Mercredi 23 décembre
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/Déc
13:17
10 jours. Je suis affamé. La dernière fois que j’ai jouis, c’était très intense. C’était aussi la séance de
domination la plus puissante qu’elle m’ait fait subir. Depuis, rien n’est plus pareil. Ce jour là, elle est allée plus loin. Et elle y est restée. Elle est maintenant plus dure, plus dominatrice.
Elle me frappe les fesses ou les couilles plus régulièrement, et plus fort. C’est devenu notre mode de fonctionnement. Notre façon de vivre. Je suis nu et encagé, à ses pieds. Elle comprend que
tout cela n’est qu’un jeu. Ce n’est pas la vraie vie. Mais ça la pimente. Un peu déstabilisée au départ, elle a maintenant trouvé son équilibre. Depuis plus d’un mois, je suis en cage. Elle a eu
le temps d’analyser les changements dans mon comportement, dans notre relation. Elle est heureuse : « Personne ne s’est jamais occupé de moi comme ça. C’est très agréable d’avoir un
homme soumis à tout ses désirs ». Elle est aussi un peu en colère : « Tu as besoin d’être encagé pour m’aimer ? ». Comment lui expliquer ? J’avais pour habitude
de me masturber, et je la désirais moins. Elle avait envie de sexe moins souvent que moi. Mais quand elle en avait envie, bien souvent, je m’étais déjà masturbé, et je n’en avais plus envie. Ce
différentiel de libido(1) était néfaste à notre relation. Peut-être que sa colère est surtout due à cela. Parce que la cage efface ce différentiel, et qu’elle ne l’a pas découvert plus
tôt…
(1)J'ai emprunté cette expression au
blog de smartbeat. J'éspère qu'il ne m'en voudra pas.
Par John Doe
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Publié dans : Chasteté
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Mardi 22 décembre
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22
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13:14
Le soir. Elle me libère pour la toilette. Naturellement, dès que je sors de la cage, je bande. Elle me suce
doucement. Immédiatement, mon corps se tend, je gémis. Elle« Ne rêve pas ! Tu ne vas pas jouir aujourd’hui ». Moi : « Si tu continues comme ça, je vais jouir très
vite. Je me demande si je ne suis pas devenu éjaculateur précoce ». Elle s’arrête, et sourit : « Ne t’inquiète pas, après un ou deux orgasmes, tu redeviendras endurant et
efficace comme avant ». Je me lave, me rase, et je remets la cage. Elle : « Tu es bien sage, tu as remis ta cage tout seul. Je vais m’occuper de ton cul ». Elle me donne
une grosse claque sur les fesses : « Mets-toi à quatre pattes, j’arrive ».
Elle revient, avec un gode ceinture bien épais autour de la taille, deux plugs pour la préparation dans une
main, et du lubrifiant dans l’autre. Elle : « Je ne vais pas t’attacher, tu vas être bien sage et te laisser faire. De toute manière, tu es en cage… » Elle me lèche doucement
le cul, c’est absolument délicieux, je bande. Mais je suis en cage. J’ai les couilles étirées au maximum, c’est plutôt douloureux. Mélange de bien et de mal, frustration d’un côté, plaisir de
l’autre. Dérèglement des sens, la séance vient à peine de commencer, je suis déjà sur une autre planète. Elle met sa main dans ma bouche, puis un plug, pendant qu’elle me pénètre de ses doigts
humides de salive. Elle s’amuse de me voir lécher goulument. Quand elle juge que je suis assez dilaté, elle présente son gode devant mon cul : « Vas-y, empale toi dessus ».
Doucement, je m’enfonce le gode. J’effectue quelques mouvements d’avant en arrière. Elle épouse le rythme, puis accélère. J’ai le cul en feu, la prostate en mode plaisir, et les couilles brulées
par la cage. Un peu de liquide coule de mon sexe. Elle me défonce le cul très vite et très fort, Et me donne une fessée en même temps. Mon corps se couvre de sueur. Elle s’arrête brusquement, et
me frappe une dernière fois sur les fesses : « C’est bon, tu peux aller faire à manger maintenant ». Je m’écroule sur le sol, lessivé. Elle se lève, et écrase mes couilles du pied.
