Samedi 5 décembre 6 05 /12 /Déc 10:54

Après-midi. Madame souhaite se faire masser. C’est l’hiver. Il fait sombre. J’allume quelques bougies. Elle met un peu de musique. Je commence par des caresses, puis la masse pendant près d’une heure. C’est un moment extrêmement sensuel. D’abord le dos, puis les fesses. Je frôle sa chatte, elle est mouillée. Je lui écarte doucement les jambes. Je lui masse doucement le clitoris. Elle soupire. Je passe ensuite aux jambes puis aux pieds. Je masse, lèche, suce. Ma langue circule entre ses orteils, puis je les avale tous. Je me délecte. Ca l’amuse. Elle n’en peut plus : « Lèche-moi ». Je lèche longuement, en lui pinçant les tétons. Un spasme. Jouissance. Elle m’allonge sur le lit : « Ne bouge pas ». Elle revient avec un foulard noir. Yeux bandés. Elle me libère enfin de ma cage. Je ne peux même pas voir ma queue. Elle la caresse doucement, jouant avec mon érection, ravie. Elle me mord les couilles. Elle me soulève du lit, en me tirant les couilles avec les dents. Je crie, elle rit. Puis elle s’empale sur moi, d’un coup. J’exulte. Trop de temps depuis la dernière pénétration. Elle me chevauche : « Tu es mon gode vivant ». Quand même. Elle place ma main sur son clitoris : « Fais moi jouir ». L’orgasme arrive très rapidement. « Mets-toi à quatre pattes ». C’est mon tour. Elle tire ma bite en arrière et me lèche, partant de l’anus jusqu’au gland. Elle s’attarde sur les couilles. Je suis en transe. Puis elle me pénètre avec un gode. Je commence à me branler. Elle me donne un coup sur les couilles : « Interdit ! ». Je me laisse faire. Elle prend son temps, et me dilate progressivement. J’ai l’impression qu’elle m’ouvre en deux. Le plaisir est intense, même si elle ne me branle pas. Et comme je ne peux ni voir, ni toucher ma queue, je débande un peu. Elle me retourne, attrape ma bite. Elle rit : « C’est parfait, elle est prête à retourner dans sa cage. » Ca m’excite. Je rebande immédiatement. Elle éclate de rire. Elle m’allonge, écarte mes jambes, puis s’assoit en tailleur entre elles. Elle commence à me branler, doucement. Elle m’amène au bord de la jouissance, puis s’arrête : « Est-ce-que tu vas jouir aujourd’hui ? Je ne sais pas ». J’attrape ma queue. Nouveau coup sur les couilles : »On ne touche pas j’ai dit ». Elle reprend, doucement : « Tu me préviens quand tu va jouir. Trois possibilités : je m’arrête avant et tu ne jouis pas. Je m’arrête pendant, et tu éjacules sans jouir. Ou je te laisse jouir. Qu’est-ce-que tu préfères ? » « Que tu choisisses ». Nouveau rire. « Comme tu veux ! ». Elle me branle tout doucement, longuement. J‘approche de la jouissance. Je lui dis. Elle continue. Jouissance. De courte durée. Elle arrête le mouvement, Et tend ma bite pour dégager le gland. Elle me masse le gland très fort de sa main libre. Elle sait que c’est très désagréable. Mon corps se contracte et s’agite convulsivement. Elle continue un petit moment en riant. Puis elle me fait lécher sa main pleine de sperme. Délectable. Elle me libère les yeux. « C’était comment ? » Je ne sais pas. Je ne sais plus rien. Alors je ne dis rien. Elle se moque de moi. Elle me dit que je vais rester un peu libre. Un jour ou deux sans cage ? Je n’en sais pas plus. Un peu…

Plus tard. Nous sommes nus sur le lit. Nous parlons. Après l’amour, nous discutons souvent. Des fantasmes que nous aimerions réaliser. Ou des moments que nous avons préférés. C’est un instant privilégié. Je lui dis que j’ai halluciné quand elle m’a appelé « son gode humain ». Le plus naturellement du monde : « C’est ce que tu es, tu es en cage, comme un gode dans sa boîte, et je te sors quand j’ai envie ». Ses mots m’excitent. Je bande. Elle se moque de moi : « On dirait que ça te fait plaisir que je dises ça ? Incroyable ! ». Elle me regarde et me tend un pied. Je m’agenouille, et je l’embrasse doucement, puis le lèche. Je lui dis que j’adore lui lécher les pieds. Que c’est un symbole de soumission puissant. Elle m’attrape par la bite, et elle me suce un peu. Je suis très excité. Mais elle s’arrête : « Tu va laver ta cage et tes jouets. Puis tu prends une douche. Ensuite retour en cage. Comme ça, tous mes jouets seront propres et rangés pour la prochaine fois ». Effectivement, je suis resté « un peu » libre. Comme je bande, je rechigne. « Fais pas semblant, je sais que c’est ce que tu veux vraiment ». Je ne dis rien. Elle a raison : J’ai envie de me soumettre à sa volonté. Je souris, elle sourit. Complicité. Je me lève et vais me laver. « Et pas de bêtise dans la douche ! ». Je ne me suis jamais senti aussi soumis, maîtrisé. A tel point que je ne bande pas, car je sais que je dois remettre ma cage. Je l’enfile donc assez facilement. Je lui présente. Elle me flatte les couilles fraîchement rasées : « Elles sont toutes douces, c’est agréable » dit-elle. Et elle ferme le cadenas. Pour combien de temps cette fois ?

