Vendredi 11 décembre
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/12
/Déc
11:27
Le jeu continue. En cage sans jouir depuis lundi. 4 jours. Tous les jours elle me dit qu’elle va me libérer
bientôt. Elle me raconte ce qu’elle va me faire. A chaque fois je bande comme un taré. Et elle rit. Je lui parle de mes fantasmes. Parfois elle n’arrive pas à y croire. Mais Ca l’amuse. Je peux
tout lui dire. Il y a des choses qu’elle ne veut pas faire. Ou plutôt pas encore. Je la laisse aller à son rythme. Elle est à l’aise. Parce qu’elle sait que c’est elle qui décide. Je propose,
elle dispose. Elle comprend maintenant très bien les avantages d’avoir un homme soumis, et en cage. « Tu t’abandonnes complètement à moi. C’est très agréable » me dit-elle. Pour la
remercier, je lui embrasse doucement les pieds. Les changements sont assez radicaux. Nos rapports quotidiens sont beaucoup plus orientés vers le sexe. Nous en parlons plus souvent, plus
ouvertement. Depuis que je suis encagé, la fascination n’a pas faibli. A chaque fois qu’elle voit la cage, elle ne peut s’empêcher de jeter un œil. Comme si elle n’y croyait pas. Quand nous
discutons, bien souvent son regard glisse de mon visage à la cage.
Hier soir, je suis rentré avant elle. Elle arrive. Je suis nu. Je l’accueil en l’enlaçant et en la caressant
tendrement. Elle est ravie. Elle m’attrape par les couilles. Immédiatement, je bande. Elle rit : « Tu démarres vraiment au quart de tour ! ». Je l’aide à enlever son manteau,
que j’accroche.
Le rituel de l’ouverture, tous les matins, et un moment extrêmement sensuel. Bien souvent, elle s’amuse à me
faire bander. « Pour voir si tout marche bien ». Elle est ravie de constater que mon érection est à chaque fois plus dure. Elle s’extasie devant les larges coulées de
liquide lubrifiant qui sortent. Parfois elle me suce quelques instants. Jamais jusqu'à l’orgasme. L’issue est presque toujours identique. Claque sur les fesses, puis : « C’est bon, j’ai
fini de m’amuser. Tu vas te raser, et tu retournes en cage. Tu jouiras pas aujourd’hui. »
Elle me parle de la façon dont elle m’a fait jouir lundi. C’était la première fois qu’elle jouait à me ruiner
un orgasme. Je lui explique qu’elle peut encore faire pire. En arrêtant le mouvement avant l’éjaculation, et en me frappant les couilles pendant que ça coule. En riant : « Tu as
vraiment beaucoup d’imagination ! ». Elle me dit que ça l’a beaucoup amusée : « Tu aurais vu ta tête quand j’ai arrêté, et que tu as crié : Continue ! ».
Et elle y trouve son avantage : « Lundi, après avoir éjaculé, tu es resté tendre, doux et attentionné. D’habitude, après avoir jouis, tu as moins envie de me toucher, de me caresser ».
Elle conclue « Je peux me faire plaisir, jouir tant que je veux, et te conserver excité, tendre et galant après ! C’est très pratique ». Moi : « Tu me laisseras
encore jouir de temps en temps ? ». Elle en riant : « Je ne pense pas, non ». Je sais bien que c’est faux. C’est juste le jeu. Immanquablement, Je bande. Elle se
moque : « C’est incroyable, à chaque fois que je parle de t’interdire définitivement de jouir. Tu bandes. C’est assez paradoxal! ». Moi : « Mais non. C’est parce que je
t’aime ». Elle « Moi aussi ».
Par John Doe
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Publié dans : Chasteté
-
1
Mercredi 9 décembre
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09
/12
/Déc
17:11
Ce matin. Elle se lève plus tôt que moi pour aller travailler. Avant, j’avais l’habitude de rester au lit plus longtemps qu’elle. Maintenant, je suis en cage. Fou
de désir en permanence. Je me lève à mon tour, je la suis partout. Ca l’amuse beaucoup. Dans la cuisine. Je l’embrasse sur tout le corps. « Prépare-moi un café ». Je m’exécute. Puis je lui
apporte dans le salon. Je l’enlace de nouveau. Je lui dis que je suis fou d’amour et de désir. Elle est ravie. « Lèche mes pieds, je veux boire mon café tranquille ». J’embrasse ses pieds, puis
je les lèche doucement, avant des les engloutir. Je suis affamé. Elle s’esclaffe : « Tu n’en peux plus ? Montre-moi ta cage. ». Je me relève. Je bande. Elle m’attrape par les couilles : « Te
fatigue pas, c’est pas pour tout de suite. Et je suis pas prêt de te laisser jouir ». Je gémis. Elle se moque de moi. Elle va se laver. Je lui propose de le faire. Elle est pressée. Elle refuse,
mais me dit qu’elle aurait aimé. Long baiser, puis Elle part. J’ai une furieuse envie de jouir. Mais je ne peux pas. J’ai hâte qu’elle revienne. Je pense à notre vie d’avant. Tout était
différent. Je suis heureux d’avoir renoncé à mon droit à jouir pour son plaisir. Elle aussi apparemment.