Elle sourit : « C’était comment ? ». J’ai perdu l’usage de la parole, en réponse, je gémis. Elle éclate de rire.
Par John Doe
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Publié dans : Frustration
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Lundi 21 décembre
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13:10
8 jours. Hier soir, j’ai essayé de négocier une libération. Je n’ai pas insisté très longtemps… Elle : « Tu
as trois possibilités. Je te libère, tu te branles et tu ne m’ennuies plus avec tes histoires de cage. Tu continues à te plaindre, je te laisse en cage jusqu’à l’année prochaine. Sinon, tu peux
simplement te taire. Qu’est ce que tu choisis ? ». Je ne réponds rien, vaincu. Plus tard, dans le lit. Je lui demande doucement de me libérer pour la nuit, en lui promettant d’être sage. Devant
ma mine déconfite, elle éclate de rire : « Non ». Je sais que c’est définitif, je m’endors, encagé et résigné.
Aujourd’hui, fin d’après midi. Je travaille sur mon pc, nu et encagé, assis en tailleur sur le tapi du salon. Elle rentre du sport. Elle est fatiguée. Elle s’allonge sur le tapis, face à moi.
Elle est sur le ventre, et pose sa tête entre ses mains, les coudes enfoncés dans le tapis. Elle me regarde en souriant, Elle est sexy comme jamais, immédiatement, je bande. Je m’approche d’elle,
soulève délicatement son tee-shirt. Je lui lèche le dos doucement, de la chute des reins jusqu'à la nuque. Elle soupire d’aise. Je savoure longuement et avec délectation le goût de sa sueur.
Puis, je la masse tendrement. Elle éclate de rire : « Si elle savait ! J’ai une amie célibataire, qui m’a dit après le sport, qu’elle aimerait bien se faire masser par un homme en rentrant chez
elle. Si elle savait qu’en arrivant chez moi, je trouvais un homme encagé, qui me masse sans que je lui demande, qui lèche ma sueur, et en plus qui bande comme un dingue en le faisant! ». Je ris
à mon tour, et continue mon massage.
Par John Doe
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Publié dans : Chasteté
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Dimanche 20 décembre
7
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13:11
Règles douloureuses. Une semaine que je suis en cage. Je ne pense pas qu’elle ait envie de jouer aujourd’hui.
Ni dans les prochains jours. Elle va le faire. Je ne vais pas être libéré avant noël. Je n’y croyais pas, il faut maintenant que je me fasse à l’évidence. Je vais faire le ménage. Elle aura
peut-être envie de me récompenser? A suivre…
Par John Doe
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Publié dans : Chasteté
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Dimanche 20 décembre
7
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13:10
Un regard, un simple frôlement, suffisent à me faire bander. Elle s’en amuse beaucoup. Elle passe son temps à
ça. Hier soir, après 6 jours. Elle me laisse sortir. Ma queue peut enfin bander à son aise. Elle me fait asseoir sur la table basse du salon, nu. Elle me lie les mains dans le dos. Puis, elle me
regarde : « Je vais m’amuser avec mon jouet. Tu vas adorer ». Puis elle reprend son travail, assise sur le canapé, face à moi. Au bout de quelques minutes, mon érection faiblit.
Elle me frôle doucement le dos du gland. Je bande de nouveau. J’ai compris. Elle veut juste avoir son homme en érection devant elle. Savourer le désir que je ressens pour elle. Dès que je montre
un signe de faiblesse, elle effleure ma queue. Une demi-heure de ce petit jeu. Une demi-heure d’érection, rien que pour son plaisir. Je ne dis rien, je ne bouge pas, je bande pour elle. Je suis
d’une docilité qui m’étonne moi-même. Elle est satisfaite de moi : « Tu es sage. Je vais remettre ta cage maintenant ».
Clic.
Par John Doe
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Publié dans : Frustration
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