Par John Doe - Publié dans : Orgasme - Communauté : Domination et amour...
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Vendredi 4 décembre 5 04 /12 /Déc 10:51

Elle me libère. Je bande. Je me lave et me rase. Elle est assise sur le canapé, devant son PC. Je suis à genoux, nu devant elle, en érection. Elle me flatte les couilles du bout du pied : « Je t’ai bien dit que ce ne serait pas aujourd’hui ». Elle me branle sans douceur avec son pied. Je me tords de plaisir. Ca l’amuse : « Va dans la chambre et allonge-toi sur le lit, j’arrive. ». Je suis en position. 9 jours. Je me branle. Elle entre : « Ca c’est interdit ! ». Je cesse immédiatement, soumis. Elle est nue. Elle m’attache les mains et les pieds au pied du lit. Bâillon. Je suis écartelé. Elle me branle doucement. Mon corps se contracte, je grogne de plaisir. Elle rit, prend ma bite dans sa bouche. Elle frotte son corps contre le mien. Puis elle présente sa chatte mouillée devant ma queue. Je me tends au maximum pour essayer de la pénétrer. Impossible. Elle s’assoit sur moi, et me branle entre ses fesses, sans que je la pénètre. Je suis en feu. Elle m’enlève le bâillon, et s’assoit sur mon visage. Elle se frotte sans ménagement, m’étouffant presque. Puis elle place son clitoris face à ma bouche. Je sais ce que j’ai à faire. Elle jouit rapidement, et reste assis sur mon visage quelques minutes. Je ne bande plus vraiment, mais mon sexe est encore bien trop gonflé pour rentrer dans sa cage. Elle m’abandonne. Je ne dis rien, parce  que cela ne servirait à rien. Si ce n’est me rajouter du temps en cage. Elle revient quelques minutes après, et me détache. Je bande de nouveau. Elle me tend la cage : « Tu as intérêt à la remettre vite fait si tu ne veux pas prendre une semaine de plus ». Je l’enfile tant bien que mal. C’est un peu douloureux, mais surtout difficile et inconfortable. La cage s’emboite enfin. Je lui tends, elle ferme le cadenas : « C’est bien ». C’est le soir. Elle rentre du travail après moi. Nous devons aller au restaurant avec des amis. Je suis habillé. Elle m’enlace, et attrape ma cage. Petite vérification. Elle me regarde droit dans les yeux en souriant : « C’est bien ». Nous nous embrassons. Elle tient toujours ma cage. Je bande. Ca se voit. Elle rit : « Tu as intérêt à te calmer, si tu ne veux pas que tout le monde sache que tu portes une cage ! ».

Par John Doe - Publié dans : Frustration - Communauté : Fétichisme des pieds féminins
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Jeudi 3 décembre 4 03 /12 /Déc 10:47

