Aube. Réveillé par une érection. Très agréable. Je suis libre ! Après un mois de cage, je n’ai plus l’habitude. Hier soir elle m’a « vidé » (je ne vois pas d’autre mot). Et elle m’a accordé un peu de liberté. J’ai envie de me soulager. La dernière fois, c’était il y a 3 semaines. Mais je me sentirais coupable. Alors je m’abstiens. J’ai vraiment l’impression d’être dressé. Je n’ai plus l’habitude de jouir seul. Il me semble maintenant naturel de ne plus le faire. Dressé, maté, soumis.

Samedi, petite soirée entre amis. Dîner informel dans le salon d’un appartement parisien. Je prends plaisir à faire le service. Les dames apprécient. Surtout notre hôtesse, féministe, célibataire et charmante. « Il est bien dressé ! » plaisante-t-elle. Rires. Madame joue inconsciemment avec la clé qu’elle porte autour du cou, ravie. Effet cage : tension sexuelle, envie de séduire. Badinage, petits compliments. Madame s’en amuse. Pas de jalousie, je suis en cage. Plutôt du plaisir. Montrer à tous, et surtout à toutes, un homme « dressé »… La conversation reste au niveau de la plaisanterie. Pour Elle et moi, cela va plus loin… Complicité.

Ce matin, je l’ai caressée et massée pendant près d'une heure. Je lui ai longuement léché les pieds. C’est un délice. Elle me dit que dimanche, j'aurais peut-être le droit de jouir. Enfin, si Elle est d’humeur. Seulement 6 jours. Je lui dis qu’elle est trop bonne avec moi. Ça l’amuse, Elle me frappe brusquement les couilles. Je me plie en deux. Elle rit : « Et ça, c’est trop bon ? ». Je suis à ses pieds. Elle constate que je n’ai pas fini les tâches ménagères qu’elle m’avait demandées. « Tu vas être puni. Met-toi à 4 pattes sur la table basse. » : Elle me donne une bonne fessée. Brusquement elle m’enfonce deux doigts dans le cul. Elle me travaille sans ménagement quelques secondes. Je bande. Puis elle s’arrête : « Voilà ! C’est ça ta punition. Tu aurais pu te faire enculer. Mais tu ne l’as pas mérité. La prochaine fois que je trouve que tu fais bien ton travail, tu y auras droit. Tu sais ce qu’il te reste à faire ». Elle connaît les arguments pour me maitriser…

Hier soir. Nous sommes sur le lit. Je lui masse le dos. Je bande tellement fort que ma bite et mes couilles deviennent violettes, puis carrément bleues. Ça la fait rire : »Dans quel état tu es ! ». Moi ca m’inquiète un peu. Je débande. La couleur naturelle revient immédiatement. Elle me dit que je suis sage. Que j’ai le droit d’aller prendre une douche sans ma cage. Elle ouvre. Sort un démonte pneu.  Elle s’extasie « Je crois que je ne l’ai jamais vu aussi dure et grosse. C’est vraiment bien cette petite cage ! ». Elle me dit de me mettre debout. Elle est genou devant moi. Elle caresse doucement ma queue. Je gémis. Elle y passe délicatement la langue, en partant des couilles jusqu’au gland. Mon corps se contracte. Elle prend ma queue dans sa bouche. Mes muscles se tendent, je suis dans un état indescriptible. Immanquablement, elle s’arrête, et me dit d’aller me doucher. Moi : «  J’ai envie de te prendre, là, maintenant ». Elle s’amuse : « Tu rêves ! File sous la douche ! » Régulièrement, elle vient me surveiller. D’une part pour s’assurer que je ne me branle pas. D’autre part pour m’exciter et entretenir mon érection. Elle me regarde me raser : « Tu fais ça vite et bien, on sent l’expérience ». Elle me flatte les couilles. « Mmmh! Elles sont toutes douces… ».

Plus tard, séché. Je suis nu, debout devant elle. Toujours en érection. Elle est habillée, assise sur le canapé. Elle s’amuse à frotter son visage sur mes couilles fraîchement rasée. Elle joue avec, le tord, malaxe… : « C’est mon doudou, mon jouet, j’en fais ce que j’en veux ! ». Elle ajoute : « Alors maintenant, tu restes là jusqu’à ce qu’elle redevienne petite, Et elle retourne dans sa cage ». Ça prend quand même un certain temps. Surtout que c’est plutôt excitant. Être debout nu, les mains dans le dos, interdiction de bouger ou de se toucher. Elle habillée,  me maîtrisant du regard. C’est un peu trop long. Elle s’énerve. « Tu ne veux pas retourner dans ta cage ? Très bien. Ce sera pas dimanche ». Je bande encore plus. « Et pas lundi à ce que je vois ». Je crie grâce. Elle rit. Fatalement, je finis par débander un peu. J’en profite pour remettre tant bien que mal la cage, qu’elle ferme immédiatement.

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