Hier soir. Nous sommes à la maison. Je reçois un commentaire sur mon blog. J’y réponds. Elle me demande ce que je fais. Je lui dis. C’est un message de Madame de Saint Ange. Dont les pratiques
m’ont beaucoup inspiré. J’en profite pour lui montrer son blog. Elle est impressionnée par ce qu’elle voit. Je la laisse devant son PC, je retourne
devant le mien. J’ai vraiment envie qu’elle me défonce les couilles. J’aimerais qu’elle me sorte de ma cage, me mette à genoux. Et qu’elle me frappe les boules à grands coups de pieds, avant de
me remettre en cage. Elle consulte le site quelques minutes, puis elle me rejoint : « Ca te fait fantasmer ? ». Je lui réponds « Oui, et tu le sais bien ». Mes aveux me font bander. Elle : «
Allonge toi ». Elle est debout, et m’écrase les couilles avec son pied. Délicieux. Elle continue un petit moment (pas assez long à mon goût !). « Comme ta bite est dure ! Je vais peut-être te
libérer pour en profiter ». Elle prend la clé, l’approche de la cage : « Et puis non. Je préfère que tu ailles faire les courses ». Et elle me laisse comme ça. Je suis au bord de l’apoplexie. Je
ne pars pas tout de suite. Je reste devant mon PC. Je veux finir ce que je suis en train de faire. Quelques minutes passent. Elle revient : « Je t’avais dit d’aller faire les courses. Tu n’es pas
obéissant. Met-toi à quatre pattes ». Je déguste. Bambou, fesses rouges. Je vais faire les courses, la bite et les fesses en feu. Ce n’est pas vraiment une punition. Puisque j’aime ça. C’est un
jeu entre Elle et moi. J’ai le plaisir d’être soumis à son autorité, Elle a le plaisir d’avoir un homme à son service.
Dans le lit. Moi : « Je n’ai jamais aimé quelqu’un comme je t’aime. Je prends du plaisir à me soumettre à toi. Parce que je t’aime. Pour toujours » Je la caresse, l’embrasse. Je lis la
satisfaction dans ses yeux. Un bonheur. J’ai envie d’elle. Comme d’habitude. Je lui dis. Elle : « Je pense qu’il y a quelqu’un qui va jouir dans ce lit ». Elle me regarde en souriant « Mais ce
n’est pas toi ». Je comprends le message. Je lui lèche les seins puis le sexe, et la fait jouir. Satisfaite, elle se love contre moi. Elle me dit qu’elle m’a dressé. Qu’elle me trouve mieux comme
ça. Je suis plus endurant sexuellement. Toujours prêt à la satisfaire. Et je jouis quand Elle en a envie. « Au doigt et à l’œil ! ». Moins je jouis, plus je suis doux, attentionné, câlin,
amoureux… Ca lui plaît. J’ai joui quatre fois en trois semaines. Avant c’était plutôt quatre fois par jour ! La chasteté décuple mes fantasmes. Je ne peux pas me satisfaire. Donc je suis excité
en permanence. Et mon cerveau produit des scénarios de plus en plus élaborés, divers, trash. Avant, Elle me dominait essentiellement pendant que nous faisions l’amour. Maintenant, avec la cage,
la domination est permanente. Et plus elle me domine, plus j’ai envie de me soumettre. La question est : Jusqu’où irons-nous ?
Par John Doe
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Publié dans : Frustration
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Mardi 8 décembre
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08
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/Déc
13:43
Hier, 13H00. Nous devons partir travailler dans peu de temps. Elle s’approche de moi. Elle me libère pour que
j’aille sous la douche. Mais elle a envie de jouer avant. Elle me suce. Immédiatement, je bande. Je sens que je vais encore être frustré… Excité à mort, et retour en cage. Un grand classique qui
l’amuse beaucoup. Elle continue. Elle me mord les couilles. Les étire, puis les frappe du plat de la main. Douleur et plaisir. Elle m’embrasse. Je sens le goût de ma bite dans sa bouche. J’adore
ça. Elle persiste. Elle me lèche les couilles, et me branle doucement. Un délice. « Si tu continues, je vais jouir ». Elle : « Tu en as envie ? ». Moi : «C’est
toi qui décides ». Elle sourit. C’est ce qu’elle voulait entendre. Je suis au bord de la jouissance. Je lui dis. Elle s’entête. Je jouis. Immédiatement elle lâche ma queue. Je crie :
« Continue ! ». Elle rit et regarde le sperme sortir de manière saccadée. Orgasme demi-ruiné. Juste un peu de plaisir au début. Elle met ma bite dans sa bouche, au moment où le
dernier jet sort. Elle m’embrasse. C’est merveilleux.