Je prends conscience que je ne l’ai pas pénétrée depuis longtemps. Je la fais jouir régulièrement, avec ma langue ou mes doigts. Elle me fait jouir également, mais sans pénétration. Et beaucoup moins régulièrement depuis que je suis en cage. C’est plutôt moi qui me fais pénétrer… Je sais qu’elle aime être prise, mais quand elle en a envie. Ca devrait arriver dans pas trop longtemps d’ailleurs. L’état de ma queue le matin, quand elle me libère, lui donne envie d’en profiter… Mais il faut que j’attende. Que ce soit elle qui demande. Tout ce que je récolte, si je réclame, c’est des jours supplémentaires de cage. Je ne me plains pas, c’est moi qui lui est suggérer ce mode de fonctionnement. Pourtant, je me pose des questions. Nous nous sommes procuré la cage il y a une vingtaine de jours. A part les quelques premières nuits, je n’ai passé que 48 heures hors de ma cage depuis. J’en ai profité pour me branler. Elle le sait. Je lui ai dit pour la provoquer. Pour qu’elle me remette en cage.  Elle sait maintenant que si je ne suis pas en cage, je vais me branler. Elle le savait certainement déjà avant, mais n’était pas clairement consciente de la fréquence de mes masturbations. Je lui ai tout avoué. Pour la pousser à me mettre en cage. Je lui ai offert ma sexualité. Et elle apprécie clairement. Constat assez impitoyable : Il semble assez difficile de revenir en arrière. Maintenant qu’elle connait John en cage, pourquoi revenir à John qui se masturbe ? Aucun intérêt pour elle. Quand j’ai parlé de cage pour la première fois, je pensais à un jeu que nous pourrions pratiquer de temps en temps. Elle a accepté par curiosité. Mais là, je vois mal comment arrêter. Bien sûr, si je lui demande, elle va accepter que je l’enlève. Mais je ne suis pas sûr que ça dure. Savoir que je me branle, voir que je n’ai plus envie d’elle constamment. Il est probable qu’elle n’aime pas. Je risque de retourner rapidement en cage. Et de ne plus en sortir que très rarement. J’ai lu de nombreux témoignages à ce sujet. Des mises en garde. Attention ! Si vous la laisser y prendre goût, pas d’échappatoire. Je pensais que pour nous ce serait différent. Il semble que je me sois bien trompé. C’est tout simplement logique. Je la mets devant des faits qu’elle ignore, ou qu’elle ne veut inconsciemment pas savoir : Les hommes se masturbent souvent. Elle n’apprécie pas. Je lui propose une solution : La cage. Elle apprécie. De plus en plus. Parce que ça améliore mon comportement. Logiquement, il n’y a aucune raison pour que je ne reste pas encagé en permanence. Et si le jeu devient un mode de vie, ce n’est plus tout à fait un jeu. En somme, l’essence même de notre relation semble radicalement, et peut-être définitivement modifiée. C’est un peu effrayant.

Par John Doe - Publié dans : Chasteté
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Mercredi 2 décembre 3 02 /12 /Déc 20:45

Une semaine. Elle me l’a dit. Ce n’est pas pour aujourd’hui. Tension sexuelle quasi-permanente. Je suis à ses pieds.Nous marchons dans la rue. Nous parlons de la clé, qu’elle arbore de façon ostentatoire, entre ses seins. Je lui explique que certaines personnes savent ce que cela signifie. Que c’est un code qui la défini en tant que Keyholder. Elle me demande ou est le problème. « Pour moi il n’y en a pas. Mais je tenais à te prévenir. Avec ça autour du cou, tu affiches le fait que je sois en cage aux gens qui connaissent la symbolique de la clé ». Ca ne la dérange pas. Bien au contraire, ça l’amuse : « Si ils sont au courant, c’est qu’ils connaissent, donc ça ne les choquera pas. Et si quelqu'un me demande à quoi sert cette clé, je lui dirais que c’est la clé de la boîte à lettres ». La clé restera là. A la vue de tous. Je bande de nouveau. Nous arrivons à la maison. Je me déshabille. « Ca te plairait que quelqu’un sache que je te tiens en cage ? ». Je ne sais quoi répondre. « Vu comment tu bandes, je penses que ça te plairait… ». Avant d’être en cage, je lui avais déjà confié que je fantasmais sur l’idée de faire l’amour avec elle et sa meilleure amie. Les deux filles sont très complices. Que son amie puisse savoir que je suis encagé m’excite. Je lui avoue. Elle rit : « Si elle me demande à quoi sert la clé, je lui dirait peut-être la vérité… ». Elle me provoque. Je surenchéris : »Si tu veux, je pourrais même lui montrer à quoi ça ressemble ». « Tu veux dire lui montrer ta bite encagée ? » « Oui, si elle veut ». Claque sur les fesses en riant: « T’es vraiment un gros pervers ! ». La conversation s’arrête là. Je pense que ça n’ira pas plus loin, qu’elle n’en parlera pas. Mais dans une soirée entre filles, il peut s’en dire des choses…

J’ai la nette impression que la cage décuple mes fantasmes. Je suis poussé dans mes derniers retranchements. L’envie permanente me submerge.  Nous regardons la télé. Publicité. Un père noël. Je suis en érection. Elle se moque : « C’est le père noël qui te fait bander ? ». J’éclate de rire : « Je suis comme une bête en rut ». Elle : « Pas aujourd’hui ! Demain, je pense pas non plus en fait. T’es tellement drôle quand tu es dans cet état ! ». Moi : « Oui mais… » . M’interrompant : « Tu râles ? Parfait. Ce sera pas vendredi non plus. C’est toi qui parlais de plus longue période ? En voilà au moins pour deux jours de plus. J’espère que tu es content ». Je ne peux que répondre « Oui ».

