ont un peu de mal à comprendre…
Par John Doe
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Publié dans : Chasteté
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