Je sors de la douche. Je bande encore. Elle attrape mes couilles et les écrase. « Tu as encore
envie ? ». Je lui réponds « Oui ». Elle, ravie : « C’est génial la cage. Avant pour te faire jouir en te branlant, ça durait des heures. Parfois j’en avais mal à la
main. Maintenant, il suffit de te branler doucement pendant quelques minutes, et hop ! Plein de sperme ! ». Je souris.
Je la provoque : « Est-ce que je dois remettre ma cage ? ». Elle ne répond pas. Elle sait
que c’est dur. Elle n’a pas envie de me faire souffrir. D’un autre côté, je vois bien qu’elle aime que je sois dans cet état. Manque permanent. Elle me demande : « Tu en as
envie ? ». Inflexible, je lui dis : « C’est toi qui décides, pas moi ». Cette fois c’est moi qui suis un peu dur. Je l’oblige à choisir. A être dominante. Je
souhaite que ça devienne naturel. Elle trouve une échappatoire : « Ca ne va pas te gêner pour travailler ? ». Elle sait bien que non. Ce n’est pas la première fois que je
travaille encagé. Mais ça lui permet de me remettre en cage sans se sentir coupable : Elle m’a ménagé une issue. Je lui souris, lui dis que non cela ne me gêne pas, que ce n’est pas la
première fois. Je m’habille. Avant de boutonner mon jean : « Alors ? ». Elle sourit : « Met-la ». Je l’enfile, et lui présente pour qu’elle ferme le cadenas.
Le soir. Nous discutons. Je lui dis qu’elle a été très gentille avec moi. Je la remercie de m’avoir fait
jouir. Elle : « Te réjouis pas trop vite. Tu sais pas combien de temps tu vas rester en cage cette fois ». Moi : « Combien de temps ? ». Elle, riant :
« Peut être un an… ». Entendre ça me fait bander. « Je parle de te laisser un an sans jouir et ça te fais bander ? Incroyable ! Tu es vraiment bizarre ». Je
ris : « Non, c’est juste que j’adore quand tu me domines. Et puis tu ne tiendrais pas un an ! ». Elle « ça t’en sais rien, je peux toujours me faire lécher. Et j’ai
pas mal de gode à ma disposition ». Elle me flatte les couilles, s’amuse de me voir bander dans ma cage. Je grimace un peu, mes couilles sont tendues au maximum. Elle le voit, et éclate de
rire.
Par John Doe
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Publié dans : Orgasme
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Lundi 7 décembre
1
07
/12
/Déc
11:26
Il y a quelques jours, j’ai un peu réfléchi au développement de notre relation. J’avais peur de ne plus
pouvoir sortir de la cage. Vu les évènements de samedi, ça se confirme. Elle est de plus en plus dominatrice. Je suis de plus en plus soumis. La dernière fois que nous avons fait l’amour de façon
conventionnelle. C’était fin septembre. En vacances. Dans les dunes, derrière la plage. L’amour à la plage, trop bon. Il y a 2 mois. Depuis, nous avons beaucoup fait l’amour, bien sûr.
Mais toujours lors de rapports où elle me domine. Et je l’ai pénétrée de moins en moins souvent. Par contre, je l’ai léchée fréquemment. Mais je me demande si je n’ai pas
été pénétré plus qu’elle. Bon. C’est maintenant évident qu’elle aime ça. En plus, je suis encagé depuis trois semaines. Ce qui a largement contribué à la renforcer dans son rôle de dominatrice.
Hier soir. Moi : « Je suis peut-être pas obligé de rester en cage tout le temps…». Elle: « Tu m’as manipulée pour que j’assouvisse tes fantasmes ? Très bien. Maintenant tu es
en cage, et c’est moi qui décide. C’est moi qui vais te manipuler ». Moi : « Oui mais ce n’est qu’un jeu… » Elle : « Bien sûr. Mais c’est un jeu où je commande. Donc
tu restes en cage. Si tu préfères, tu peux l’enlever et on arrête de jouer ». Manipulation évidente. Je perds le contrôle. La situation m’échappe. En même temps j’adore.
Par John Doe
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Publié dans : Chasteté
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Dimanche 6 décembre
7
06
/12
/Déc
10:57
Je lui ai dit. Elle sait maintenant que j'écris ce blog. Comme exutoire à ma condition d'encagé. J'ai passé une partie de la journée à le mettre en page. Puis j'ai
publié les articles que j'ai écrit ces trois dernières semaines (Je les ai antidatés pour respecter la chronologie de l'histoire.) J'avais un peu peur de sa réaction. Pas de quoi. De la surprise
et de l'amusement. Parfait. Elle a lu. "C'est comme un roman". Elle apprend des choses sur moi. "Je savais que tu avais sucé des mecs, mais je connaissais pas l'histoire du sauna". Je lui propose
de faire quelques photos pour illustrer le blog. Ca l'amuse. Elle prend l'appareil photo, et me tend un pied. Je lèche, elle photographie, je bande.
Par John Doe
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Publié dans : Chasteté
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