 

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Par John Doe - Publié dans : Chasteté - Communauté : Soumission et appartenance
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Mardi 1 décembre 2 01 /12 /Déc 20:37

Le matin. Elle me raconte un rêve qu’elle a fait. Je lui raconte à mon tour ce que j’ai rêvé la veille. Elle sourit, mais ne dit rien. Je bande dans ma cage en racontant, elle le voit. Ca s’arrête là. Je lui en reparlerai. Ou pas. Je ne suis pas sûr d’en avoir envie. Le fantasme est bien présent. J’ai envie de faire l’amour avec elle et un autre homme. Qui nous baiserai tous les deux. Ou peut-être avec un couple, ou une autre femme. Mais du fantasme à la réalité…

Aujourd’hui nous restons tous les deux à la maison. Elle est pratiquement nue en permanence. Je bande toute les dix minutes, pour un rien. Elle me laisse la touche, la caresser, la masser, mais je n’ai pas le droit d’aller plus loin. Elle s’amuse beaucoup de mon état. Elle m’a dit que j’allais être libéré aujourd’hui. Je me montre un peu trop insistant. Elle n’est pas contente. Elle me dit que je mérite une punition. Je lui propose le bambou. Elle rit : « Ca, c’est plutôt une récompense ! ». « Le plus simple, c’est que tu rallonges ma période de chasteté ». Nouveau rire : « Très bonne idée! Ca me plaît. Tu peux être sûr que tu jouiras pas aujourd’hui, ni demain ! ». Elle se prend au jeu.

Fin d’après midi. Elle me libère. Je me rase de près. Ma bite est tendue, dure. L’idée de la faire entrer de nouveau dans la cage semble ridicule.  Pourtant je dois y retourner… Mais d’abord elle veut jouer un peu. Elle me lèche doucement le gland, elle enroule se langue autour, doucement… C’est délicieux. Et horrible. Car je ne vais pas jouir. Elle passe sa langue sur mes couilles, puis en met une dans sa bouche. Elle mord et tire mes couilles avec ses dents. Excitant et douloureux à la fois. Elle recommence son manège plusieurs fois. Titiller le gland, étirer les couilles… Puis elle arrête. Je suis dans un état indescriptible. « Va faire les courses pour le repas de ce soir, ça te calmera. Mais d’abord, tu retournes dans ta cage. Sinon, tu risques de violer la jolie caissière black! ». Ma bite tarde à retrouver des proportions décentes. Nous parlons un peu. D’une nouvelle cage, plus large et plus grande. Puis je lui dis qu’elle est un peu cruelle. Allongement des périodes de chasteté, promesses de libération non tenues, fellations brusquement interrompues… Mais je précise juste après : « Continue, j’adore ça ». Elle s’amuse de mes aveux. Je lui dis qu’elle pourrait faire pire. « Comment ça ? ». J’évoque des périodes de privation plus longue. Je lui reparle de divers jeux, et notamment d’orgasme ruiné. Elle ne comprend pas où est le plaisir. Je lui explique : «Le jeu en lui même n’as que peu d’intérêt. Mon plaisir, c’est toi. Je t’aime. Cet amour me pousse à m’abandonner entre tes mains. Je veux t’appartenir. Le fait de jouir uniquement quand toi tu l’as décidé, participe de ce désir. Et ne pas savoir si j’aurais le droit de jouir quand nous faisons l’amour renforce ce sentiment d’appartenance. Un orgasme ruiné suivi d’un retour en cage est très frustrant pour moi. Pour toi, par contre, il n’y a que des avantages. ». « Lesquels ? ». « Les mêmes que ceux que tu as quand je suis encagé. Démultipliés. » Elle ne dit rien. Mais je sens que je vais y avoir droit.

Tout cela ne m’aide pas à débander. Comme toujours, je finis par me calmer un peu. Dès que je suis en état, j’enfile la cage, et je lui présente. Elle met le cadenas. Juste à temps. Je bande de nouveau. Ca l’amuse, elle me pince les tétons pour m’exciter. « T’en peux plus, hein ? » Je ne peux même pas répondre. Je vais faire les courses. Puis je prépare le repas.

Par John Doe - Publié dans : Frustration - Communauté : Soumission et appartenance
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  • : John Doe, soumis en cage de chasteté.
  • : La véritable histoire de John Doe ou Comment j'ai fini en cage, soumis à Madame. C'est Elle qui décide où, quand, et comment je jouis. Récit de ma chasteté et de mes (rares!) jouissances. Cage de Chasteté, CB-6000, soumission, domination, bdsm, anal strapon, foot fetish, bondage, bisex, ballbusting, spanking, canning... But NO wanking!
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